Plan d'accès

Accès par l'autoroute A75 ou l'aéroport de Rodez.

       Entraygues-sur-Truyère par l'autoroute A75 ou l'aéroport de Rodez



Venir par la route

Entraygues-sur-Truyère - France - Europe

Entraygues-sur-Truyère au coeur du nord Aveyron
En provenance du Nord, de Paris :
A10, puis A71 jusqu'à Clermont-Ferrand, puis A75 direction Montpellier.
Prendre la sortie 23 direction Massiac, Aurillac.
A Aurillac, prendre la D920 direction Rodez jusqu'à Entraygues-sur-Truyère.


En provenance de la Région Lyonnaise et de l'Est :
A47 ou N88 par Saint-Etienne, puis A72 jusqu'à Clermont-Ferrand, puis A75 direction Montpellier.
Prendre la sortie 23 direction Massiac, Aurillac.
A Aurillac, prendre la D920 direction Rodez jusqu'à Entraygues-sur-Truyère.


En provenance du Nord-Ouest :
A partir de Limoges, A20 jusqu'à Tulle, puis N120 jusqu'à Aurillac, puis D920 direction Rodez jusqu'à Entraygues-sur-Truyère.

En provenance du Sud-Ouest :
A partir de Toulouse, A68 jusqu'à Albi, puis N88 jusqu'à Rodez, puis D988 jusqu'à Sébazac-Concourès, puis D904 jusqu'à Entraygues-sur-Truyère.

En provenance du Sud-Est, Marseille, Montpellier :
A9 puis N9/A75 par Lodève, Millau, direction Clermont-Ferrand.
Prendre la sortie 42 et continuer sur la N88 direction Rodez.
A Laissac, prendre la D28 jusqu'à Espalion, puis la D920 jusqu'à Entraygues-sur-Truyère.




 
 

Venir par le train


Plusieurs liaisons journalières :
• PARIS / RODEZ
• PARIS / AURILLAC




Informations & Réservations SNCF :
Site web : www.sncf.fr





Venir par l'avion


Aéroport de Rodez-Marcillac.
Site web : www.aeroport-rodez.fr
Aéroport d'Aurillac Tronquières.
Site web : www.caba.fr/fr/aeroport/
 
 
 
 
 
