Précédent      1  2  3  4  5  6  7  8  9  10  11  12  13  14  15  16  17  18  19  20        Suivant
 
NOS PARTENAIRES
 
Pour des séjours en famille, en amoureux ou en senior, trouvez des annonces de location vacances en france
Trouvez des offres d'emploi dans divers secteurs et industries de l'Aveyron et commencez votre recherche d'emploi dès aujourd'hui avec Jooble
 
 
 
Actualités en Aveyron
LA RECETTE DE L'ALIGOT, SPECIALITE AVEYRONNAISEGastronomie
L'aligot, emblême de la cuisine aveyronnaise. Pour 4 personnes : 1 kg de pommes de terre bintje 400 gr de tome fraîche 200 gr de crème fraîche épaisse 1 ou 2 gousses d'ail Sel et poivre Eplucher les pommes de terre et les gousses d'ail. Couper les pommes de terre en gros morceaux et les faire cuire avec l'ail 20 minutes dans de l'eau bouillante. Pendant ce temps, couper la tome fraîche en fine lamelles. A la fin de la cuisson retirer l'ail, passer les pommes de terre au presse-purée en ajoutant éventuellement un peu d'eau de cuisson pour obtenir la consistance désirée. Incorporer la crème fraîche en mélangeant avec une cuillère à bois, puis rapidement 400 gr de tome fraîche en remuant énergiquement afin d'aérer l'aligot qui doit filer au bout de la spatule en formant un ruban. on peut, si on le désire, parfumer encore d'une gousse d'ail entière écrasée. A voir également : L'AUBRAC, UNE TERRE DE RENCONTRES
L'ABBAYE CISTERCIENNE FORTIFIEE DE LOC-DIEUTourisme
Fondation Dans une région de dolmens et de brigands, Roger, deuxième abbé de Dalon en Limousin, envoya treize moines en Rouergue pour fonder en 1123 la première abbaye dans l’esprit de Cîteaux. La date de fondation est sujet de discussion, certaines indications d’un acte supposé de fondation sont contradictoires : 21 mars 1123 ou 1124, ou 1134. On sait qu’en mai 1124, Audouin de Parisot fit aux frères de Loc-Dieu un don important qui l’a fait considérer par certains comme le fondateur. L’évêque de Rodez, Adhémar III, leur donna l’église et les dîmes de Colombiers. Ce furent ensuite des seigneurs des environs qui concédèrent à l’abbaye des rentes et des terres. Le lieu choisi, quoique faisant partie du Causse de Limogne, est géologiquement remarquable. Une poche d’argile lui vaut de l’eau et des grands bois, refuge idéal des détrousseurs de la voie toute proche allant de Rodez à Cahors. Lieu donc bien mal famé qui méritait le surnom de « locus diaboli », le lieu du diable. Les démêlés des moines et des brigands sont devenus légendaires. Avec la bénédiction de l’évêque de Rodez, l’endroit deviendra quelques années. . .
ENTRAYGUES : VILLAGE FORTIFIE Entraygues
ENTRAYGUES FORTIFIE Entraygues était un village fortifié avec son château et son mur d'enceinte doté de treize tours, 2 tours carrées et 11 tours rondes. Les deux tours carrées étaient les portes d'entrée principale de la Cité toutes deux armées de pont levis. Le Portail Bas appelé Tour de Valiech ou Tour de l'Horloge commandait l'entrée sud du bourg. Le Portail Haut, situé à deux pas de l'actuel syndicat d'initiative, commandait l'entrée nord du village. Cet ensemble fortifié était entouré de fossés. Lorsque vous arpentez l'actuel Passage de l'Horloge, vous êtes sur l'ancien chemin de ronde. Ces fortifications du Moyen-Age furent commencées au XIème siècle et terminées à la fin du XIVème. Au pied du château , à l'extérieur des fortifications, nous retrouvons le lieu-dit "La Peyrade" ainsi nommé parce que c'était autrefois une grève de galets descendant jusqu'au bord de l'eau. Il s'agissait de l'emplacement du port fluvial d'Entraygues d'où embarquaient les gabarres avec leurs cargaisons de vins , fromages et bois en direction de Bordeaux. (Voir notre rubrique Entraygues: NAVIGATION SUR LE LOT : LE TEMPS DES GABARRES).. . .
LE CHATEAU FORT DE SAINT-BEAUZELYChâteaux
