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Actualités en Aveyron
LE MUSEE FENAILLE DE RODEZCulturel
Musée d'archéologie et d'histoire du Rouergue ou le "petit Louvre" de l'Aveyron. Créé il y a 170 ans par la société des lettres sciences et arts de l'Aveyron, le musée s'est patiemment construit grâce à la générosité de ses 1000 donateurs. Ce lieu privilégié appartenait déjà à la population qui en a toujours pris soin, comme pour péserver son "héritage" et son "âme". Maurice Fenaille, pionnier de l'industrie pétrolière et grand amateur d'art, fait don en 1937 de l'hôtel de Jouéry pour accueillir le musée. Ce collectionneur avisé a été mécène de Rodin et des musées célèbres comme le Louvre, Carnavalet, les Arts Décoratifs. Cette traversée dans le temps (de -300 000 ans au XVII ème siècle) débute par une collection unique, celle des statues-menhirs. La plus célèbre est la Dame de Saint-Sernin , exposée dans les plus grandes capitales européennes : à Copenhague, à Paris, à Bonn, à Athènes... Cette collection de statues-menhirs rouergate est la plus ancienne et la plus importante en France. Elle compte plus de 120 monuments répartis dans les 3 départements de l'Aveyron , du Tarn et de l'hérault. Le musée Fenaille qui offre la plus grande collection française des représentations de l'homme "grandeur nature" dispose de 19 pièces dont 17 exposées dans le musée. Elles mesurent de 0.85 cm à 2m10 de haut et pèsent de 90 à 870 kilos. La datation des pièces rouergates est délicate, toutes ayant été retrouvées isolées en pleine nature sans éléments permettant d'en préciser la chronologie. En comparant certains attributs des statuts avec les objets trouvés en fouille, on peut proposer avec vraisemblance une fourchette couvrant la période comprise entre 3500-2200 avant J-C ( Chalcolithique ou Néolithique final ). Sans aucun doute, vous découvrirez l'un des plus beaux musées archéologique de France ! A voir également : LA VALLEE DE L'AVEYRON, DES RACINES DE PIERRES Renseignements. . .
LE MUSEE DENYS-PUECH DE RODEZCulturel
A quelques pas du musée Fenaille, vous pourrez visiter le musée Denys-Puech. La sculpture est leur lien principal. Denys Puech, grand prix de Rome en 1884, fut un éminent statuaire dont l’œuvre est imprégnée d’un goût pour l’antique. Depuis 1989, ce musée est le relais de la création moderne et contemporaine à travers une programmation d’exposition et d’acquisitions qui comprend entre autres les œuvres de François Bouillon, Michel Cure, Martine Damas, Rolino Gaspari, Bernard Pagès, Carmen Perrin, etc... François Morellet a ainsi réalisé Intégration, une sculpture qui orne le pignon des façades nord et sud du musée. Le musée fut fondé en 1903 par le sculpteur Denys Puech (1854-1942), qui fut un des sculpteurs officiels de la Troisième République. Le bâtiment fut réalisé en 1910 par l'architecte A. Boyer. Il dessina un rez-de-chaussée à larges baies pour mettre en valeur la collection de sculptures. La collection permanente présente, outre les œuvres du fondateur, celles d'artistes originaires de la région, notamment le peintre orientaliste Maurice Bompard (1857-1935) et du graveur Eugène Viala (1858-1913). Depuis 1987, des œuvres contemporaines sont également proposées au public dans les expositions temporaires. La naissance du Musée Dès 1903, le sculpteur Denys Puech forme le projet de réaliser à Rodez "un sanctuaire de l'art Aveyronnais". Après avoir offert à la Ville un fonds important de sculptures et de dessins, il convainc ses amis, le peintre orientaliste Maurice Bompard (1857-1935) et le graveur Eugène Viala (1858-1913), de faire don de quelques-unes de leurs oeuvres pour constituer les collections du nouveau musée. Ces œuvres sont actuellement réunies au rez-de-chaussée du musée autour des sculptures de Denys Puech. Le Bâtiment Un écrin pour abriter la donation de l'artiste C’est l’architecte André Boyer qui a dessiné les plans du musée,. . .
