Hébergement Aveyron : Chambres avec climatisation

A votre disposition, 36 chambres de 1 à 5 personnes. (3 chambres familiales)

Hébergement Aveyron : Chambres climatisées avec baignoire balnéo

Nous accueillons particuliers, familles et groupes.

Hébergement Aveyron : Chambres balnéo

Toutes nos chambres sont avec salle de bain, WC, TV écran plat et fenêtres double vitrage à isolation phonique.

Hébergement Aveyron : Chambres avec balcon terrasse

Certaines avec terrasse donnant sur le jardin, climatisation et salle de bain balnéo

Hébergement Aveyron : Chambres accessibles aux personnes handicapées

Ascenseur, parking extérieur gratuit, location de garages individuels sur demande.

Hébergement Aveyron : 35 chambres - accueil des groupes

Location de studios appart'hôtel tout équipés, 1 à 5 personnes à la semaine.
Accès gratuit aux activités de l'hôtel : Piscine, tennis, mini-golf, salle de gym.
Hébergement Aveyron : Chambres balnéo Chambres avec clim et terrasse
Acces WIFI gratuit aux clients de l'hôtel
Hébergement à Entraygues sur Truyère  Hébergement dans la vallée du Lot
8 studios appart'hôtel avec kitchenette
location Entraygues sur Truyère Aveyron Appartement Entraygues sur Truyère Aveyron

L'Hôtel du Lion d'Or en plein centre d'Entraygues-sur-Truyère avec tous les commerces de proximité.

Hébergement Aveyron : 35 chambres - accueil des groupes
 
 
 