 
Actualités en Aveyron
VICTOR, L'ENFANT SAUVAGE DE L'AVEYRONHistoire
En 1797 un enfant d'environ 9-10 ans est aperçu dans le Tarn, mais ce n'est que deux ans plus tard qu'il sera attrapé, escorté au village de Lacaune et recueilli par une veuve. L'enfant ne se nourrit que de végétaux crus, ou qu'il a cuits lui-même. Il fugue au bout d'une semaine. Nous sommes en 1799 ; durant l'hiver, l'enfant descend du Tarn à l'Aveyron. Le 6 janvier 1800, un enfant nu, voûté, aux cheveux hirsutes, est débusqué par trois chasseurs. Il s’enfuit, sort des bois et se réfugie dans la maison du teinturier Vidal, à Saint-Sernin-sur-Rance. Il ne parle pas et fait des gestes désordonnés. Il est envoyé trois jours plus tard dans un orphelinat de Saint-Affrique , puis le mois suivant à Rodez. C’est un certain abbé Bonnaterre qui le récupère et l’emmène à l’École centrale. Le ministre Lucien Bonaparte réclame son transfert à Paris. Il arrive donc dans la capitale le 6 août 1800. Le voilà livré à la curiosité de la foule et des savants. Toutes sortes d’hypothèses, même les plus absurdes, ont été formulées à son sujet. En particulier on ne saura jamais si son retard mental était dû à son isolement ou si un handicap mental préalable avait conduit à son abandon vers l’âge de deux ans. En 1801, Victor est confié au docteur Jean Itard. Personne ne croit à sa réinsertion sociale, mais Jean Itard s’attelle à la tâche. Il publiera un mémoire la même année et un rapport en 1806 sur ses travaux avec Victor de l’Aveyron. Pendant cinq années, il a travaillé avec cet enfant à sa réinsertion sociale, mais a considéré comme un échec personnel son incapacité – ou son refus ? – de parler. Victor est confié à une certaine madame Guérin qui le soigne pendant 17 ans, de 1811 à sa mort en 1828, dans une maison de l’impasse des Feuillantine à Paris. En 1970, François Truffaut s’inspire de l’histoire pour réaliser un film, L’Enfant sauvage. Lucien Malson. . .
BOUGNATS, LES AUVERGNATS DE PARISHistoire
Un bougnat est un immigrant installé à Paris, originaire du Massif central et plus particulièrement du nord de l'Aveyron (Aubrac, Viadène, vallée du Lot). Après avoir exercé la profession de porteur d'eau (pour les bains) au XIXe siècle, les immigrants aveyronnais vont s'orienter progressivement dans le commerce du bois et du charbon (livré à domicile) ainsi que dans les débits de boisson (vin, limonade). Les Parisiens vont les appeler bougnats à partir de cette époque (mot dérivé de charbonnier et aussi certainement d'auvergnat). Durs au travail et formant une communauté très soudée, beaucoup d'entre eux afficheront de belles réussites. Aujourd'hui, même si beaucoup de cafés parisiens ont changé de main, la communauté des cafetiers aveyronnais est toujours bien présente et conserve une certaine aisance financière. L'histoire des Bougnats de Paris Colonisation parisienne Avec les révolutions industrielles, les migrations se multiplièrent pour échapper à la misère des campagnes et le XIXe siècle offrit à nos ancêtres de nouveaux horizons... Précurseurs et volontaires, les paysans du Massif Central (principalement auvergnats et aveyronnais) avaient déjà colonisé Paris à la fin du XVIIIe siècle. Pour s'intégrer dans cette ville pleine d'opportunités, ils brillaient dans tous les travaux durs et fatigants que les parisiens boudaient. L'eau courante n'existait pas encore et les parisiens consommaient de plus en plus d'eau : les « Auvergnats » porteurs d'eau leur amenèrent à domicile. Ils existe deux catégories de porteur d'eau la plus favorisée possède une tonne de 800 à 1200 litres montée sur roues et attelée à un cheval, l'autre la plus humble et la plus nombreuse se contente de deux seaux d'une douzaine de litres qu'ils portent sur l'épaule à l'aide d'un joug. Les premiers disposent d'une fontaine spéciale qui leur est réservée. . .
HISTOIRE DU DEPARTEMENT DE L'AVEYRONHistoire
Avant la conquête romaine, le Rouergue (aujourd’hui le département de l’Aveyron) était habité par les Rutheni, ainsi appelés de leur idole Ruth, sorte de Vénus celtique dont le culte subsistait encore au Ve siècle de notre ère. Nation puissante, les Ruthènes avaient trois cités principales : Segodun, en langue celtique montagne à seigle (Rodez ) ; Condatemag, ville du confluent (au quartier d’Embarri, près de Millau ), et Carentomag, ville des parents (Caranton). Sur tous ces points on a découvert des ossements, des monnaies, des médailles, des poteries et d’autres objets d’art et d’industrie qui semblent confirmer la position de ces trois cités gauloises. Voisins et alliés des Arvernes, les