LE MOULIN DE TERRAL SUR L'AUBRACCulturel
Le Moulin de Terral est l’un des 15 moulins connus à ce jour qui s’échelonnaient le long de la Boralde de Saint-Chély , boralde étant le nom générique des rivières de l’Aubrac qui alimentent la rive droite du Lot. L’acte de fondation de Terral remonte à 1312. Cette année-là, Hugues Cabrolié et sa femme Raymonde, habitants du château de Salgues, obtiennent du baron de Calmont, seigneur de cette région et maître des cours d’eau non navigables, l’autorisation de construire en ce lieu un moulin de 3 ou 4 meules. Le moulin, bien que propriété des Cabrolié, avait un caractère banal : les habitants des environs étaient tenus d’y faire moudre leurs grains. Au début, les meuniers ne logeaient pas sur place. Terral se développera particulièrement à partir de la seconde moitié du XVII° siècle, sous l’impulsion de la famille Bonal, alliée aux Cabrolié. On doit certainement à Pierre Bonal la construction de la maison d’habitation. À partir de cette époque les meuniers résident sur le site. En 1704, Jean, fils de Pierre, fait construire la grange-étable. Le moulin à huile verra le jour vers le milieu du XVIII° siècle. En 1765, l’implantation des bâtiments était celle que nous connaissons aujourd’hui. Sans enfants, les derniers Bonal vendirent Terral en 1764. La même famille avait tenu le moulin pendant 4 siècles et demi. C’en sera fini des grandes dynasties. Plusieurs meuniers se succéderont jusqu’en 1911, date d’abandon du moulin après le décès de son dernier occupant, Guillaume Bouldoire. Situé dans un environnement particulièrement humide, le moulin à huile va se délabrer peu à peu. Pendant la Seconde Guerre Mondiale, un feu mal maîtrisé embrase le moulin et détruit la toiture. Les murs ne tiennent plus et s’effondrent. Depuis 1998, l’association « Les Amis du Moulin de Terral » restaure le moulin. Ils ont déjà refait une partie des murs, reconstruit le toit, remis en état la meule à huile et le sol. La prochaine étape de la restauration sera la construction. . .
NOUVEAU RECORD MONDIAL POUR UN TABLEAU DE SOULAGECulturel
Il y a quelques jours (Mars 2013), chez Christie's, à Londres, une oeuvre de Pierre Soulages , qui réside à Sète (Hérault), a été adjugée pour une somme de 3 812 240 euros (3 289 250 livres). De 2,02 mètres sur 1,56 mètres, elle a été réalisée le 27 mars 1961, sous les yeux du romancier Roger Vailland. Le prix de ce tableau constitue un nouveau record mondial pour un peintre contemporain. Notons que le musée Soulages , qui ouvrira ses portes au printemps prochain, à Rodez , abritera de nombreuses oeuvres de la période couvrant les années cinquante et soixante, les plus recherchées dans les ventes publiques.
LE MUSEE DU VEINAZES A LACAPELLE-DES-FRAISSECulturel
Le musée du Veinazès présente sur plus de 500m² des ateliers ruraux, des outils et machines agricoles en état de fonctionnement ainsi que des expositions temporaires qui racontent l'histoire de l'ancien pays du Veinazès (actuel canton de Montsalvy ). Musée vivant, cet établissement propose des visites guidées au cours desquelles sont démarrés les différents tracteurs, moteurs, batteuses du début de l'industrialisation agricole locale. Situé à proximité de la RD 920, près de Lafeuillade-en-Vézie, en direction de Montsalvy. Native du Veinazès, la famille Coste a constitué une importante collection sur l'histoire du Veinazès: objets, machines agricoles, ateliers ruraux. Sur 500 m², le musée présente de nombreuses expositions temporaires afin de stimuler la curiosité et renouveler le plaisir du visiteur. Nouveautés 2008 : Espace 'Pommes de terre' (2008 : année internationale) et Espace 'Balances et poids'. La composition permanente se compose d'ateliers artisanaux intégralement reconstitués à leurs dimensions d'origine. L'exposition qui les accompagne honore la mémoire des artisans qui y ont travaillé: Louitou Couderc, menuisier-charpentier de Sansac-Veinazès, Justin Bioulac, le sabotier de Ladinhac et Roger Emérial, le forgeron de Lacapelle-del-Fraisse. A l'interieur du bâtiment, les expositions temporaires présentent des thématiques importantes autour d'une pièce exceptionnelle comme l'alambic du bouilleur de cru. L'exposition temporaire du moment présente des 'Radios et TSF' (1925 - 1960), l'avènement dans le monde rural de ces 'boîtes d'où sortaient des voix'. Le musée est accessible aux handicapés et un carnet de visite est offert à chanque enfant pour l'inciter à se poser des questions. Mais aussi en découvrant la vie des enfants d'autrefois. Pour plus de renseignements : Musée du Veinazès Lacaze 15120 Lacapelle del Fraisse Web : www.musee-veinazes.com
LE MUSEE ARCHEOLOGIQUE DE BANASSAC Culturel