 
Actualités en Aveyron
CHATEAU DE LA SERVAYRIE A MOURET Châteaux
Le Château de La Servayrie est remarquable pour présenter une véritable architecture composite, riche de 8 siècles...Si plus de 30 générations se sont succédé dans cette demeure, aucune n’a détruit ce que la précédente avait réalisé... Ce monument se présente comme une superposition des grandes périodes de notre histoire architecturale. MOYEN AGE C’est au XII° siècle que Bernard d’Entraygues, seigneur d’Entraygues et de Servières s’installe à Mouret et fait construire la tour romane, qu’il habitera ainsi que ses descendants pendant plusieurs siècles. Parfaitement conservée, elle est aujourd’hui un rare et précieux témoin de l’architecture romane et civile de cette époque, incarnant dans le paysage l’important pouvoir de son Seigneur. RENAISSANCE La guerre de cent ans a conduit l’héritière des Entraygues à affecter la tour, surélevée de trois nouveaux étages, au refuge de sa population, tant l’insécurité est grande dans ces campagnes reculées. La guerre terminée, elle est définitivement abandonnée au profit du logis qui lui est adossé… L’architecture militaire est abandonnée au profit de celle de Vitruve faisant de La Servayrie une demeure de plaisance avec son grand escalier d’honneur, ses galeries, ses vastes salles lumineuses : Salle d’apparat, salle d’honneur, galerie. GRAND SIECLE Jean de Laroque de Sénézergues réalisera une nouvelle campagne de travaux sous le règne de Louis XIV pour donner à la Servayrie l’éclat digne de son rang. Le logis est surélevé d’un nouveau étage, couronné d’une charpente à « la Mansart » véritable carène de navire renversée. Enfilade de salons, cheminées monumentales, salle d’apparat. 21ème SIECLE Si une demeure ancestrale comme la Servayrie témoigne de la vie des siècles passés elle sera aussi pour les générations futures le témoignage de notre. . .
LE CHATEAU FORT DE SAINT-BEAUZELYChâteaux
Le village de Saint-Beauzély : Dans le Parc Naturel Régional des Grands Causses , au coeur de la vallée de la Muse, Saint-Beauzély fut longtemps le pays des tailleurs de pierres et de bâtisseurs à qui sont dus de nombreux bâtiments du Sud-Aveyron. Saint-Beauzély est un lieu où dolmens, vestiges de temples gallo-romains et voie romaine témoignent d'un habitat ancien. Le village, groupé autour de l'église est cité dès 1082. Il tire son nom de Saint Baudile, patron de la paroisse. Le château : Le premier château existait au XIIème siècle. Il à été réaménagé au XVIème siècle. Ses deux corps de bâtiments avec mâchicoulis et fenêtres à croisée ouvrent chacun sur une belle porte à fronton triangulaire. S'appuyant sur le château, la porte de la Madeleine enjambe la rue. Elle témoigne des anciens remparts. Il a été la propriété successive des familles de Lévézou (XIIIé s.), Brenguier d'Arpajon (XIVè s.) puis des Roquelaure. Au XIXème siècle, la famille de Gaujal en fait don aux religieuses de la Saint Famille qui le transforment en ‚cole de 1835 à 1961. Il est aujourd'hui propriété de la commune et abrite le Musée Mémoire de la Vie Rurale. Le Musée : Le Musée a ouvert ses portes en mai 1990. Il rassemble aujourd'hui une collection de près de deux mille objets présentant les activités traditionnelles, l'artisanat et la vie quotidienne de nos aïeuls. Il occupe actuellement deux étages du château ainsi que le fossé. Les visites peuvent être commentées par nos animateurs pour ceux qui le souhaitent. Chacun pourra, en fonction de son âge, retrouver le souvenir des gestes qu'il a pratiqué ou qu'ont pratiqués ses parents ou voisins dans un passé qui n'est pas si ancien que cela. Qui ne se souvient pas du geste du faucheur, du bruit de la pierre à eau ravivant. . .
LA TOUR DE PEYREBRUNEChâteaux
La tour rectangulaire du XIVe siècle s’élève sur un sommet granitique, elle témoigne de la présence passée du Château des Seigneurs de Panat (XIe-XVe siècles). De plan rectangulaire, elle est possède 5 étages voûtés. Au XVIIe siècle, le Cardinal Richelieu fit détruire murailles et châteaux forts du Midi afin de châtier les chefs calvinistes. Peyrebrune ne fut pas épargnée. Les Seigneurs de Peyrebrune devenus protestants avaient combattu aux côtés des Calvinistes, seul le donjon de la forteresse fut préservé. En 1848, la tour fut endommagée par un groupe, probablement exalté par des idées révolutionnaires. En 1898, l’abbé Hippolyte Amouroux acquit l’édifice, érigea une chapelle, un escalier et monta une statue de la Vierge à son sommet. Il