Le village de Saint-Beauzély : Dans le Parc Naturel Régional des Grands Causses , au coeur de la vallée de la Muse, Saint-Beauzély fut longtemps le pays des tailleurs de pierres et de bâtisseurs à qui sont dus de nombreux bâtiments du Sud-Aveyron. Saint-Beauzély est un lieu où dolmens, vestiges de temples gallo-romains et voie romaine témoignent d'un habitat ancien. Le village, groupé autour de l'église est cité dès 1082. Il tire son nom de Saint Baudile, patron de la paroisse. Le château : Le premier château existait au XIIème siècle. Il à été réaménagé au XVIème siècle. Ses deux corps de bâtiments avec mâchicoulis et fenêtres à croisée ouvrent chacun sur une belle porte à fronton triangulaire. S'appuyant sur le château, la porte de la Madeleine enjambe la rue. Elle témoigne des anciens remparts. Il a été la propriété successive des familles de Lévézou (XIIIé s.), Brenguier d'Arpajon (XIVè s.) puis des Roquelaure. Au XIXème siècle, la famille de Gaujal en fait don aux religieuses de la Saint Famille qui le transforment en ‚cole de 1835. . .
RODEZ: UNE CITE DEUX FOIS MILLENAIREHistoire
HISTOIRE Rodez est une ville deux fois millénaire : son existence remonterait au Ve siècle av. J.-C., lorsqu'une peuplade celtique d'Europe centrale, les Ruthènes, s’arrêta au sud de l'Auvergne pour fonder l'un de ces oppidums caractéristiques de la civilisation gauloise. Sous l'occupation romaine, l'oppidum prend le nom de Segodunum (« La colline de seigle ») en raison de son édification au sommet d'un piton. Le fait ruthène demeurait une réalité si incontournable qu'au Bas-Empire la ville fut baptisée la Civitas Rutenorum ou ville des Ruthènes, puis Ruteni et finalement Rodez. Alors que le christianisme se répandait dans la foulée de l'action évangélisatrice de Saint Amans, la ville n'échappa pas aux troubles des temps barbares qui suivirent la chute de l'Empire romain. UN RICHE PASSE Rodez a été successivement occupée par les Wisigoths, les Francs, les armées des ducs d'Aquitaine et des comtes de Toulouse, ainsi que par les Maures, qui l'investirent en 725 et mirent à bas l'église antique. Plus tard, ce seront les Anglais qui l'investiront lors de la guerre de Cent Ans. Mais l'histoire de. . .
LE TOUR DE FRANCE EN AVEYRON LE 12 JUILLET 2008Manifestations
La Grande Boucle traversera le samedi 12 juillet l'ouest de l'Aveyron. L'occasion pour la FDSEA d'adresser un clin d'oeil atypique aux millions de téléspectateurs Après avoir roulé , en 2004, sur les routes escarpées du Nord-Aveyron, le Tour de France sera de retour dans le département ce samedi 12 juillet, promenant son peloton de favoris, outsiders ou simples "animateurs d'un jour" de Figeac à Toulouse, via le Villefranchois et le Ségala. Il trouvera sur son chemin une oeuvre tout à fait particulière : un coeur de plus de 900 m 2 tracé à la charrue dans un champ enherbé, juste au sortir de La Salvetat-Peyralès. Qui, grâce aux hélicoptères de France Télévision , se découvrira aux fidèles et (très) nombreux téléspectateurs de la plus grande course cycliste du monde. « Un seul but motive cette réalisation : faire participer l'Aveyron à cette grande vitrine estivale des paysages français qu'est le Tour de France, met en avant Dominique Barrau, le leader de la FDSEA. Et qui mieux que les agriculteurs - qui façonnent et préservent depuis des siècles les campagnes aveyronnaises - pouvaient réaliser ce clin d'oeil atypique ! ». . . .
LE PLATEAU DE L'AUBRAC ET LA CASCADE DU DEROCVidéos
L'Aubrac est un haut plateau volcanique et granitique situé au centre-sud du Massif central. Sur 2 500 km2, forêts et pâturages se partagent l’espace. Après la transhumance , marquant le début de la belle saison, on y croise les troupeaux de la magnifique race Aubrac, autour d’innombrables abris de bergers nommés “burons”. Ici, vous serez envahi d’émotions en arpentant les paysages magiques, où la lumière changeante à tout moment sculpte les courbes et les rochers, créant une ambiance unique. En hiver, la neige transforme cette steppe unique en une belle zone nordique où skieurs de fond et de piste savourent les grands espaces. La cascade du Déroc est une chute d'eau du département de la Lozère et constitue l'un des sites naturels les plus remarquables de l'Aubrac. Elle est formée par l'exutoire du lac des Salhiens qui se précipite du haut d'une falaise basaltique (correspondant à une ancienne coulée de lave) et retombe 32 m plus bas. La cascade cache une petite grotte dont le plafond est formé de prismes basaltiques (ou orgues basaltiques).