Le Musée archéologique de Banassac nous rappelle le passé glorieux de ce village gallo-romain. La salle d’exposition a ouvert ses portes en 1989 à l’initiative de l’Association archéologique de Banassac, sous la direction de M. Gilbert Fages. C’est grâce à la production de poteries sigillées (signées), entre le Ier et le IIIe siècle après J.C., que le bourg devient un centre économique important, au sein de l’Empire romain : on a retrouvé des céramiques provenant de ses ateliers jusqu’en Hongrie et en Pologne. Banassac est encore un pôle majeur dans la Gaule mérovingienne, comme le prouve la présence d’un atelier monétaire royal des Francs d’Austrasie. Plusieurs centaines de pièces de monnaies (en or et en argent) issues de Banassac sont aujourd’hui conservées dans le monde. Présentation de la commune de Banassac : Banassac est située au confluent de l’Urugne et du Lot. Le village est bâti sur un vicus (petite agglomération Gallo-Romaine). La commune compte une vingtaine de hameaux, s’étendant de part et d’autre du Lot , et des ruisseaux de l’Urugne et le Saint Saturnin. Son territoire est une terre de contraste où se cotoient le calcaire du causse , le grés rouge de la vallée et le basalte des contreforts de l’Aubrac. D’origine gallo-romaine, Banassac était à cette époque un important centre de fabrication de céramiques sigillées. Banassac fut également, à l’époque mérovingienne, un centre de frappe de monnaie. Histoire de Banassac : Banaciacum, village de potiers L’époque romaine a laissé de nombreux vestiges dans le pays gabale, qui a d’ailleurs donné son nom au Gévaudan. Les trois sites majeurs du triangle gallo-romain sont Lanuéjols, Javols et Banassac (Banaciacum). La paix instaurée en Gaule durant les trois premiers siècles de notre ère a permis le fort développement d’une industrie : ce fut l’âge d’or de la céramique. Banaciacum était ainsi. . .
L'ETE PICASSO AU MUSEE SOULAGES DE RODEZCulturel
Inaugurée ce 10 juin 2016 en présence de Pierre Soulages , l'exposition consacrée au peintre, dessinateur et sculpteur espagnol se prolongera jusqu'au 25 septembre 2016 au musée Soulages de Rodez. Pour la plus importante des monographies consacrées au peintre, dessinateur et sculpteur espagnol depuis l'exposition du musée des Augustins en 1965, quatre-vingt-quinze oeuvres, des portraits, des dessins cubistes, des vues d'atelier, des nus, des natures mortes et une trentaine de clichés pris dans l'intimité de l'artiste par les photographes Michel Sima et David Douglas Duncan. L'ensemble qui donne à voir largement la carrière de l'artiste provenant, hormis les peintures d'Antibes, est tiré du fonds que l'artiste avait prévu de transmettre à ses héritiers après sa mort en 1973 et dont une partie est à l'origine de la grande dation qui a fait naître le musée Picasso en 1985. A Rodez , les deux géants de la peinture cohabiteront jusqu'au 25 septembre : Pablo Picasso, l'un des artistes les plus prolifiques du XXe siècle et Pierre Soulages qui a souhaité que l'exposition n'ait pas le caractère conventionnel d'une exposition de musée. Je voulais déshabiller en quelque sorte l'exposition, ou la rhabiller, pour la départir de son caractère conventionnel.
EXPOSITION D'AURELE AU MUSEE DENYS PUECH DE RODEZCulturel
L’ART, C’EST LES AUTRES Cet été, la Ville de Rodez accueille l’artiste-plasticien Aurèle pour une exposition/intervention inédite et exceptionnelle. Du 25 juin au 30 septembre, sous l’impulsion du Musée des Beaux-Arts Denys-Puech et des services culturels de la Ville, Aurèle signe une oeuvre ouverte, participative et collaborative aux dimensions monumentales intitulée « L’Art, c’est les Autres ». L’exposition consiste en l’installation, la transformation en direct et l’exposition-parcours éphémère dans l’espace public de quatre sculptures – GiantLostDog – acheminées par bateau de Shanghai pour l’occasion. EXPOSITION DU 25 JUIN AU 30 SEPTEMBRE 2012 Vernissage le 13 juillet 2012 « L’Art, c’est les Autres » se déroule en deux phases : l’une participative, l’autre collaborative. Dans le cadre de la phase « participative » de ce projet, plusieurs dispositifs ont été mis en place. Ils ont pour but de faire participer l’ensemble de la communauté autour d’une question unique, chère à l’artiste, qui est: «Et vous, que voulez-vous transmettre aux générations futures?» Ces dispositifs sont les suivants : - l’ouverture d’une page Facebook et d’un flux Twitter où chacun est invité à déposer sa réponse à la question. - la création de «boîtes aux lettres» («LostDogBox») disposées un peu partout dans la ville de Rodez. - la réalisation d’un «micro-trottoir» («LostDogSideWalk») par un groupe de jeunes ruthénois où tout un chacun est invité à répondre à la question d’Aurèle. - l’affichage à travers la ville de posters représentant l’affiche originale du chien perdu d’Aurèle complétée par les messages de la communauté récoltés au cours de l’opération. - L’installation d’un micro-musée permettra de recueillir en direct les réponses des visiteurs à la question « Et vous, que voulez-vous transmettre aux générations futures ? » au musée Denys-Puech, à l’occasion de la Nuit des musées, le. . .
