Pays d'Entraygues situé dans le Nord Aveyron - France
 
Balades sportives dans les sentiers et chemins de l'Aveyron
 
Une gastronomie aux saveurs de terroir - Aveyron
 
Entraygues, cité aux nombreux vestiges moyenâgeux - France
 
 
 
 
Actualités en Aveyron
LE FEL: VILLAGE DOMINANT LA VALLEE DU LOTBeaux villages
Ce petit village traditionnel est construit sur une crête étroite dominant la vallée du Lot. Le Fel est un petit village typique et magnifiquement restauré avec ses maisons de schiste ocre et ses toits de Lauzes. Un panorama sublime de la vallée du Lot, au cœur du village pittoresque, entouré de vignes cultivées en terrasse. L'église de Roussy située à 900 m du Fel est édifiée au sommet d'un piton. Elle est dite "des horizons" grâce au beau point de vue qu'elle offre sur la vallée. A voir également la Chapelle de Crestes datée de 1636. Bref Historique de la commune L'actuelle commune du Fel est l'aboutissement de la séparation en 1851 des paroisses de Roussy et de Ginolhac de la commune d'Entraygues , qui a alors donnée naissance à celle d'Enguialès. Ce hameau, de part sa position centrale a été choisi comme chef lieu. En 1946, Ginolhac a finalement été rattaché à la commune d'Entraygues. Le village du Fel, le plus important démographiquement, est alors devenu naturellement le nouveau chef lieu, dont l'appellation n'a officiellement changé qu'en 1996. Du tungstène a été extrait du sous-sol communal durant la décennie 1969-1979, au nord du hameau d'Enguialès, où les traces de cette activité minière vont sans doute encore longtemps marquer le paysage. Le Fel est historiquement et géographiquement lié au siège paroissial, Roussy, distant d'environ 500 mètres seulement. Ils reposent tous deux sur une crête globalement parallèle à la rivière du Lot, Roussy étant au sommet, à l'Est du Fel. Voir aussi notre article : VINS D'ENTRAYGUES ET DU FEL
MUR DE BARREZ EN CARLADEZ ENTRE ROUERGUE ET AUVERGNEBeaux villages
Propriété des comtes de Rodez vers 1217, la cité fut à deux reprises entre les mains des anglais lors de la guerre de Cent Ans (en 1373 et 1418) avant de subir l'assaut des calvinistes de 1574 à 1590. Ce qui engendra la destruction du château en 1620 sur ordre de Richelieu, craignant que la forteresse ne contribue à favoriser l'expansion d'une rébellion contre le royaume. La ville offrait alors un visage plutôt cossu ; aux nombreuses foires attirant marchands, négociants et paysans du Carladez , mais aussi de Rouergue et d'Auvergne, s'ajoutaient les activités liées à la présence d'un certain nombre d'institutions religieuses et d'une petite bourgeoisie locale d'avocats et de notaires. En 1643, les Grimaldi de Monaco héritèrent de la seigneurie de Carladez , après avoir reçu celle de Carlat dont elle dépendait. Le Carladez demeura propriété des Grimaldi jusqu'en 1789. Deux ans plus tard, le débat fit rage entre les tenants d'un rattachement du Barrez (partie méridionale du Carladez ) au nouveau département du Cantal, ou bien à celui de l'Aveyron. C'est la position des députés Lambel et Bô qui l'emporta, à savoir le rattachement à l'Aveyron : l'ancienneté des liens tissés avec Rodez , la difficulté d'accéder à Aurillac , la compétence, au XVIIIe siècle, de Villefranche-de-Rouergue en matière politique et financière ont joué dans cette décision. Mur-de-Barrez, chef-lieu de canton, est situé à 800 m d’altitude aux pieds des Monts du Cantal dans la région historique du Carladez : pays de marche entre Rouergue au sud et Auvergne au nord, il connaît encore cette ambivalence, tout en faisant partie de la région Toulouse Midi-Pyrénées, il se reconnaît Auvergnat, par ses coutumes, son architecture, sa géographie. La Tour de Monaco La Tour de Monaco, tour-porche, est l'un des rares éléments subsistants de la fortification de la ville (1437 convention entre Bonne de Berry et les habitants du Mur-de-Barrez). La destruction. . .