L'EGLISE ROMANE DE PERSE A ESPALIONCulturel
L'Eglise Romane de Perse ou chapelle Saint-Hilarian-Sainte-Foy, a été bâtie entre la fin du XIe siècle et le début du XIIe. L'église de Perse fut église paroissiale d'Espalion jusqu'à la construction, au XVIe siècle, de l'église Saint-Jean-Baptiste (actuellement Musées des Arts et Traditions populaires et du Scaphandre ) au centre du bourg fortifié. L'église de Perse était située sur l'un des chemins de Compostelle menant du Puy-en-Velay à Conques. Le portail, avec son archivolte monumentale et son tympan, est avec celui de Conques : un des deux seuls exemples de grande décoration sculptée que conserve le Rouergue de l'époque romane. Le tympan proprement dit illustre le thème de la Pentecôte : la Vierge Marie reçoit le Saint-Esprit sous la forme dune colombe et des langues de feu se dirigent vers les apôtres au nombre de dix. Au linteau monolithe se mêlent confusément les thèmes de la Pesée des âmes et du Jugement dernier : au centre, au-dessous des deux plateaux de la balance dont le fléau a disparu, un défunt est étendu sur sa couche, son âme est représentée par un corps nu que se disputent anges et démons. A droite,. . .
VISITE DU PRINCE ALBERT II DE MONACO A MUR-DE-BARREZCélébrités
Le Prince de Monaco s'est rendu mercredi 14 mai 2014 en visite officielle dans le village aveyronnais de Mur-de-Barrez. Descendant de sa Peugeot noire 508 avec une heure de retard sur son programme, Albert II de Monaco fut accueilli chaleureusement par une foule consciente de vivre un moment unique. Et il le fut. Du soleil, des sourires, pas de barrières pour être proche du peuple, des appareils photos et des tablettes portés à bout de bras, la ferveur était à la hauteur de l’attente. Le dévoilement de la plaque sur la tour de Monaco Certes, la princesse Charlène n’est finalement pas venue - victime d’un malaise - mais l’ivresse de la rencontre avec un prince fait toujours rêver. Le maire Alain Cézac a prononcé un discours mêlant histoire et actualité. Puis s’en est suivi le dévoilement de la plaque sur la Tour de Monaco, l’échange de cadeaux (deux modillons pour le prince, une statuette de François de Grimaldi pour la Ville de Mur-de-Barrez ). Le nombreux public, un millier de personnes environ, a pu ne pas quitter d’une semelle son prince, donnant libre cours aux photos, aux mains. . .
LE CANYON DE BOZOULS CREUSE PAR LE DOURDOUTourisme
Naguère inscrit parmi les sept merveilles du Rouergue, le “Trou de Bozouls” est un cirque naturel, un canyon en forme de fer à cheval, creusé dans les calcaires secondaires du Causse Comtal, et au fond duquel coule, tantôt impétueux, tantôt calme, un modeste torrent, le Dourdou. C’est avec une surprise, mêlée pour les âmes sensibles d’un peu d’effroi, que , du bord de la terrasse, place de la Mairie, le visiteur découvrira à ses pieds ce site grandiose et pittoresque, cet immense précipice aux parois pratiquement verticales, formant un cirque de près de 400 m de diamètre et près de 100 m de profondeur. Tout modeste qu’il soit maintenant, c’est le Dourdou, qui durant des millénaires, a creusé cette gigantesque tranchée, dont les flancs sont creusés de fissures et de cavités d’où s’écoulent en hiver, et par temps de fortes pluies, des résurgences. La plus célèbre est, sur la rive droite, la source des Fées. A l’érosion, très faible de nos jours, s’ajoutent encore des éboulements de la roche sapée par en-dessous et minée par de fortes gelées l’hiver; le canyon continue d’évoluer. Enthousiasmé. . .
 
     
 Précédent Logos/Partenariat/Echange de liens Suivant 
 
Hôtel du Lion d'Or - 12140 Entraygues-sur-Truyère
Tel : 05 65 44 50 01 - Fax : 05 65 44 55 43
E-mail : hotel.lion.or@free.fr
 
Copyright © HOTEL-LION-OR.COM 2025