Plan d'accès

Accès par l'autoroute A75 ou l'aéroport de Rodez.

       Entraygues-sur-Truyère par l'autoroute A75 ou l'aéroport de Rodez



Venir par la route

Entraygues-sur-Truyère - France - Europe

Entraygues-sur-Truyère au coeur du nord Aveyron
En provenance du Nord, de Paris :
A10, puis A71 jusqu'à Clermont-Ferrand, puis A75 direction Montpellier.
Prendre la sortie 23 direction Massiac, Aurillac.
A Aurillac, prendre la D920 direction Rodez jusqu'à Entraygues-sur-Truyère.


En provenance de la Région Lyonnaise et de l'Est :
A47 ou N88 par Saint-Etienne, puis A72 jusqu'à Clermont-Ferrand, puis A75 direction Montpellier.
Prendre la sortie 23 direction Massiac, Aurillac.
A Aurillac, prendre la D920 direction Rodez jusqu'à Entraygues-sur-Truyère.


En provenance du Nord-Ouest :
A partir de Limoges, A20 jusqu'à Tulle, puis N120 jusqu'à Aurillac, puis D920 direction Rodez jusqu'à Entraygues-sur-Truyère.

En provenance du Sud-Ouest :
A partir de Toulouse, A68 jusqu'à Albi, puis N88 jusqu'à Rodez, puis D988 jusqu'à Sébazac-Concourès, puis D904 jusqu'à Entraygues-sur-Truyère.

En provenance du Sud-Est, Marseille, Montpellier :
A9 puis N9/A75 par Lodève, Millau, direction Clermont-Ferrand.
Prendre la sortie 42 et continuer sur la N88 direction Rodez.
A Laissac, prendre la D28 jusqu'à Espalion, puis la D920 jusqu'à Entraygues-sur-Truyère.




 
 

Venir par le train


Plusieurs liaisons journalières :
• PARIS / RODEZ
• PARIS / AURILLAC




Informations & Réservations SNCF :
Site web : www.sncf.fr





Venir par l'avion


Aéroport de Rodez-Marcillac.
Site web : www.aeroport-rodez.fr
Aéroport d'Aurillac Tronquières.
Site web : www.caba.fr/fr/aeroport/
 
 
 
 
 
