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Actualités en Aveyron
LE LAC DE MAURY OU DE LA SELVESNature
Implanté au milieu des magnifiques paysages de la base Viadène, le lac de Maury baptisé également lac de la Selves ou encore de Saint Amans des Côts, est un grand plan d’eau de 167 ha. Il se localise au confluent des vallées de la Selves et du Selvet, une configuration qui lui procure cette forme caractéristique en V : avec deux bras : un bras "nord" correspondant à la vallée du selvet, et un bras "Est", plus long, restes de la vallée de la Selves. Assez encaissé sur une bonne partie du lac, les berges peuvent également proposer aux pêcheurs quelques plages. La queue du bras de la Selve est assez plane. Sa digue traversée par la D97 reliant Saint Amans des Côts au village du Nayrac, est un grand barrage de béton en forme de voûte de 72 mètres de haut, construit entre 1940 et 1947 dans un val de la Selves et destiné à l’alimentation d’une centrale hydro-électrique. La Selves, longue de 44 km, prend sa source dans l'Aveyron sur le revers ouest plateau de l'Aubrac à 1 330 mètres d'altitude, affluent de la Truyère (rive gauche) dans le lac du barrage de Couesque. Le barrage-réservoir de Maury, au confluent de la Selves et du Selvet, alimente. . .
MONTSALVY : VILLAGE D'AUVERGNEBeaux villages
Dans le sud du Cantal (Auvergne) en Châtaigneraie et à la limite du Nord Aveyron, à 800 m d' altitude, entouré de lacs, forêts, ruisseaux et rivières, découvrez le village de Montsalvy. Les origines de Montsalvy se trouvent au XI ème siècle. Béranger, Seigneur du lieu et vicomte de Carlat, fait donation d'un territoire au moine Gausbert. Ce dernier y fonde une église, un hospice (maison d'accueil pour voyageurs) et un monastère. Le terrain est borné de quatre croix (dont la croix Sainte-Anne et la croix du Cambon). Saint Gausbert crée une sauveté, territoire assurant l'immunité ecclésiastique à qui s'y réfugie : havre d'espoir où toute population vient se mettre à l'abri. Les travaux de construction de l'abbaye nécessitent une grande main d' oeuvre, le bourg se développe et voit l'apparition de petits commerces. Le monastère de Montsalvy connaît un essor important. La ville prend alors son nom, Montsalvy : Mons salutatis, mont de la sauveté ou Mons Salvii, mont du sauvé. L' Église a depuis canonisé Gausbert et son successeur Bernard. A voir : Son église Abbatiale du XII éme avec sa salle capitulaire et le réfectoire. . .
VILLENEUVE D'AVEYRON, LA PURE SIMPLICITE D'UNE BASTIDE MEDIEVALEBeaux villages
Villeneuve - avec Najac , Villefranche-de-Rouergue , Sauveterre-de-Rouergue , et La Bastide-l'Évêque - est l'une des cinq bastides (des « villes neuves » médiévales caractérisées par un plan d’urbanisme novateur) du département, toutes situées à l'ouest, près du département voisin du Lot. Ces bastides furent construites aux XIIIe et XIVe siècles pour faire face à la forte croissance démographique dans la région du Sud-Ouest à cette époque (on en construisit 315 dans une période de 150 ans, entre 1229 et 1373). Histoire Villeneuve, en occitan : Vilanòva. Villeneuve doit sa naissance au pèlerinage sur les Lieux Saints, à Jérusalem, que fit le seigneur du lieu, Ozile de Morlhon, soucieux du salut de son âme et de celle de ses ancêtres, qui, dans un acte de donation rédigé à Jérusalem offrit au Patriarche Sophronius de construire, sur ses terres « rougeâtres » de l' Aveyron, près de Mauriac, un monastère fonctionnant sous la règle du Saint-Sépulcre et pour lequel le Patriarche recevrait tous les ans un bezan d’or. C’était en fait la fondation de ce qui allait devenir plus tard Villeneuve. En 1072, les Turcs ayant envahi Jérusalem. . .
