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       Entraygues-sur-Truyère by motorway A75 or Rodez airport



Access by road

Entraygues-sur-Truyère - France - Europe

Entraygues-sur-Truyère in the heart of the north Aveyron
From the north, Paris :
A10, then A71 to Clermont-Ferrand, then A75 to Montpellier.
Take the exit 23 to Massiac, Aurillac.
In Aurillac, take D920 to Rodez until Entraygues-on-Truyère.


From Lyon and the East :
A47 or N88 via Saint-Etienne, then A72 to Clermont-Ferrand, then A75 to Montpellier.
Take the exit 23 to Massiac, Aurillac.
In Aurillac, take D920 to Rodez until Entraygues-on-Truyère.


From the North West :
From Limoges, A20 to Tulle, then N120 to Aurillac, then D920 to Rodez until Entraygues-on-Truyère.

From the South West :
From Toulouse, A68 to Albi, then N88 to Rodez, then D988 to Sébazac-Concourès, then D904 to Entraygues-sur-Truyère.

From the South East, Marseille, Montpellier :
A9 then N9/A75 via Lodève, Millau, to Clermont-Ferrand.
Take the exit 42, then N88 to Rodez.
In Laissac, D28 to Espalion, then D920 to Entraygues-sur-Truyère.




 
 

Access by train


Several trains each day :
• PARIS / RODEZ
• PARIS / AURILLAC




Information & Reservation SNCF :
Web site : www.sncf.fr





Access by air


Rodez-Marcillac Airport.
Web site : www.aeroport-rodez.fr
Aurillac-Tronquières Airport.
Web site : www.caba.fr/fr/aeroport/
 
 
 
 
 