 
Actualités en Aveyron
AFFAIRE FUALDES : UN PROCES QUI RETENTIT DANS TOUTE L'EUROPE DU DEBUT XIXeHistoire
Antoine Bernardin Fualdès (1761-1817). Accusateur public, juge du tribunal criminel de l'Aveyron, procureur impérial en 1811. Antoine Bernardin Fualdès est né à Mur-de-Barrez en Aveyron dans le Rouergue vers 1761. Issu d'une famille de robe, il vient tout juste de terminer ses études quand éclate la révolution. Jacobin modéré, il connaîtra sa première heure de gloire défendant le général Custine dont il parviendra à prouver l'innocence, mais non à éviter l'exécution. Il participera également à la défense de Charlotte Corday ( arrière-arrière petite fille de Pierre Corneille; accusée et exécutée pour l'assassinat de Marat ). Nommé dans la magistrature après le 18 Brumaire, il revient en 1811 à Rodez où il exerce les fonctions de procureur impérial. Bonapartiste affirmé, il connaît la disgrâce avec l'avènement de Louis XVIII, un éphémère retour en poste avec les Cent-Jours avant de prendre sa retraite sous la Restauration. Le 19 mars 1817, il est sauvagement assassiné dans des conditions mystérieuses et son corps est retrouvé flottant dans l'Aveyron. Cet assassinat serait l'œuvre des Chevaliers de la Foi. Parmi les thèses soulevées, celle de la vengeance politique semble la plus probable : les royalistes se seraient vengés du procureur Fualdès qui avait eu une part importante dans l'échec du complot de Rodez en 1814. L'enquête et le procès qui suivront donneront lieu à la célèbre Affaire Fualdès, qui eut un énorme retentissement à travers toute la France et l'Europe en raison des circonstances sordides de l'assassinat, de l'obscurité de l'affaire liée aux conditions politiques troublées des débuts de la Restauration et du début de l'essor de la presse nationale. L'affaire Fualdès frappa si fort ses contemporains, que l'on trouve de nombreuses mentions d'elle dans les ouvrages des plus grands auteurs des XIXe et XXe siècles : Honoré de Balzac : La Muse du département,. . .
L'HISTOIRE DU COUTEAU DE LAGUIOLEHistoire
On écrit LAGUIOLE et on prononce « LAÏOLE ». On a conservé la prononciation ancienne, en patois, en occitan, c’est la raison pour laquelle on parle de Laïole. Début du 19ème siècle Au début du 19ème siècle, le couteau local avait pour nom ‘Capujadou’. C’était une lame fixe et pointue emmanchée sur un morceau de bois ; c’est le premier couteau de Laguiole. 1829 Naissance du couteau Laguiole pliant à cran forcé*. Ce modèle est très proche de la version actuelle que nous connaissons tous. L’Aubrac est un vaste plateau composé de fermes isolées où habitent plusieurs familles. Les aînés partaient faire la saison d’hiver en Catalogne en tant que tâcherons et surtout scieurs de long. Certains d’entre eux sont revenus en Rouergue avec dans leur poche un couteau espagnol : la navaja. Le couteau Laguiole lui prend sa lame de forme yatagan et son manche effilé. *Couteau à cran forcé ou couteau à cran d'arrêt. Le couteau de Laguiole est un couteau pliant à cran forcé. Il ne dispose donc pas, à la différence de l'Opinel, couteau à cran d'arrêt, une bague qui permet de garder la lame constamment ouverte. Dans le cas du Laguiole, le ressort est en permanence en appui sur le talon de la lame. Quand on ouvre le couteau, la tête du ressort (partie où il y a l'abeille) vient se verrouiller dans l'encoche du talon. Ainsi, par simple pression de la lame (on dit que l'on "casse le couteau"), l'on referme le couteau. Il n'y a pas de mécanisme de blocage de la lame. C'est pour cette raison que le Laguiole n'est pas considéré par le législateur comme une arme blanche (dont l'utilisation est restreinte). 1829 - 1880 La production locale est assurée par quelques artisans (souvent les forgerons) et permet de satisfaire la demande des paysans de l'Aubrac. Le. . .
NAVIGATION SUR LE LOT : LE TEMPS DES GABARRES Histoire
Entraygues, comme son nom l'indique entre les eaux, est idéalement située au confluent de deux rivières, le Lot et la Truyère. Cette situation en fit de tout temps un carrefour important de voies de communication. Le Lot "Le Lot ou plutôt : l'Olt (son toponyme véritable) est l'antique Oltis qui prend sa source au pays des Gabales : Le Gévaudan, dans le massif du Goulet qui culmine à 1497 mètres. Sa source se situe à 1382 m d'altitude non loin du village d'Alpiers (Lozère). Sur une distance totale de 471 km la rivière d'Olt baigne quatre régions naturelles : Le Gévaudan (la Lozère), le Rouergue (l'Aveyron), un peu de la haute Auvergne (le Cantal), Le Quercy (le Lot) et l'Agenais (le Lot-et-Garonne) où elle conflue avec la Garonne à Aiguillon, à la pointe du Rébéquet." "Seule voie longitudinale vers l'Aquitaine (Quercy, Agenais, Bordelais) l'Olt, à partir