ST GENIEZ D'OLT EN AVEYRONBeaux villages
Saint-Geniez d’Olt est une petite ville de 2000 habitants permanents dont la population quadruple en saison estivale. Sa situation privilégiée en bordure du Lot et à mi-chemin entre deux régions naturelles recherchées (les Causses au sud et le Plateau de l’Aubrac au nord) en fait un lieu de vie idéal dans un environnement préservé. L’autoroute A75 est à 15 mn, ramenant la côte méditerranéenne à moins deux heures de route. L’aéroport de Rodez est à moins d’1 heure. Le visiteur qui découvre Saint Geniez pour la première fois est frappé par la richesse architecturale de cette ville. L’homogénéité de son bâti se traduit par de grandes places, des églises et chapelles, des monuments classés, de nombreux hôtels particuliers, des vieux quartiers typiques ... Le Cloître Ce bâtiment, du XIV ème, abrite en partie les services administratifs et culturels, dont l'Hôtel de Ville. Vous pourrez y visiter la célèbre salle des Illustres, ornée de tableaux de personnalités qui ont marqué l’histoire de Saint-Geniez: l’Abbé Guillaume Raynal (philosophe du XVIIIè), l’Abbé Bonnaterre (étudia le comportement de l’enfant sauvage ), Pierre Thédenat (mathématicien), le Comte de Frayssinous... La Chapelle des Augustins, dite Eglise des Pénitents, renferme des reliquaires en bois doré, une pietà et surtout un très beau triptyque du XVI ème Siècle. La Chapelle des Pénitents Noirs possède un plafond peint sur bois daté de 1704 représentant les quatre évangélistes, des Ermites et diverses scènes bibliques. Ce bâtiment est le siège de l’Office de Tourisme. De son âge d’or (XVII et XVIII ème), Saint-Geniez a conservé trois hôtels particuliers: l’Hôtel de Ricard, l'Hôtel de Fajole et l’Hôtel du Grand Rivié (demeures privées). Ce dernier, classé Monument Historique, renferme un remarquable escalier intérieur à balustres de pierre. La statue des Marmots sur le Pont Vieux. La légende : Les. . .
DECAZEVILLE : ANCIENNE INDUSTRIE EN BASSIN HOUILLERBeaux villages
Pôle industriel dans un département vert, Decazeville est un passage obligé pour tous les passionnés de tourisme industriel. Ville récente d'environ 170 ans, elle a été créée par le Duc Decazes (1788-1860) pour exploiter la houille et mettre en place l'industrie sidérurgique. C'est l'une des premières villes bâties autour et à cause de l'industrie. A l'origine, des marécages se trouvaient sur ces terres. Decazeville connaît de grands jours et est en pleine expansion jusqu'en 1855, date à laquelle le traité de libre échange signé avec l'Angleterre provoque une très longue crise métallurgique nationale. Il faut attendre 1914 pour voir une nette reprise, mais la métallurgie décline peu à peu, après la guerre. Les mines souterraines ont été abandonnées en 1966. La concentration des efforts s'est donc effectuée sur la mine à ciel ouvert, "la découverte" qui est devenue la plus grande exploitation de ce type en France (3,7 km de long, 2,5 km de large, 250 m de profondeur). Aujourd'hui, l'activité est définitivement arrêtée depuis 2001, mais la ville reste très empreinte de son passé minier. Le site de la "Découverte" est en cours de réhabilitation. A voir : - La Découverte : ancienne mine de charbon à ciel ouvert - Musée de Géologie Pierre Vetter - Eglise Notre Dame du XIXe - Chemin de Croix de Gustave Moreau (monument historique) - Monument aux morts d'André Galtier - Mausolée Cabrol