Ruthènes les suivirent dans leurs expéditions au delà des Alpes et combattirent dans leurs rangs pour l’indépendance nationale. Betultich ou Bituit, chef des Arvernes, comptait dans son armée vingt-deux mille archers ruthènes, lorsque, joint aux Allobroges, il marcha contre le consul Quintus Fabius Maximus et lui livra bataille au confluent du Rhône et de l’Isère, l’an 121 avant notre ère. On sait que l’armée confédérée fut vaincue et qu’une partie du pays des Ruthènes se trouva comprise, sous le nom de Ruthènes provinciaux, dans la Provincia romana, qui s’étendit jusqu’au Tarn. On appela Ruthènes indépendants ceux qui habitaient sur la rive gauche de cette rivière ; mais ces derniers ne tardèrent pas à subir le sort de leurs frères. Ayant pris part à l’héroïque révolte de Vercingétorix contre César, ils furent vaincus et soumis. Dès lors, comme le reste de la Gaule, tout le pays des Ruthènes rentra sous la domination romaine. Dans la division des Gaules par Auguste, il fut compris dans l’Aquitaine, et dans l’Aquitaine première sous Valentinien. Rome y établit des colonies, y bâtit des temples, des cirques, des aqueducs ; des voies publiques sillonnèrent le pays dans tous les sens. Au. . .
RODEZ: UNE CITE DEUX FOIS MILLENAIREHistoire
HISTOIRE Rodez est une ville deux fois millénaire : son existence remonterait au Ve siècle av. J.-C., lorsqu'une peuplade celtique d'Europe centrale, les Ruthènes, s’arrêta au sud de l'Auvergne pour fonder l'un de ces oppidums caractéristiques de la civilisation gauloise. Sous l'occupation romaine, l'oppidum prend le nom de Segodunum (« La colline de seigle ») en raison de son édification au sommet d'un piton. Le fait ruthène demeurait une réalité si incontournable qu'au Bas-Empire la ville fut baptisée la Civitas Rutenorum ou ville des Ruthènes, puis Ruteni et finalement Rodez. Alors que le christianisme se répandait dans la foulée de l'action évangélisatrice de Saint Amans, la ville n'échappa pas aux troubles des temps barbares qui suivirent la chute de l'Empire romain. UN RICHE PASSE Rodez a été successivement occupée par les Wisigoths, les Francs, les armées des ducs d'Aquitaine et des comtes de Toulouse, ainsi que par les Maures, qui l'investirent en 725 et mirent à bas l'église antique. Plus tard, ce seront les Anglais qui l'investiront lors de la guerre de Cent Ans. Mais l'histoire de la ville resta marquée durant longtemps par une intense rivalité entre les comtes de a87>Rodez , maîtres du Bourg, et les évêques de Rodez , maîtres de la Cité. Une muraille délimitait les deux secteurs, ce qui en fait un exemple précoce de ville divisée par un mur ! Chaque communauté avait un hôtel de ville, ses consuls, une administration propre ; chacune rivalisant de puissance, de rayonnement. Au bourg, la célèbre dynastie des comtes d'Armagnac et de Rodez , finirent par acquérir des privilèges régaliens : battre monnaie à la tour Martelenque et porter la couronne comtale. Cela amena inévitablement l'affrontement avec le roi de France en 1443. Le Dauphin, futur Louis XI, vint occuper Rodez et soumettre le Comte Jean IV. Plus tard son fils aura une. . .
LA JOCONDE A L'ABBAYE DE LOC-DIEUHistoire
Mai 1940 : alors que les allemands se dirigent vers Paris, les conservateurs du Louvre décident de cacher leurs trésors plus loin que Chambord. C'est ainsi qu'en pleine débâcle, plus de trois mille peintures - dont La Joconde - arrivent à l'abbaye de LOC-DIEU. La « Guerre du Louvre » : c'est ainsi que l'on appelle aujourd'hui cet épisode de l'histoire française qui à donné matière à deux expositions à Paris et à Chambord à l'occasion des 70 ans de ces évènements. Ils sont également abordés au cours de la visite de Loc Dieu ou Camille de Montalivet, propriétaire, propose une présentation de « Jocondes transfigurées ». Les responsables du musée du Louvre se sont préoccupés dès 1939 de mettre les collections à l'abri. L'autorisation est venue en août d'évacuer les chefs-d'œuvre des musées nationaux vers le centre et l'ouest du pays, via Chambord. Mais en mai 1940, alors que les allemands se rapprochent de Paris, les conservateurs décident d'aller plus loin. Loc Dieu, estime Camille de Montalivet, avait dû être repérée par un gardien-chef du Louvre originaire de Villefranche-de-Rouergue. L'église permettait de stocker tous les tableaux, l'accès en était facile et un système anti- incendie pouvait être installé. De plus, les chambres étaient nombreuses dans lesquelles gardiens, conservateurs et leurs familles (soit plus de 250 personnes) pouvaient être logés, ainsi que dans les villages environnants. Plusieurs convois furent nécessaires pour transporter 3500 tableaux, parvenus à destination entre les 5 et 17 juin. Les camions - en particulier ceux de la Comédie Française - sont énormes mais à la dimension de certaines de ces précieuses toiles : les Noces de Cana, de Véronèse, ne mesurent-elles pas 10 mètres sur 7 ? « Les conditions, souligne Camille de Montalivet, ont été certainement très éprouvantes car des millions de Français étaient sur. . .