 
Actualités en Aveyron
L'HISTOIRE DU COUTEAU DE LAGUIOLEHistory
On écrit LAGUIOLE et on prononce « LAÃOLE ». On a conservé la prononciation ancienne, en patois, en occitan, c’est la raison pour laquelle on parle de Laïole. Début du 19ème siècle Au début du 19ème siècle, le couteau local avait pour nom ‘Capujadou’. C’était une lame fixe et pointue emmanchée sur un morceau de bois ; c’est le premier couteau de Laguiole. 1829 Naissance du couteau Laguiole pliant à cran forcé*. Ce modèle est très proche de la version actuelle que nous connaissons tous. L’Aubrac est un vaste plateau composé de fermes isolées où habitent plusieurs familles. Les aînés partaient faire la saison d’hiver en Catalogne en tant que tâcherons et surtout scieurs de long. Certains d’entre eux sont revenus en Rouergue avec dans leur poche un couteau espagnol : la navaja. Le couteau Laguiole lui prend sa lame de forme yatagan et son manche effilé. *Couteau à cran forcé ou couteau à cran d'arrêt. Le couteau de Laguiole est un couteau pliant à cran forcé. Il ne dispose donc pas, à la différence de l'Opinel, couteau à cran d'arrêt, une bague qui permet de garder la lame constamment ouverte. Dans le cas du Laguiole, le ressort est en permanence en appui sur le talon de la lame. Quand on ouvre le couteau, la tête du ressort (partie où il y a l'abeille) vient se verrouiller dans l'encoche du talon. Ainsi, par simple pression de la lame (on dit que l'on "casse le couteau"), l'on referme le couteau. Il n'y a pas de mécanisme de blocage de la lame. C'est pour cette raison que le Laguiole n'est pas considéré par le législateur comme une arme blanche (dont l'utilisation est restreinte). 1829 - 1880 La production locale est assurée par quelques artisans (souvent les forgerons) et permet de satisfaire la demande des paysans de l'Aubrac. Le. . .
HISTOIRE DU DEPARTEMENT DE L'AVEYRONHistory
Avant la conquête romaine, le Rouergue (aujourd’hui le département de l’Aveyron) était habité par les Rutheni, ainsi appelés de leur idole Ruth, sorte de Vénus celtique dont le culte subsistait encore au Ve siècle de notre ère. Nation puissante, les Ruthènes avaient trois cités principales : Segodun, en langue celtique montagne à seigle (Rodez ) ; Condatemag, ville du confluent (au quartier d’Embarri, près de Millau ), et Carentomag, ville des parents (Caranton). Sur tous ces points on a découvert des ossements, des monnaies, des médailles, des poteries et d’autres objets d’art et d’industrie qui semblent confirmer la position de ces trois cités gauloises. Voisins et alliés des Arvernes, les Ruthènes les suivirent dans leurs expéditions au delà des Alpes et combattirent dans leurs rangs pour l’indépendance nationale. Betultich ou Bituit, chef des Arvernes, comptait dans son armée vingt-deux mille archers ruthènes, lorsque, joint aux Allobroges, il marcha contre le consul Quintus Fabius Maximus et lui livra bataille au confluent du Rhône et de l’Isère, l’an 121 avant notre ère. On sait que l’armée confédérée fut vaincue et qu’une partie du pays des Ruthènes se trouva comprise, sous le nom de Ruthènes provinciaux, dans la Provincia romana, qui s’étendit jusqu’au Tarn. On appela Ruthènes indépendants ceux qui habitaient sur la rive gauche de cette rivière ; mais ces derniers ne tardèrent pas à subir le sort de leurs frères. Ayant pris part à l’héroïque révolte de Vercingétorix contre César, ils furent vaincus et soumis. Dès lors, comme le reste de la Gaule, tout le pays des Ruthènes rentra sous la domination romaine. Dans la division des Gaules par Auguste, il fut compris dans l’Aquitaine, et dans l’Aquitaine première sous Valentinien. Rome y établit des colonies, y bâtit des temples, des cirques, des aqueducs ; des voies publiques sillonnèrent le pays dans tous les sens. Au. . .
TOULOUSE-LAUTREC AU CHATEAU DU BOSC A NAUCELLECelebrities
Si Henri de Toulouse Lautrec (1864 - 1901) est connu comme l’une des figures majeures du cercle artistique parisien de la fin du XIX° siècle , ses origines provinciales le sont moins. Le peintre du Moulin Rouge, du Divan Japonais ou bien encore des maisons closes parisiennes est issu d’une très ancienne famille de la noblesse du Sud-Ouest, celle des Comtes de Toulouse. La famille vit dans plusieurs demeures : l’hôtel du Bosc à Albi, maison natale du peintre, le château de Céleyran dans l’Aude et le château du Bosc dans l'Aveyron dont Henri est l’héritier. Il y passe une partie de son enfance. Plus tard, quand il est installé dans son atelier parisien, Lautrec retrouve ses parents, grands-parents et nombreux cousins chaleureusement réunis au Bosc lorsque arrivent les fêtes de Noël et pendant la période estivale... Le château du Bosc En Aveyron, à Naucelle, le château du Bosc, somptueuse demeure où le peintre séjournait chaque été, ouvre ses portes au public. Nicole Bérengère Tapié de Céleyran, une de ses petites nièces, vous accueille sur les lieux de son enfance et vous guide au fil des souvenirs. L'édifice classé à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques est un quadrilatère enfermant la cour centrale de type médiéval. Richement meublé, le château du Bosc abrite une bibliothèque, un oratoire, un grand salon décoré XVIIè où Toulouse-Lautrec très jeune, dessinait les scènes de chasse auxquelles il avait participé avec son père. La chambre du peintre a conservé quasiment en l'état, le petit théâtre de Guignol, les jouets, les portraits de famille. Sur un mur on trouve encore, les marques qui servaient à mesurer la taille de chacun, des dessins, des photos prises ici pendant les vacances... Château du Bosc 12800 Naucelle Tél. 05 65 69 20 83 Fax 05 65 72 00 19