instaura également un pèlerinage annuel fin août, l’événement est toujours organisé ! Suscitant une singulière passion chez deux personnages de la région, une confrérie de cavaliers fut crée en l’honneur de la tour, l’Ordre des chevaliers de Peyrebrune. Depuis 1968, ces chevaliers se réunissent une fois par an et procède à l’intronisation de grands cavaliers de tout le pays. La tour millénaire domine encore fièrement du haut de son puech (913 m) la Vallée de l'Alrance et son lac. Site de 31 ha avec nombreuses tables de pique-nique, circuits de randonnées, manège chevaux... Siège de la Seigneurie de Peyrebrune, cette tour millénaire domine encore fièrement du haut de son puech (913 m) la Vallée de l'Alrance et son lac. Restaurée récemment et mise en valeur par les bénévoles de l'association des "Amis de Peyrebrune" d'Alrance, sa visite débutant par la projection d'une vidéo vous plongera directement au coeur de l'histoire locale. Vous apprécierez ensuite son architecture en gravissant ses marches pour atteindre son sommet. Un panorama exceptionnel sur le Lévézou et sur les Pyrénées s'ouvrira à. . .
LE CHATEAU DE SAINT-IZAIRE, UN CHÂTEAU FORT DE GRES ROUGEChâteaux
Le château de Saint-Izaire est un château épiscopal du XIVe siècle situé sur la commune de Saint-Izaire dans l'Aveyron. Il domine un méandre du Dourdou. Il sert tour à tour de résidence d’été des évêques de Vabres et de lieu de refuge face aux dangers du moment. La construction de ce château épiscopal s'est tenue de 1317 à 1346. En 1568, le château est en grande partie saccagé par les guerres de Religion. De 1673 à 1710, les ailes ouest et sud sont remaniées. Sur plan carré avec une cour centrale, le château a l'apparence d'une forteresse. Au sud, une tour centrale se détache en hauteur et des tourelles ornent les angles, seule fantaisie de cette architecture massive. Prévu pour servir d'abord de place forte (meurtrières à fusil visibles dans le rempart), le château fut transformé en résidence d'été et doté à l'intérieur d'éléments décoratifs. Les murs de la chapelle sont peints d'un décor géométrique du XIVe siècle, recouvert par endroits de scènes du XVIIIe siècle avec grands personnages. La "Chambre de l'Evêque" est ornée d'un plafond à caissons en bois peint polychrome, du XVIIe siècle. Une chambre haute conserve des traces de décor peint du XIVe ou XVe siècle, propriété de la commune La visite ... On peut y grimper à pied en empruntant une belle rue pavée qui passe devant l’église. Vaste édifice rectangulaire, massif, bâti en grès rouge au XIVe siècle, le château au Moyen Age était nettement plus austère. Au XVIIe siècle, son allure et sa position géographique en font la résidence d’été des évêques de Vabres L’Abbaye. La visite débute par la cour intérieure et la salle du pressoir qui sont toutes les deux aménagées pour les mariages et les réceptions. On poursuit la visite à l’intérieur du château, où l’on découvre des salles aménagées : salle de classe, cuisine à l’ancienne, puis, dans ce qui constitue la chambre des Evêques,. . .
LE CHATEAU DU BOSC, DEMEURE DU PEINTRE TOULOUSE-LAUTREC Châteaux
La notoriété de la commune de Camjac repose en majeure partie sur la présence du château du bosc, demeure d'enfance du peintre Henri de Toulouse-Lautrec (1864-1901) dont le nom reste attaché au Paris des plaisirs de la Belle Epoque. A chaque pas, sous les vieux arbres du domaine, on bute sur son ombre. Dans l'allée, on le croise sur le tricar Bollée que conduit l'un de ses cousins,le docteur Gabriel Tapié de Celeran. Près de la chapelle, on le regarde peindre à l'ombre tandis que l'une de ses cousines pose et rôtit au soleil. On emboîte son pas curieux pour aller voir les animaux de la ferme. On le suit encore dans le bois de la Gravasse puis dans l'orangerie où il ne résiste pas à 'envie de crayonner des chevaux sur les plâtres des murs... Les deux tours du château datent du XII è. siècle au temps où Le Bosc était une forteresse. Remaniée au XVI è siècle comme l'attestent les fenêtres à meneaux puis au XIX è. siècle par la grand-mère maternelle du peintre, cette demeure est ouverte au public toute l'année depuis 1954. On visite tour à tour la bibliothèque, la grande salle ou salle des gardes qui s'orne d'une cheminée Renaissance portant la date de 1521, un oratoire du XII è siècle, le grand salon et ses tapisseries d'Aubusson du XVIII è siècle, la chambre d'enfant du peintre et un musée où sont rassemblés oeuvres de jeunesse, lithographies et affiches. Fait exceptionnel, de père en fils ou d'oncle à neveu, Le Bosc n'a jamais été vendu ; il appartient toujours à la famille Tapié de Céleyran. VISITE DU CHATEAU Inscrit à l'Inventaire supplémentaire des Monuments historiques, le Bosc est ouvert aux visites depuis 1954. Donnant sur la cour intérieure, l'ancienne petite écurie, aménagée en galeries, reçoit des expositions temportaires. Après la visite de la bibliothèque, au second étage est située la grande salle, avec son décor de tapisseries Felletin (Aubusson). . .