JEAN MOULIN FUT PREFET DE L'AVEYRONHistoire
En mars 1937, Jean MOULIN est nommé Préfet de l’Aveyron à Rodez et devient à 38 ans le plus jeune Préfet de France. Mais en avril 1937, Pierre COT le rappelle comme Chef de cabinet. Jean MOULIN revient à la tête de la Préfecture de l’Aveyron en 1938, dans un Département conservateur de droite et clérical, jusque dans l’hémicycle du Conseil Général qui ne compte que deux élus de gauche, dont Paul RAMADIER. Homme de conviction avec une large ouverture d’esprit, intelligent et respectueux, Jean MOULIN s’allie l’amitié du Président du Conseil Général, MARUEJOULS. Un grande complicité s’instaure entre les deux hommes, tandis que Jean Moulin reçoit la Légion d’honneur à Rodez et participe à l’inauguration de la Foire Exposition de Rodez , aux côtés du Cardinal VERDIE, archevêque de Paris et natif de l’Aveyron. Après la défaite de 1940, révoqué, il choisit le parti de la Résistance, et devient en 1943 le premier président du conseil national de la Résistance. Il fut arrêté par la Gestapo en juin 1943. Torturé, il mourut des suites des sévices qu'il avait endurés, lors de son transfert en Allemagne. Lors de son inhumation au Panthéon, André Malraux exalta ce "chef d'un peuple de la nuit". L'apposition en 1948 d'une plaque sur la façade de la préfecture est venue confirmer le souvenir de Jean Moulin, en rappelant son rôle dans la Résistance et sa fin héroïque.
PELERINAGE DE SAINT JACQUES DE COMPOSTELLEHistoire
Le pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle ou pèlerinage de Compostelle est un pèlerinage catholique dont le but est d'atteindre le tombeau attribué à l'apôtre saint Jacques le Majeur, situé dans la crypte de la cathédrale de Saint-Jacques-de-Compostelle en Galice (Espagne). C'est un « Chemin semé de nombreuses démonstrations de ferveur, de pénitence, d'hospitalité, d'art et de culture, qui nous parle de manière éloquente des racines spirituelles du Vieux Continent ». Créé et instauré après l'invention des reliques de Jacques de Zébédée au début du ixe siècle, le pèlerinage de Compostelle devient à partir du xie siècle un grand pèlerinage de la Chrétienté médiévale. Mais c'est seulement après la prise de Grenade en 1492, sous le règne de Ferdinand d'Aragon et d'Isabelle la Catholique, que le pape Alexandre VI déclare officiellement Saint-Jacques-de-Compostelle lieu d'un des « trois grands pèlerinages de la Chrétienté », avec ceux de Jérusalem et de Rome. Récemment, l'interprétation du sanctuaire catholique subit une évolution doctrinale : le mot « tombeau » a disparu des discours des derniers papes depuis Jean-Paul II. Jean-Paul II parlant du « mémorial de saint Jacques », sans utiliser le mot « reliques » et Benoît XVI disant simplement que la cathédrale Saint-Jacques-de-Compostelle « est liée à la mémoire de saint Jacques ». Les chemins de Compostelle, qui correspondent à plusieurs itinéraires en Espagne et en France, ont été déclarés en 1987 « Premier itinéraire culturel » par le Conseil de l'Europe. Depuis 2013, ils attirent plus de 200 000 pèlerins chaque année, avec un taux de croissance de plus de 10 % par an. Les pèlerins viennent essentiellement à pied, et souvent de villes proches (demandant peu de jours de marche pour atteindre Santiago). Le Camino francés rassemble les 2/3 des marcheurs, mais les autres chemins « mineurs » connaissent une croissance de leur fréquentation. . .
NICOLAS SARKOZY EN AVEYRON VISITE LE VIADUC DE MILLAUCélébrités
Nicolas Sarkozy a salué vendredi 19 janvier 2007, devant le viaduc de Millau (Aveyron), la "France éternelle", qui "s'appuie sur ses racines et se tourne vers l'avenir". Cela "fait 120 ans que ce département perdait des habitants ! Et bien voilà, il en gagne cette année pour la première fois", s'est réjoui le ministre et candidat UMP à la présidentielle, au cours d'un déplacement dans l'Aveyron. "Le progrès ne sert pas qu'à développer nos villes, mais l'ensemble de nos territoires", a souligné M. Sarkozy, dont le portefeuille comprend, outre l'Intérieur, l'Aménagement du territoire. "J'ai voulu montrer des lieux où le génie de l'homme s'était exercé. Qui aurait pu dire, il y a vingt ans, que dans le Larzac , on ferait ce qu'il y a de plus moderne ?", a lancé M. Sarkozy. "On peut mettre la technologie au service de l'environnement", a observé le candidat à l'Elysée, au pied de cet ouvrage d'art long de 2.460 mètres, dont la mise en service a fait sauter le classique bouchon estival de Millau . Plus haut viaduc du monde, il culmine à 270 m au-dessus du Tarn. M. Sarkozy a salué dans ce pont géant "une réussite environnementale, économique, touristique, technique".