du confluent de la Truyère , fut le grand chemin fluvial antique. Sur une longueur totale dépassant 470 km seuls 256 km de la basse vallée - du port de Livinhac (Bouquiès) à Aiguillon - et 41 km de la haute vallée, dite montagnarde - d'Entraygues à Marcenac (près de Livinhac ) - soit au total 297 km, seront depuis le haut moyen age, le moyen de communication et la voie la plus utilisée pour atteindre la Garonne. Le Lot, depuis Entraygues , n'était navigable et flottable, au maximum, que de quatre à cinq mois par an. Ainsi affirme un proverbe Occitan : De la Sant Martin (11 novembre) a la Sant Jòrdi (23 avril) l'Aiga es merchanda, se lo temps s'i prèsta. Communément, au XV , XVI et XVII siècle la période navigable commençait à la Saint-Michel (29 septembre) et s'interrompait vers la Saint-Jean (24 juin). " Les bateaux "Les actes notariaux, provenant du fond Jany et du Sieur Albespy, notaire royal de la cité d'Entraygues , de 1641 à 1689, nous révèlent exactement ce qu'étaient les embarcations d'alors servant. . .
VISITE DE NICOLAS SARKOZY EN CARLADEZCélébrités
La visite éclair du Président a permis aux filières agricoles de pointer leurs inquiétudes. Le timing était serré, ce jeudi 1 juillet, lors de la venue de Nicolas Sarkozy en Carladez. La visite de l'exploitation de la famille Durand, à Brommat, a duré au final cinq petites minutes avant la dégustation de produits du terroir pour rapidement entrer dans le vif du sujet avec les représentants du monde agricole, dans la grange réaménagée pour la grande circonstance. Successivement, les Jeunes agriculteurs (JA) ont évoqué la problématique de l'installation, la FDSEA celle de l'élevage en montagne, et le président de la fédération de la coopérative Unicor a abordé le volet économique. À l'image de Bruno Montourcy, à la tête des JA « ravi mais avec un certain nombre d'interrogations », les inquiétudes ont été exposées. Pour les JA, le manque de moyens humains pour la formation et le problème foncier pour les personnes qui souhaitent s'installer. Nicolas Sarkozy a répondu par la prochaine mise en place d'une caisse de défiscalisation partielle pour aider les jeunes à garantir leurs installations. Côté aides financières, le Président a rappelé le milliard d'euros retiré aux céréaliers pour les donner aux éleveurs. Avec son style fait de messages directs, interpellant les intervenants par leurs prénoms, Nicolas Sarkozy n'a donc pas annoncé d'aides supplémentaires. « Je comprends votre inquiétude mais franchement, dans la crise actuelle, 13,5 % de hausse de subventions, ayez le sourire au moins ! » A l'écoute toutefois, il a promis de regarder de près le financement de l'accompagnement à la formation. Concernant le volet de l'élevage, Dominique Fayel, à la tête de la FDSEA, a mis en avant « la distorsion communautaire qui n'est pas loyale » demandant « un droit à la concurrence au niveau européen ». Exemple à l'appui sur l'export au point mort avec la Russie qui exige la vaccination pour la fièvre. . .
LA JOCONDE A L'ABBAYE DE LOC-DIEUHistoire
Mai 1940 : alors que les allemands se dirigent vers Paris, les conservateurs du Louvre décident de cacher leurs trésors plus loin que Chambord. C'est ainsi qu'en pleine débâcle, plus de trois mille peintures - dont La Joconde - arrivent à l'abbaye de LOC-DIEU. La « Guerre du Louvre » : c'est ainsi que l'on appelle aujourd'hui cet épisode de l'histoire française qui à donné matière à deux expositions à Paris et à Chambord à l'occasion des 70 ans de ces évènements. Ils sont également abordés au cours de la visite de Loc Dieu ou Camille de Montalivet, propriétaire, propose une présentation de « Jocondes transfigurées ». Les responsables du musée du Louvre se sont préoccupés dès 1939 de mettre les collections à l'abri. L'autorisation est venue en août d'évacuer les chefs-d'œuvre des musées nationaux vers le centre et l'ouest du pays, via Chambord. Mais en mai 1940, alors que les allemands se rapprochent de Paris, les conservateurs décident d'aller plus loin. Loc Dieu, estime Camille de Montalivet, avait dû être repérée par un gardien-chef du Louvre originaire de Villefranche-de-Rouergue. L'église permettait de stocker tous les tableaux, l'accès en était facile et un système anti- incendie pouvait être installé. De plus, les chambres étaient nombreuses dans lesquelles gardiens, conservateurs et leurs familles (soit plus de 250 personnes) pouvaient être logés, ainsi que dans les villages environnants. Plusieurs convois furent nécessaires pour transporter 3500 tableaux, parvenus à destination entre les 5 et 17 juin. Les camions - en particulier ceux de la Comédie Française - sont énormes mais à la dimension de certaines de ces précieuses toiles : les Noces de Cana, de Véronèse, ne mesurent-elles pas 10 mètres sur 7 ? « Les conditions, souligne Camille de Montalivet, ont été certainement très éprouvantes car des millions de Français étaient sur. . .