MARCILLAC VALLON: VILLAGE ET VIGNOBLEBeaux villages
Capitale du Vallon qui porte son nom, Marcillac se blottit autour de sa belle église du XIV° siècle à l'imposant clocher octogonal de grès rouge, qui donne tant de caractère à l'architecture de la ville. A l'intérieur du boulevard commerçant, qui occupe l'emplacement des anciens remparts, la vieille ville (site classé) abonde de maisons anciennes, avec leurs encorbellements, sculptures, fenêtres à meneaux, portes de caves. A noter également, une ancienne tour de guêt. Le "Pont Rouge", vestige d'une voie-ferrée industrielle, témoigne de l'exploitation des mines de fer de Montdalazac au siècle dernier et du lien qu'il existait entre Marcillac et Decazeville. "Marcillac" est aussi le nom d'un vin A.O.C. issu d'un vignoble plus que millénaire. Le vigneron du monument au morts, les terrasses de vignes du côteau ou, plus encore, les superbes manoirs et maisons de vignes des vallées de Grand Combe et du Cruou nous le rappellent. Extrait du reportage sur Marcillac vallon diffusé par France2 le 4 janvier 2017 : Retrouvez ce reportage dans son intégralité ici : LE GOÛT DU TARN ET DE L'AVEYRON
LE PAYS DE SALLES-CURAN, ENTITE PAYSAGERE DU LEVEZOUBeaux villages
Salles-Curan est une commune touristique et rurale de 1.100 habitants, chef-lieu de canton, située au centre du département de l’Aveyron , entre Rodez et Millau. Elle s’étend sur un territoire de 9.390 hectares et appartient à l’entité paysagère du Lévézou , haut plateau cristallin vallonné dont l’altitude varie entre 800 et 1.000 mètres et qui culmine au Puech del Pal à 1155 mètres. C’est une région d’économie essentiellement agricole, d’élevage ovin et bovin. La commune est constituée de nombreux villages et hameaux , dont les plus importants sont Bouloc, Les Canabières et une partie de St Martin des Faux. Le canton de Salles-Curan est constitué des communes d’Alrance (417 hab.), Curan (302 hab.), Salles-Curan et Villefranche de Panat (762 hab.). Salles-Curan se trouve à proximité du lac de Pareloup , 5ème lac de France de par sa superficie qui est de 1.260 hectares et plus grand lac de Midi-Pyrénées. La proximité du lac de Pareloup , et de 107 km de berges, fait de Salles-Curan une station touristique pour les amoureux de sport nautique et de nature. Ce lac fait partie d'un aménagement hydraulique, créé par EDF, de 5 lacs qui alimentent une importante centrale hydro-électrique située sur le Tarn, au Truel. A de multiples égards le lac de Pareloup s’avère un paradis pour :
  • La pêche pratiquée depuis les berges ou en embarcation.
  • Le nautisme à voile où le vaste plateau découvert assure aux voiliers et véliplanchistes une pérennité de vents.
  • Le mononautisme, favorisé par la grande dimension du plan d’eau.
La forêt est également présente sur le territoire avec, en particulier, les massifs de La Grave (50 ha) et du Bastit (161 ha), composés essentiellement de feuillus et de résineux. Lieu chargé d’histoire lié aux évêques de Rodez , Salles-Curan possède un riche patrimoine, dont trois monuments remarquables : le château des évêques, l’église collégiale du XVème. . .