LA COMMANDERIE HOSPITALIERE DE LUGANChâteaux
Commanderie du XIIème siècle, édifiée par l'ordre des Hospitaliers de Saint Jean de Jérusalem, actuellement Ordre de Malte. C'était à l'origine un corps de logis carré flanqué de quatre tours rondes - une partie abrite un foyer, logement pour personnes âgées et perpétue ainsi sa vocation Hospitalière. L'église a été insérée dans le bâtiment dont elle forme le front sud ouest - le choeur du XIIième siècle a un chevet de plan rectangulaire avec une abside intérieure en cul de four (peu commun en rouergue et unique dans l'ordre de Saint Jean de Jérusalem). Le clocher octogonal date de 1848 possède un escalier a vis en bois. Une exposition avec vidéo qui propose l'histoire des hospitaliers, est présentée dans une magnifique salle voutée qui était la citerne de la commanderie. Une commanderie rurale au XIIème siècle : Nous sommes en l’an 1180, les chevaliers de l’Ordre de l’Hôpital de Saint Jean de Jérusalem accompagnés de Guilhem de Montalègre (grand maître de l’Ordre pour le Rouergue) viennent prendre possession des terres données par Baldois de Lugan. L’emplacement de la future commanderie de Lugan est choisi ; bientôt les coups de pioche résonnent. Pendant 428 ans, la commanderie fût rattachée à celle d’Auzits. A partir de 1623, elle eut ses propres commandeurs dont certains portaient de grands noms de France comme Annibal de Castellane d’Aluys (1639-1667). La Révolution Française éclate. Tous les biens de l’Ordre sont considérés comme biens nationaux. La commanderie est vendue le 13 thermidor de l’an III (1er juillet 1795) et devient la propriété d’un luganais Jean-Pierre Amouroux du village de la Joulinie. En 1886, celle qui est devenue Sainte Émilie de Rodat y fonde sa cinquième école de filles dans le bâtiment. En 1960, les religieuses de la Sainte famille ferment l’école et abandonnent la bâtisse. En 1962, deux religieuses franciscaines. . .
LE CHATEAU DE PRUINESChâteaux
Construit en grès rose au XVème, XVIIème, XVIIIème siècle, le château qui s'ouvre sur un escalier Renaissance conserve de belles cuisines, des plafonds XVIIème et dévoile dans ses pièces meublées et décorées une collection de 600 poteries populaires et objets régionnaux du XVIIème siècle à nos jours. Au XVIème siècle des travaux d'aménagement intérieurs furent entrepris. Le plafond peint, datant du XVIIème siècle, possède un décor peint et sculpté très coloré; il est actuellement visible dans une pièce du premier étage de la tour. C'est une curiosité rare en Rouergue qui mérite le détour. Appartenant à la famille Arjac-Solages au XVème siècle puis aux Bancalis au XVIIème siècle, le château est vendu à la municipalité qui en a fait la mairie ainsi que l'école publique de 1917 à 1954. Aujourd'hui propriété de personnes privées, le château de Pruines, a été restauré et meublé dans un ameublement d'époque. Autre curiosité sur le domaine de la commune de Pruines : le pic du Kaymar (707 m). C'est en quittant le village et en montant jusqu'au lieu appelé "le Kaymar " que l'on peut apercevoir la splendide vallée du Dourdou, le village de Pruines et même le clocher de la cathédrale de Rodez. Renseignements et réservations Tel : 05 65 72 91 64 Fax : 05 65 72 91 64 email : château.de.pruines@wanadoo.fr
LE CHATEAU FEODAL DE VEZINS SUR LE LEVEZOUChâteaux