BERTRAND DELANOE DANS SON TERROIR AVEYRONNAISCélébrités
De l'audace et beaucoup d'émotion Si en chaque parisien il y a un provincial qui s'ignore, ce n'est certes pas le cas du premier d'entre eux. Bertrand Delanoë, et le grand public le sait au moins depuis la parution de son dernier livre, sait faire preuve d'audace. Et jouer aussi sur le registre de l'émotion qui l'a conduit, hier, pour les besoins d'une émission télévisée de Michel Drucker (dimanche 15 juin) à remettre ses pas dans les baskets de son enfance, au lycée Sainte-Marie, de son adolescence et de son entrée dans l'âge mur sur la terrasse du café Le Broussy. Filmé, photographié, questionné, le maire de Paris a sorti le grand jeu, embrassant avec fougue les anciennes copines (la fille du docteur Bonnafous, Régine Taussat, une certaine Lisbeth...) et s'amusdant même à faire toucher ses abdominaux à Lazlo Horwath, son ancien professeur de gymnastique qui a rappelé que son petit élève avait toujours eu « un bon esprit sportif ». Très à l'aise dans ce numéro de charme, Bertrand Delanoë a aussi discuté le coup avec des lycéens, se souvenant de son époque cheveux longs et contestation obligatoire, avant de sacrifier à une séance de dédicaces à la Maison du Livre. Avec, en guise d'échauffement, une petite signature apposée sur le maillot d'un supporter du club de football, PSG. Tout cela a permis de constater que Bertrand Delanoë, visiblement, n'a pas d'ennemis sur Rodez. Entre 1964 et 1974, il avait alors entre 14 et 24 ans, il n'aura donc laissé que de bons souvenirs, cet éternel jeune homme qui fait encore certains matins cinquante ou soixante pompes d'affilée, et qui aime débattre passionnément. Les signatures se sont donc succédé, à un rythme assez rapide, sans qu'il oublie, toutefois, d'embrasser la mère d'un ami, l'ancien hôtelier chez lequel il est resté deux mois avec sa famille, à leur arrivée de Tunisie, le compagnon des premières engagements politiques. Jusqu'au président du conseil. . .
TRESOR DE CONQUES : SAINTE-FOY A FAIT LA FORTUNE DE CONQUESHistoire
Conques serait-il Conques sans le crâne de Sainte-Foy ? Et celui-ci, a-t-il été dérobé ou mis à l'abri lors des invasions normandes qui dévastaient dans les années 800 les bords de la garonne ? L'Eglise s'en tient à une formule magique : la "translation furtive". Tandis que d'autres soutiennent mordicus que les ossements de la jeune martyre d'Agen ont été volés en 866 dans un monastère d'Agen par un moine conquois. Cet agent double aura passé dix ans à Agen pour endormir la méfiance de ses coreligionnaires avant d'entreprendre son méfait. Après cela le crâne sera placé dans le fameux reliquaire d'or et Conques qui s'appauvrissait connaîtra la fortune... Pour accéder au Trésor, il faut passer par les vestiges du cloître. C'est l'un des cinq grands trésors européens d'orfèvrerie médiévale. L'un des rares restes de saints, le crâne de Sainte Foy. Ancienne adolescente chrétienne martyrisée en 303 à Agen, et enfermée dans une exceptionnelle statue. Assise sur un trône et couronnée, la majesté de Sainte Foy est le seul exemplaire conservé des statuts reliques préromanes. Aménagées dans une salle, les reliques sont choyées. Elles auraient pu être confisquées en 1793. Mais, avec ruse, des habitants les cachèrent dans leurs maisons et jardins, pour les rendre plus tard. Ainsi, l'inestimable patrimoine fut sauvé.
PELERINAGE DE SAINT JACQUES DE COMPOSTELLEHistoire
Le pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle ou pèlerinage de Compostelle est un pèlerinage catholique dont le but est d'atteindre le tombeau attribué à l'apôtre saint Jacques le Majeur, situé dans la crypte de la cathédrale de Saint-Jacques-de-Compostelle en Galice (Espagne). C'est un « Chemin semé de nombreuses démonstrations de ferveur, de pénitence, d'hospitalité, d'art et de culture, qui nous parle de manière éloquente des racines spirituelles du Vieux Continent ». Créé et instauré après l'invention des reliques de Jacques de Zébédée au début du ixe siècle, le pèlerinage de Compostelle devient à partir du xie siècle un grand pèlerinage de la Chrétienté médiévale. Mais c'est seulement après la prise de Grenade en 1492, sous le règne de Ferdinand d'Aragon et d'Isabelle la Catholique, que le pape Alexandre VI déclare officiellement Saint-Jacques-de-Compostelle lieu d'un des « trois grands pèlerinages de la Chrétienté », avec ceux de Jérusalem et de Rome. Récemment, l'interprétation du sanctuaire catholique subit une évolution doctrinale : le mot « tombeau » a disparu des discours des derniers