LE CHATEAU DE CONROS A ARPAJON-SUR-CEREChâteaux
Le Château de Conros est un château médiéval située à Arpajon-sur-Cère dans le Cantal et fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 30 septembre 1991. Le château de Conros se dresse depuis le Haut Moyen-Âge sur son éperon rocheux qui domine la boucle magnifique et sauvage de la Cère. L'imposant donjon médiéval, flanqué d'un corps de logis et deux tours rondes, a été transformé à la Renaissance en une majestueuse demeure. La beauté et la pureté de son architecture en font un ensemble harmonieux, mis en valeur par un beau parc romantique, sublimé par des arbres centenaires et des fleurs odoriférantes. Conros abrite l'exposition " Ode aux Parfums " et le musée "Arts et traditions". Habité par la même famille depuis plus de quatre siècles, Conros vous accueille : salle d'armes voûtée, vivant témoignage des arts et traditions populaires de la Haute Auvergne rurale; immenses cheminées dont celle de la salle des gardes décorée de fresques du XVIème siècle; rare escalier Renaissance et puissante charpente soutenant l'un des plus grandes toitures du Cantal. Description du Château de Conros :. . .
HISTOIRE DU DEPARTEMENT DE L'AVEYRONHistoire
Avant la conquête romaine, le Rouergue (aujourd’hui le département de l’Aveyron) était habité par les Rutheni, ainsi appelés de leur idole Ruth, sorte de Vénus celtique dont le culte subsistait encore au Ve siècle de notre ère. Nation puissante, les Ruthènes avaient trois cités principales : Segodun, en langue celtique montagne à seigle (Rodez ) ; Condatemag, ville du confluent (au quartier d’Embarri, près de Millau ), et Carentomag, ville des parents (Caranton). Sur tous ces points on a découvert des ossements, des monnaies, des médailles, des poteries et d’autres objets d’art et d’industrie qui semblent confirmer la position de ces trois cités gauloises. Voisins et alliés des Arvernes, les Ruthènes les suivirent dans leurs expéditions au delà des Alpes et combattirent dans leurs rangs pour l’indépendance nationale. Betultich ou Bituit, chef des Arvernes, comptait dans son armée vingt-deux mille archers ruthènes, lorsque, joint aux Allobroges, il marcha contre le consul Quintus Fabius Maximus et lui livra bataille au confluent du Rhône et de l’Isère, l’an 121 avant notre ère. On sait que l’armée confédérée fut vaincue et qu’une. . .
LAC DE CASTELNAU LASSOUTSNature
Tout en longueur, le lac de Castelnau-Lassouts-Lous, aux rives pentues et verdoyantes, a conservé son charme sauvage. C'est un lac artificiel d'EDF d'une superficie de 218 hectares. Le lac de Castelnau-Lassouts, appelé aussi lac de Saint-Geniez , suit exactement le tracé de l'ancien lit du Lot produisant sa principale alimentation en eau. C’est un lac très riche en nourriture naturelle car c’est le premier barrage de la rivière Lot. C'est un plan d'eau tout on longueur s'étalant sur quinze kilomètres pour une largeur moyenne de deux cents mètres fermé par deux digues distantes d'un kilomètre. Les accès routiers sont limités et concentrés dans la zone amont et dans la zone aval. A partir de Saint-Geniez , sur la rive droite, la route longe l'eau jusqu'à Lous ; sur la rive gauche on arrive à Cabanac, haut-lieu de rassemblement des pêcheurs en bateau. De la, et sur huit kilomètres, le lac serpente dans des gorges sauvages.
LA COUVERTOIRADE, LE ROYAUME DES TEMPLIERS Beaux villages
La Couvertoirade se situe dans le sud du département de l'Aveyron est classé parmi les « Plus beaux villages de France » que compte l'Aveyron. A une altitude de 800 mètres, cette commune de 6000 hectares, elle est peuplée de 173 habitants répartis sur le bourg et plusieurs hameaux. Dressée au cœur du plateau du Larzac , la cité vaut bien un petit détour pour se plonger dans l'ambiance de l'histoire. Parmi les différentes cités templières situées sur le causse du Larzac (La Cavalerie , Sainte-Eulalie-de-Cernon , Viala-du-Pas-de-Jaux , ...), La Couvertoirade est certainement la plus connue du fait de son état de conservation exceptionnel. Dans les pierres de La Couvertoirade se lit l'histoire des légendaires Templiers. Ces derniers occupèrent le Larzac du 12ème au 14ème siècle. Les moines soldats de cet ordre militaire n'étaient pas seulement des combattants. Ils furent aussi des bâtisseurs, des gestionnaires avisés, des rassembleurs de populations éparses, des producteurs de richesse agricole. Ils firent ainsi fructifier les terres du Larzac , essentiellement pour alimenter l'effort de guerre de leurs frères partis aux croisades. En. . .