TRESOR DE CONQUES : SAINTE-FOY A FAIT LA FORTUNE DE CONQUESHistory
Conques serait-il Conques sans le crâne de Sainte-Foy ? Et celui-ci, a-t-il été dérobé ou mis à l'abri lors des invasions normandes qui dévastaient dans les années 800 les bords de la garonne ? L'Eglise s'en tient à une formule magique : la "translation furtive". Tandis que d'autres soutiennent mordicus que les ossements de la jeune martyre d'Agen ont été volés en 866 dans un monastère d'Agen par un moine conquois. Cet agent double aura passé dix ans à Agen pour endormir la méfiance de ses coreligionnaires avant d'entreprendre son méfait. Après cela le crâne sera placé dans le fameux reliquaire d'or et Conques qui s'appauvrissait connaîtra la fortune... Pour accéder au Trésor, il faut passer par les vestiges du cloître. C'est l'un des cinq grands trésors européens d'orfèvrerie médiévale. L'un des rares restes de saints, le crâne de Sainte Foy. Ancienne adolescente chrétienne martyrisée en 303 à Agen, et enfermée dans une exceptionnelle statue. Assise sur un trône et couronnée, la majesté de Sainte Foy est le seul exemplaire conservé des statuts reliques préromanes. Aménagées dans une salle, les reliques sont choyées. Elles auraient pu être confisquées en 1793. Mais, avec ruse, des habitants les cachèrent dans leurs maisons et jardins, pour les rendre plus tard. Ainsi, l'inestimable patrimoine fut sauvé.
URBAIN HEMARD A ECRIT LE PREMIER LIVRE DENTAIRE EN FRANCEHistory
Le cardinal Georges d’Armagnac (1500-1585), ambassadeur de François Ier (1494-1547) à Venise, évêque de Rodez , a de sérieux problèmes dentaires qui le font souffrir fréquemment. Après diverses sollicitations sans succès en quête d’un soulagement, il se tourne en dernier recours vers Urbain Hémard (1548 ( ?)-1616 ( ?)), chirurgien dans la même ville depuis 1529. Pour soigner Georges d’Armagnac, Hémard, n’ayant que peu de connaissances sur la question, consulte de nombreux ouvrages traitant des moyens nécessaires pour parvenir à guérir les maux dentaires. Puis, il s’empresse de mettre en application ce qu’il a appris, dans la religieuse bouche. C’est un succès dont il est remercié par le Cardinal qui l’encourage à poursuivre ses recherches pour écrire un livre sur les dents et lui demande « les causes & raisons d’une si forte douleur & des autres propriétés qui se trouvent es Dents plus que aux autres os ». Ce livre est publié à Lyon, en 1582, chez Benoist Rigaud. Il s’intitule Recherche de la vraye anathomie des dents, nature et propriété d’icelles et est bien évidemment dédié au Cardinal. Cet ouvrage est considéré par les spécialistes comme le premier du genre écrit en France, sur les dents. Fauchard s’inspirera de ce travail pour écrire son fameux Le Chirurgien-dentiste ou Traité des dents (1728). Hémard reste dix années au service du Cardinal, de 1552 à 1562. Avicenne, Chauliac, Eustache, Fallope, Joubert, Vésale et encore Ambroise Paré seront ses sources d’inspiration. Urbain Hémard est né à Entraygues-sur-Truyère , dans l’Aveyron. Bien que de nombreux auteurs affirment qu’il est né en 1548, de gros doutes subsistent quant à cette date. Après des études dans la célèbre université de Montpellier, première école de médecine sur le sol français, il s’installe à Rodez. Hémard y officie en tant que lieutenant du Premier chirurgien du roi. C’est en tant que tel qu’il. . .
NAVIGATION SUR LE LOT : LE TEMPS DES GABARRES History
Entraygues, comme son nom l'indique entre les eaux, est idéalement située au confluent de deux rivières, le Lot et la Truyère. Cette situation en fit de tout temps un carrefour important de voies de communication. Le Lot "Le Lot ou plutôt : l'Olt (son toponyme véritable) est l'antique Oltis qui prend sa source au pays des Gabales : Le Gévaudan, dans le massif du Goulet qui culmine à 1497 mètres. Sa source se situe à 1382 m d'altitude non loin du village d'Alpiers (Lozère). Sur une distance totale de 471 km la rivière d'Olt baigne quatre régions naturelles : Le Gévaudan (la Lozère), le Rouergue (l'Aveyron), un peu de la haute Auvergne (le Cantal), Le Quercy (le Lot) et l'Agenais (le Lot-et-Garonne) où elle conflue avec la Garonne à Aiguillon, à la pointe du Rébéquet." "Seule voie longitudinale vers l'Aquitaine (Quercy, Agenais, Bordelais) l'Olt, à partir du confluent de la Truyère , fut le grand chemin fluvial antique. Sur une longueur totale dépassant 470 km seuls 256 km de la basse vallée - du port de Livinhac (Bouquiès) à Aiguillon - et 41 km de la haute vallée, dite montagnarde - d'Entraygues à Marcenac (près de Livinhac ) - soit au total 297 km, seront depuis le haut moyen age, le moyen de communication et la voie la plus utilisée pour atteindre la Garonne. Le Lot, depuis Entraygues , n'était navigable et flottable, au maximum, que de quatre à cinq mois par an. Ainsi affirme un proverbe Occitan : De la Sant Martin (11 novembre) a la Sant Jòrdi (23 avril) l'Aiga es merchanda, se lo temps s'i prèsta. Communément, au XV , XVI et XVII siècle la période navigable commençait à la Saint-Michel (29 septembre) et s'interrompait vers la Saint-Jean (24 juin). " Les bateaux "Les actes notariaux, provenant du fond Jany et du Sieur Albespy, notaire royal de la cité d'Entraygues , de 1641 à 1689, nous révèlent exactement ce qu'étaient les embarcations d'alors servant. . .