papes depuis Jean-Paul II. Jean-Paul II parlant du « mémorial de saint Jacques », sans utiliser le mot « reliques » et Benoît XVI disant simplement que la cathédrale Saint-Jacques-de-Compostelle « est liée à la mémoire de saint Jacques ». Les chemins de Compostelle, qui correspondent à plusieurs itinéraires en Espagne et en France, ont été déclarés en 1987 « Premier itinéraire culturel » par le Conseil de l'Europe. Depuis 2013, ils attirent plus de 200 000 pèlerins chaque année, avec un taux de croissance de plus de 10 % par an. Les pèlerins viennent essentiellement à pied, et souvent de villes proches (demandant peu de jours de marche pour atteindre Santiago). Le Camino francés rassemble les 2/3 des marcheurs, mais les autres chemins « mineurs » connaissent une croissance de leur fréquentation. . .
PIERRE SOULAGES : GRAND PEINTRE AVEYRONNAISCélébrités
Depuis un demi-siècle et plus, l'aveyronnais Pierre Soulages est "le peintre du noir". Pourtant, son matériau premier est la lumière. Portrait du peintre entre ses amours préhistoriques et romanes et sa consécration de Saint-Pétersbourg, où il a été le premier artiste vivant exposé au musée de l’Ermitage. "J’aime l’autorité du noir, dit-il. C’est une couleur qui ne transige pas. Une couleur violente mais qui incite pourtant à l’intériorisation. A la fois couleur et non-couleur. Quand la lumière s’y reflète, il la transforme, la transmute. Il ouvre un champ mental qui lui est propre." Car c’est là que tout se passe : dans la lumière du noir. Ou plutôt dans la faculté du "noir Soulages" à réfléchir la lumière, à la moduler, la sculpter, y soulever des lames de fond, y creuser d’obscures profondeurs, y scander des rythmes et tensions, y plisser des textures géologiques. Pierre Soulages est né le 24 Décembre 1919 à Rodez. Très jeune il est attiré par l'art roman et la préhistoire. Il commence à peindre dans cette province isolée que n'ont pas pénétré les courants artistiques contemporains. A 18 ans, il se rend à Paris pour préparer le professorat de dessin et le concours d'entrée à l'Ecole Nationale supérieure des Beaux-Arts. Il y est admis mais convaincu de la médiocrité de l'enseignement qu'on y reçoit refuse d'y entrer et repart aussitôt pour Rodez. Pendant ce bref séjour à Paris il fréquente le musée du Louvre, il voit des expositions de Cézanne et Picasso qui sont pour lui des révélations. Il a douze ans quand son instituteur l’emmène, avec sa classe, visiter l’abbaye romane de Sainte-Foy de Conques pour leur montrer la splendeur de l’architecture... et la "maladresse" des sculpteurs de l’époque. Soulages est trop jeune encore pour mettre des mots sur l’indignation que provoque en lui ce regard sur la sculpture médiévale, mais. . .
VISITE DU PRINCE ALBERT II DE MONACO A MUR-DE-BARREZCélébrités
Le Prince de Monaco s'est rendu mercredi 14 mai 2014 en visite officielle dans le village aveyronnais de Mur-de-Barrez. Descendant de sa Peugeot noire 508 avec une heure de retard sur son programme, Albert II de Monaco fut accueilli chaleureusement par une foule consciente de vivre un moment unique. Et il le fut. Du soleil, des sourires, pas de barrières pour être proche du peuple, des appareils photos et des tablettes portés à bout de bras, la ferveur était à la hauteur de l’attente. Le dévoilement de la plaque sur la tour de Monaco Certes, la princesse Charlène n’est finalement pas venue - victime d’un malaise - mais l’ivresse de la rencontre avec un prince fait toujours rêver. Le maire Alain Cézac a prononcé un discours mêlant histoire et actualité. Puis s’en est suivi le dévoilement de la plaque sur la Tour de Monaco, l’échange de cadeaux (deux modillons pour le prince, une statuette de François de Grimaldi pour la Ville de Mur-de-Barrez ). Le nombreux public, un millier de personnes environ, a pu ne pas quitter d’une semelle son prince, donnant libre cours aux photos, aux mains tendues et aux petits mots en remontant la Grand’rue au son du groupe folklorique "La Barrézienne" pour visiter la Maison de l’Histoire. Une heure et quart de visite Une vraie communion qui s’est poursuivie à la sortie de la mairie pour signer le livre d’or, ou encore à la sortie de l’église pour un dernier bain de foule. L’heure et quart de présence du prince en Carladez aveyronnais fut largement dépassée. Le prince est reparti au milieu d’un cortège de onze véhicules, et Mur-de-Barrez peut dormir tranquille. UNE PREMIÈRE DEPUIS 300 ANS ! Fruit d'une longue correspondance épistolaire entre la principauté monégasque et l'ancien maire de Mur-de-Barrez. . .
 
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Tel : 05 65 44 50 01 - Fax : 05 65 44 55 43
E-mail : hotel.lion.or@free.fr
 
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