Sur le plateau du Lévézou , à 28 km de Millau et à 45 km de Rodez , le village de Vezins est assis au pied de son château féodal, dont les origines remontent vers 1150 et qui appartient à la famille "De Lévézou de Vezins" depuis 800 ans. L'édifice est animé, au sud-est, par une tourelle, et au sud par une travée centrale en saillie cantonnée de deux tourelles en encorbellement. Cette travée reçoit l'essentiel du décor. Le couronnement de créneaux ajourés fait partie, pour sa part, de la décoration ajoutée au XIXe siècle. La façade sur cour close par des murs crénelés présente quatre corps de bâtiments disposés en fer à cheval. La majorité du décor intérieur remonte au XIXe siècle. Au nord, à l'extrémité de l'allée, se trouve un portail en fer forgé du XVIIIe siècle. Le souvenir du peintre Arnaud de Vezins est lié à cet édifice. Trois styles se juxtaposent : architecture défensive de fer à cheval (caves, passage voûtés du Moyen Age), portes, fenêtres et frontons du style de la Renaissance Italienne et sous l'influence de Violet le Duc, des transformations néogothiques effectuées au XIXe siècle. De la forteresse de Vézian de Vezins (1120) au monument actuel, le Chateau de Vezins n'a jamais quitté la famille de ce nom. Historique du Château de Vizins Les origines du château de Vezins remontent à l'an 1000 : à l'époque, une simple tour érigé sur les vestiges d'une motte castrale fermée d'une simple palissade en bois. En 1358, à l'aube de la guerre de cent-ans, les fortifications comprennent tout un appareil défensif : donjon, douves, coursives, mâchicoulis etc. ... En 1652, après un incendie accidentel, il fut reconstruit sur ses bases (en forme de fer à cheval), avec des éléments de décors (porte, frontons, fenêtres) qui évoque le style de la renaissance Italienne. Vers 1870, le Marquis de Vezins, inspiré par les travaux de Violet le Duc, adopte le. . .
VIEILLEVIE ET SON SPLENDIDE CHATEAU FORT - CANTALChâteaux
Situé dans la vallée du Lot, entre Entraygues sur Truyère et Conques , limitrophe de l'Aveyron et à l'extrême sud du Cantal, le château fort de Vieillevie domine le village le plus méridional du Cantal avec ses cerisiers au Ier siècle et ses vignobles implantés par les moines dès le IXème. Impressionnant et imposant, austère mais protecteur, le château de Vieillevie interpelle les visiteurs... On semble bien petit au pied de ses murs, mais on s'y sent bien ! Cette construction du XIIIème siècle a été remaniée à la Renaissance sans rien perdre de son aspect défensif : un système de fortifications remarquable et un corps de logis rectangulaire encadré de hautes tours aux petits toits coniques, dont la sévérité a été atténuée par l'ajout d'ouvertures... La visite des lieux est guidée... ce n'en est que mieux pour appréhender les 1.000 ans d'histoire avec lesquels vous avez rendez-vous... Les monumentales et splendides cheminées, les espaces réservés aux soldats, ou encore ceux réservés aux seigneurs nous renseignent sur les conditions de vie, les us et coutumes de cette lointaine époque... Plus d'infos sur le site : www.chateau-vieillevie.com
LE CHATEAU DU COLOMBIER A MONDALAZACChâteaux
Une balade enchantée dans le Moyen Âge dans un parc de 7 hectares abritant le Château des Comtes de La Panouse, un jardin médiéval et un Bestiaire Vivant. Propriété familiale du vicomte de la Panouse, fondateur du parc animalier de Thoiry, ce château est dans la famille depuis 30 générations. La forme de l'édifice proche du carré, ses fenêtres de petites dimensions et munies de grilles, la présence de mâchicoulis, d'archères et de canonnières rappellent sa fonction défensive. Le jardin d'Eden Médiéval est l'illustration vivante de l'histoire des jardins de Charlemagne au 15ème siècle. Jadis, dans ce pré fleuri aux mille fleurs violettes, primevères, coquelicots et marguerites, les damoiseaux et damoiselles jouaient au croquet ou aux échecs. On dansait autour de l'Arbre de Mai, on s'embrassait sous la gloriette. Revivez les "riches heures" des châtelaines et de leurs chevaliers d'antan et goûtez dans ce jardin clos, des moments de calme, de détente et d'evasion... Près de la fontaine chantante, parmi les lis de Madone et lis de Turquie, sous les tonnelles ombragées aux vignes grimpantes, parmi la camomille et le thym en petites pelouses et les banquettes inondées de roses, le jardin d'Eden vous offre mille parfums pour vous enivrer du passé et mille raisons... pour y revenir. Au parc animalier, remontez le temps avec les ours, les loups, les lions, les rapaces et le petit gibier ! Promenez-vous dans un parc au milieu des ours en liberté... en pensant aux seigneurs du Moyen-Age qui avaient un ours apprivoisé dans leur chambre à coucher! Au parc animalier, en compagnie du soigneur, découvrez des espèces connues au Moyen Age. Vous dansez avec les loups ou plutôt, vous les observez à l'heure du déjeuner. Les lions que les seigneurs chassaient au Moyen-Age, vous les voyez poser leur griffes sur le tunnel de verre que vous empruntez. CONTACTS : Château du Colombier Mondalazac. . .
 
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