L'AVEYRON, LE DEPARTEMENT OU L'ON VIT LE MIEUX ?Culturel
Schématiquement, la France de la santé est coupée en deux : "surmortalité" au nord, où l'on meurt plus jeune et plus souvent de maladies liées à l'alcool et au tabac, et "sous-mortalité" au sud, notamment en Rhône-Alpes et dans le Sud-Ouest. Dans cette dernière région, "les traditions culturelles et les habitudes alimentaires se sont toujours traduites par de bons indicateurs de santé publique, analyse le Dr Françoise Cayla, directrice de l'Observatoire régional de la santé de Midi-Pyrénées. Et si les départements de l'Aveyron et de la Haute-Garonne obtiennent des résultats particulièrement remarquables, c'est parce qu'ils présentent les plus faibles taux de précarité sociale de la région". Une précarité synonyme de mauvaise santé. Pourtant, quatre départements franciliens, où la pauvreté côtoie la richesse (Val-de-Marne, Essonne, Yvelines et Hauts-de-Seine), parviennent à se hisser parmi les dix premiers de notre classement. Publié par L'Express le 18/06/2008 Les sources de L'Express : L'espérance de vie : en années, au 1er janvier 2002. Insee, 2008. La surmortalité : taux de mortalité liée aux comportements individuels (alcool, tabac, suicides et morts violentes), pour 100 000 habitants. Atlas de la santé en France, éd. John Libbey, 2000.
MUSEE DES ARTS ET METIERS TRADITIONNELS DU ROUERGUE: SALLES LA SOURCECulturel
Créé en 1979 dans le cadre de la Charte culturelle conclue entre l’Etat et le département de l’Aveyron, le musée du Rouergue de Salles la Source est aménagé dans les magnifiques bâtiments d’une ancienne filature de laine et manufacture de drap de pays : maçonnerie en pierres de tuf calcaire, colonnes de pierre et de bois, charpente en carène de vaisseau, à la Philibert. Le musée de Salles-la-Source présente les arts et métiers traditionnels du Rouergue. Il est organisé en quatre sections : • Machines d’autrefois : moulins à blé, à huile, à foulon (pâte à papier), martinets pour battre le cuivre, moulins ressaires (pour scier le bois), pressoirs à huile, à vendange ou à fromage... Cette exposition permet d’énumérer et de retrouver les principes mécaniques de base : le levier, le coin, la vis, les engrenages, l’arbre à cames, la bielle-manivelle, le contre-poids, le ressort, etc. • L’homme et le monde minéral : l'eau, le feu, la mine, les matériaux de construction et de couverture, la terre cuite, le plâtre, le verre, le fer (forge, clouterie, horlogerie, coutellerie), le cuivre, les autres métaux ... • L'homme et le monde végétal (le musée de l'agriculture et des métiers du bois) : le travail de la terre, les céréales, le foin, le chanvre, la châtaigne, les variétés fruitières locales, la vigne et le vin, la vannerie, le bûcheron, boscatièrs e carbonièrs, le sabotier, le charron, le menuisier, le charpentier, le fabriquant de chaises, etc. • L’homme et le monde animal : la chasse, la pêche, la maréchalerie, les chevaux, les bovins (les jougs, les attelages, la transhumance et la vie dans les burons de l’Aubrac), les ovins (cabane de berger, la laine, l’industrie fromagère de Roquefort), les caprins, les activités du cuir (tannerie, bourrellerie, ...) les porcs, les volailles, les abeilles, etc. • Par ailleurs, le musée présente deux expositions complémentaires : - au rez-de-chaussée,. . .
 
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