VISITE DE NICOLAS SARKOZY EN CARLADEZCélébrités
La visite éclair du Président a permis aux filières agricoles de pointer leurs inquiétudes. Le timing était serré, ce jeudi 1 juillet, lors de la venue de Nicolas Sarkozy en Carladez. La visite de l'exploitation de la famille Durand, à Brommat, a duré au final cinq petites minutes avant la dégustation de produits du terroir pour rapidement entrer dans le vif du sujet avec les représentants du monde agricole, dans la grange réaménagée pour la grande circonstance. Successivement, les Jeunes agriculteurs (JA) ont évoqué la problématique de l'installation, la FDSEA celle de l'élevage en montagne, et le président de la fédération de la coopérative Unicor a abordé le volet économique. À l'image de Bruno Montourcy, à la tête des JA « ravi mais avec un certain nombre d'interrogations », les inquiétudes ont été exposées. Pour les JA, le manque de moyens humains pour la formation et le problème foncier pour les personnes qui souhaitent s'installer. Nicolas Sarkozy a répondu par la prochaine mise en place d'une caisse de défiscalisation partielle pour aider les jeunes à garantir leurs installations. Côté aides financières, le Président a rappelé le milliard d'euros retiré aux céréaliers pour les donner aux éleveurs. Avec son style fait de messages directs, interpellant les intervenants par leurs prénoms, Nicolas Sarkozy n'a donc pas annoncé d'aides supplémentaires. « Je comprends votre inquiétude mais franchement, dans la crise actuelle, 13,5 % de hausse de subventions, ayez le sourire au moins ! » A l'écoute toutefois, il a promis de regarder de près le financement de l'accompagnement à la formation. Concernant le volet de l'élevage, Dominique Fayel, à la tête de la FDSEA, a mis en avant « la distorsion communautaire qui n'est pas loyale » demandant « un droit à la concurrence au niveau européen ». Exemple à l'appui sur l'export au point mort avec la Russie qui exige la vaccination pour la fièvre. . .
BERTRAND DELANOE: UN AVEYRONNAIS DE COEURCélébrités
Né le 30 mai 1950 à Tunis, Bertrand Delanoë grandit à Bizerte et c'est pendant son adolescence que sa famille vient s'installer à Rodez en France. En effet, en Octobre 1963, l'armée française évacue la base et Bizerte est restituée à la Tunisie. Le départ dans les premiers jours de septembre 1964 est douloureux pour toute la famille. Si son arrivée à Rodez le désoriente dans les premiers mois, il va peu à peu s'y attacher fortement. Il intègre, comme beaucoup de familles bourgeoises aveyronnaises, l'institut Sainte-Marie de Rodez. Mais s'étant éloigné de la foi de son enfance et refusant de mettre ses convictions dans sa poche, il ne pourra s'empécher d'y tenir des grands raisonnements, contestant certains dogmes religieux. Il fait ses premiers pas en politique dès l'âge de 23 ans, à Rodez , en tant que secrétaire de la Fédération des socialistes de l'Aveyron. Il est remarqué pour ses talents d'orateur par le chef du Parti socialiste au niveau national, François Mitterrand, celui-ci le fait monter à Paris au début des années 1970. En quittant Rodez, cet aveyronnais d'adoption et surtout de coeur va nous faire la brillante démonstration de ses talents politiques. Aux élections municipales de 1977, il est élu au Conseil de Paris en compagnie de Lionel Jospin, Claude Estier, Daniel Vaillant sur la liste de gauche emmenée par le communiste Louis Baillot. En 1981, il est élu jeune député de Montmartre (XVIIIe arrondissement de Paris). Il devient alors porte-parole du PS, soit numéro trois national. A l'occasion des élections législatives de 1986, il décide de quitter Paris pour tenter de s'implanter électotalement en Avignon, mais son parachutage est un échec. Il s'investit alors dans ses activités professionnelles, avant de retrouver une place au Conseil de Paris aux municipales de 1989. En 1993, il profite du départ du PS du président du groupe socialiste. . .
 
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Tel : 05 65 44 50 01 - Fax : 05 65 44 55 43
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