MILLAU, CAPITALE DU CUIR ET DE LA GANTERIETourisme
Millau (en patois rouergat Milhau) est une commune française, faisant partie du département de l'Aveyron lui même intégré à la région Midi-Pyrénées, à 70 Km de Rodez , la capitale de l'Aveyron. Ses habitants à l'année s'appellent les Millavois. Elle est incluse dans le parc naturel régional des Grands Causses. Le territoire de cette commune matérialise une fraction sud du Massif Central. Il est traversé par la rivière Dourbie qui se jette dans la rivière Tarn. Aux portes de la Méditerranée et au pied de son désormais célèbre Viaduc , Millau cultive son art de vivre ! D'où que l'on vienne, on aborde le cœur de ville par des avenues plantées d'arbres à l'atmosphère toute méridionale. De la place du Mandarous où il fait bon s'arrêter pour se désaltérer, aux vieilles ruelles qui serpentent dans le vieux Millau, il est agréable de flâner et de découvrir un patrimoine architectural très riche (lavoirs, façades d'anciens hôtels particuliers, la place Foch, les Halles, le Beffroi …), entouré de jardins remarquables de fraîcheur et de couleurs. Millau, c’est aussi la capitale du sport nature et loisirs : la Ville s’est dotée d'équipements. . .
LE CHATEAU DE TAURINESChâteaux
Bâtisse imposante, l'architecture actuelle du château de Taurines témoigne des divers remaniements dont ce bâtiment a fait l'objet. C'est au XIIIe siècle qu'un premier château fort est construit. C'est un édifice a base carrée avec quatre tours, fossés et pont levis. L'escalier en vis date de cette époque. Le château est possession des Guitard, seigneurs de Taurines dès la fin du XIVe siècle. Au XVIe siècle, l'édifice est transformé en résidence Renaissance, et en juin 1574, le château qui était fief des Protestants est assiégé, pris et incendié par les Catholiques. La Seigneurie de Taurines passa en 1612 aux mains de la famille des Tubières-Grimoard qui entreprit dès 1616 des travaux de restauration du château avec la mise en place de nouveaux mâchicoulis et d'un parapet. En 1621, de nouveaux travaux concernèrent deux tours et leurs mâchicoulis. Par la suite les seigneurs de Taurines qui évoluaient parmi les plus hautes strates de la Société délaissèrent le château. Ce fut le début d'un lent abandon qui s'accéléra avec la ruine partielle et les pillages des XIXe et XXe siècles. En 1830, la moitié du Château est. . .
LE MUSEE ARCHEOLOGIQUE DE BANASSAC Culturel
Le Musée archéologique de Banassac nous rappelle le passé glorieux de ce village gallo-romain. La salle d’exposition a ouvert ses portes en 1989 à l’initiative de l’Association archéologique de Banassac, sous la direction de M. Gilbert Fages. C’est grâce à la production de poteries sigillées (signées), entre le Ier et le IIIe siècle après J.C., que le bourg devient un centre économique important, au sein de l’Empire romain : on a retrouvé des céramiques provenant de ses ateliers jusqu’en Hongrie et en Pologne. Banassac est encore un pôle majeur dans la Gaule mérovingienne, comme le prouve la présence d’un atelier monétaire royal des Francs d’Austrasie. Plusieurs centaines de pièces de monnaies (en or et en argent) issues de Banassac sont aujourd’hui conservées dans le monde. Présentation de la commune de Banassac : Banassac est située au confluent de l’Urugne et du Lot. Le village est bâti sur un vicus (petite agglomération Gallo-Romaine). La commune compte une vingtaine de hameaux, s’étendant de part et d’autre du Lot , et des ruisseaux de l’Urugne et le Saint Saturnin. Son territoire est. . .
 
     
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