MARVEJOLS, VILLE ROYALE EN GEVAUDANBeaux villages
Marvejols en occitan "Maruèjols", est une commune située dans le département de la Lozère en Gévaudan, à 670 mètres d'altitude, aux portes de l'Aubrac et de la Margeride, à proximité des gorges du Tarn et des Causses. Marvejols est une ville historique de caractère marquée par la culture occitane au passé riche de bouleversements et d'anecdotes. Du menhir d'époque gauloise, place Girou, aux trois imposantes portes fortifiées du XVIIème siècle, Marvejols est un véritable voyage à travers le temps et l'histoire du Haut-Languedoc à découvrir au hasard de vos pérégrinations dans ses étroites ruelles datant du Moyen-Age. Marvejols devient "Ville Royale" en 1307 lorsque Philippe IV le Bel en fît sa capitale en Gévaudan. Fortifiée durant la Guerre de Cent Ans, elle se convertit au protestantisme au XVIème siècle et prit parti pour Henri de Navarre futur Henri IV. Assiégée par les troupes du Duc de Joyeuse venues tromper les garnisons du Midi, les 3/4 de la population furent massacrés, la ville incendiée et les fortifications détruites... Reconnaissant, Henri IV fera reconstruire la ville dès 1601. Les trois portes sont les témoins de cette époque de trouble. Un Patrimoine exceptionnel Partez à la découverte du parcours pédestre "le Circuit Henri IV, la ville royale" disponible gratuitement à la Maison du Tourisme de Marvejols. Ce parcours est balisé (au sol, par des médaillons) et compte 17 bornes commentées et illustrées. Au gré de votre visite vous pourrez découvrir, les trois Portes de fortifiées (porte du Soubeyran, porte chanelles et porte du Théron), l'église Notre-Dame de la Carce (XVIIème siècle), les statues modernes sculptées par E. Auricoste de Henri IV et de la Bête du Gévaudan. La légende de la bête du Gévaudan Tout commence le 30 juin 1764 lorsque Jeanne Boulet, une jeune fille de 14 ans est attaquée en plein jour dans le pâturage où elle gardait un troupeau de vaches par un animal. A l'époque,. . .
VILLENEUVE D'AVEYRON, LA PURE SIMPLICITE D'UNE BASTIDE MEDIEVALEBeaux villages
Villeneuve - avec Najac , Villefranche-de-Rouergue , Sauveterre-de-Rouergue , et La Bastide-l'Évêque - est l'une des cinq bastides (des « villes neuves » médiévales caractérisées par un plan d’urbanisme novateur) du département, toutes situées à l'ouest, près du département voisin du Lot. Ces bastides furent construites aux XIIIe et XIVe siècles pour faire face à la forte croissance démographique dans la région du Sud-Ouest à cette époque (on en construisit 315 dans une période de 150 ans, entre 1229 et 1373). Histoire Villeneuve, en occitan : Vilanòva. Villeneuve doit sa naissance au pèlerinage sur les Lieux Saints, à Jérusalem, que fit le seigneur du lieu, Ozile de Morlhon, soucieux du salut de son âme et de celle de ses ancêtres, qui, dans un acte de donation rédigé à Jérusalem offrit au Patriarche Sophronius de construire, sur ses terres « rougeâtres » de l' Aveyron, près de Mauriac, un monastère fonctionnant sous la règle du Saint-Sépulcre et pour lequel le Patriarche recevrait tous les ans un bezan d’or. C’était en fait la fondation de ce qui allait devenir plus tard Villeneuve. En 1072, les Turcs ayant envahi Jérusalem et Ozile étant mort, son fils Raoul de Morlhon donna le monastère encore en construction à l’abbaye de Moissac, elle-même rattachée à Cluny. Le prieur Déodat, en accord avec l’évêque de Rodez Bérenger achevait la construction du monastère et les deux autorités s’accordèrent pour édifier l’église dédiée au Saint-Sépulcre. L’évêque de Rodez , agissant en seigneur du lieu allait y instituer un marché et créer une sauveté pour favoriser le développement du peuplement. Après les péripéties de la Croisade des Albigeois, Simon de Monfort dépouillait la famille de Morlhon de tous ses droits et donnait Villeneuve à l’évêque de Rodez. En 1231, Raymond VII, comte de Toulouse et de Rouergue, réussit, après échange, à reprendre le contrôle de ce fief, qui allait alors devenir une bastide comtale. Villeneuve est la première bastide du Rouergue.. . .
AUBRAC, LE PARADIS DES MARCHEURSBeaux villages
Aubrac, à 1350 m d’altitude, tire son nom de «Alto Braco», qui veut dire «lieu élevé». Malgré cette position que l’on pourrait croire peu favorable, son histoire est riche en rebondissements. A l’aube du XIIème siècle, le plateau de l’Aubrac était livré à une exploitation pastorale plus ou moins incontrôlée. La conséquence en était un appauvrissement général, se traduisant par la présence de landes relativement désertes. La légende dit que l’on y trouvait surtout des voleurs et bandits. Ceux-ci détroussaient les pèlerins venant du Puy-en-Velay et qui utilisaient l’ancienne voie romaine appelée Via Agrippa, menant Lyon à Bordeaux et Toulouse, en passant par Javols, en terre de Peyre, et Rodez , pour se rendre au sanctuaire de Saint-Jacques de Compostelle en Espagne. Ce pèlerinage avait pris un essor dès le Xème siècle. Les difficultés liées au climat et à l’insécurité de la traversée du plateau, conduisirent un dénommé Adalard d’origine flamande à fonder vers 1120, au voisinage le plus élevé, un monastère hôpital destiné à accueillir, servir et soigner toutes sortes de gens passant par là. Un puissant asile se développa rapidement. Les multiples aléas de l’histoire le déferont et le reconstruiront. La révolution française démantèlera cet ensemble colossal. L’ampleur de l’hospitalité permettait de distribuer jusqu’à 5 000 pains par jour et d’héberger simultanément 500 personnes. Pour assurer une telle intendance, la Dômerie gérait une multitude de granges et métairies alimentant cette maison, suivant la charte de la fondation. Avec Roncevaux dans les Pyrénées, Aubrac est un des rares exemples d’hospitalités de ce genre, « le Saint Bernard de la France » Chateaubriand. Malheureusement, les nombreuses destructions ont laissé peu de vestiges. On pourra cependant admirer le style de l’église de Notre Dame des Pauvres, de la Tour des Anglais ou de la maison des gardes forestiers. Outre les vestiges de la Domerie, on peut visiter. . .
PEYRE, VILLAGE RUPESTRE ET INSOLITEBeaux villages
Situé à 7 km en aval de Millau , le village rupestre de Peyre est remarquable à bien des égards, et notamment pour ses maisons de tuf, ses calades (ruelles en pierre) et son église troglodytique, de base romane et fortifiée au XVII siècle. Ce site insolite, sculpté à même la falaise, vous offrira également une vue exceptionnelle sur le Viaduc de Millau. Peyre est une ancienne commune de l'Aveyron, le village de Peyre se situe au bord du Tarn. Depuis 1830, Peyre fait partie de la commune de Comprégnac. En septembre 2003, Peyre est le dixième village d’Aveyron classé Plus beaux villages de France. Le cachet de Peyre tient de la disposition des maisons troglodytiques, en vieilles pierres, protégées sous une falaise de tuf percée de grottes. D’étroites rues en escalier, nommées calades, permettent l’accès aux maisons construites en tuf. Ces rues ne sont pas accessibles en voiture. L'église Saint Christophe est le bâtiment principal. C'est une église troglodytique dont la construction remonte au XIe siècle. Fortifiée au XVIIe siècle, elle a été récemment rénovée et héberge des expositions d’artistes locaux. Un plateau surplombe le village et offre un impressionnant panorama sur le Viaduc de Millau et le Tarn. A voir : Le Viaduc de Millau dessiné par l'architecte anglais Lord Norman Foster, long de 2460 m culmine à une hauteur de 343 m : Une prouesse technique alliant un tablier reposant sur des pilônes d'acier à 7 piles en béton haute performance. L'Eglise troglodytique Accolée à une falaise de tuf, l'église troglodytique Saint Cristofol de Peyre fut baptisée du nom de son Saint Patron, dont une relique fut certainement rapportée d'Espagne par les Croisés Rouergats au X siècle. De base romane, fortifié au XVII siècle, ce lieu de culte présente un ensemble d'éléments défensifs singuliers: bretèches, assomoirs, bouches à feu... . . .
 
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Hôtel du Lion d'Or - 12140 Entraygues-sur-Truyère
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