BERTRAND DELANOE DANS SON TERROIR AVEYRONNAISCelebrities
De l'audace et beaucoup d'émotion Si en chaque parisien il y a un provincial qui s'ignore, ce n'est certes pas le cas du premier d'entre eux. Bertrand Delanoë, et le grand public le sait au moins depuis la parution de son dernier livre, sait faire preuve d'audace. Et jouer aussi sur le registre de l'émotion qui l'a conduit, hier, pour les besoins d'une émission télévisée de Michel Drucker (dimanche 15 juin) à remettre ses pas dans les baskets de son enfance, au lycée Sainte-Marie, de son adolescence et de son entrée dans l'âge mur sur la terrasse du café Le Broussy. Filmé, photographié, questionné, le maire de Paris a sorti le grand jeu, embrassant avec fougue les anciennes copines (la fille du docteur Bonnafous, Régine Taussat, une certaine Lisbeth...) et s'amusdant même à faire toucher ses abdominaux à Lazlo Horwath, son ancien professeur de gymnastique qui a rappelé que son petit élève avait toujours eu « un bon esprit sportif ». Très à l'aise dans ce numéro de charme, Bertrand Delanoë a aussi discuté le coup avec des lycéens, se souvenant de son époque cheveux longs et contestation obligatoire, avant de sacrifier à une séance de dédicaces à la Maison du Livre. Avec, en guise d'échauffement, une petite signature apposée sur le maillot d'un supporter du club de football, PSG. Tout cela a permis de constater que Bertrand Delanoë, visiblement, n'a pas d'ennemis sur Rodez. Entre 1964 et 1974, il avait alors entre 14 et 24 ans, il n'aura donc laissé que de bons souvenirs, cet éternel jeune homme qui fait encore certains matins cinquante ou soixante pompes d'affilée, et qui aime débattre passionnément. Les signatures se sont donc succédé, à un rythme assez rapide, sans qu'il oublie, toutefois, d'embrasser la mère d'un ami, l'ancien hôtelier chez lequel il est resté deux mois avec sa famille, à leur arrivée de Tunisie, le compagnon des premières engagements politiques. Jusqu'au président du conseil. . .
PIERRE SOULAGES : GRAND PEINTRE AVEYRONNAISCelebrities
Depuis un demi-siècle et plus, l'aveyronnais Pierre Soulages est "le peintre du noir". Pourtant, son matériau premier est la lumière. Portrait du peintre entre ses amours préhistoriques et romanes et sa consécration de Saint-Pétersbourg, où il a été le premier artiste vivant exposé au musée de l’Ermitage. "J’aime l’autorité du noir, dit-il. C’est une couleur qui ne transige pas. Une couleur violente mais qui incite pourtant à l’intériorisation. A la fois couleur et non-couleur. Quand la lumière s’y reflète, il la transforme, la transmute. Il ouvre un champ mental qui lui est propre." Car c’est là que tout se passe : dans la lumière du noir. Ou plutôt dans la faculté du "noir Soulages" à réfléchir la lumière, à la moduler, la sculpter, y soulever des lames de fond, y creuser d’obscures profondeurs, y scander des rythmes et tensions, y plisser des textures géologiques. Pierre Soulages est né le 24 Décembre 1919 à Rodez. Très jeune il est attiré par l'art roman et la préhistoire. Il commence à peindre dans cette province isolée que n'ont pas pénétré les courants artistiques contemporains. A 18 ans, il se rend à Paris pour préparer le professorat de dessin et le concours d'entrée à l'Ecole Nationale supérieure des Beaux-Arts. Il y est admis mais convaincu de la médiocrité de l'enseignement qu'on y reçoit refuse d'y entrer et repart aussitôt pour Rodez. Pendant ce bref séjour à Paris il fréquente le musée du Louvre, il voit des expositions de Cézanne et Picasso qui sont pour lui des révélations. Il a douze ans quand son instituteur l’emmène, avec sa classe, visiter l’abbaye romane de Sainte-Foy de Conques pour leur montrer la splendeur de l’architecture... et la "maladresse" des sculpteurs de l’époque. Soulages est trop jeune encore pour mettre des mots sur l’indignation que provoque en lui ce regard sur la sculpture médiévale, mais. . .
LA JOCONDE A L'ABBAYE DE LOC-DIEUHistory
Mai 1940 : alors que les allemands se dirigent vers Paris, les conservateurs du Louvre décident de cacher leurs trésors plus loin que Chambord. C'est ainsi qu'en pleine débâcle, plus de trois mille peintures - dont La Joconde - arrivent à l'abbaye de LOC-DIEU. La « Guerre du Louvre » : c'est ainsi que l'on appelle aujourd'hui cet épisode de l'histoire française qui à donné matière à deux expositions à Paris et à Chambord à l'occasion des 70 ans de ces évènements. Ils sont également abordés au cours de la visite de Loc Dieu ou Camille de Montalivet, propriétaire, propose une présentation de « Jocondes transfigurées ». Les responsables du musée du Louvre se sont préoccupés dès 1939 de mettre les collections à l'abri. L'autorisation est venue en août d'évacuer les chefs-d'œuvre des musées nationaux vers le centre et l'ouest du pays, via Chambord. Mais en mai 1940, alors que les allemands se rapprochent de Paris, les conservateurs décident d'aller plus loin. Loc Dieu, estime Camille de Montalivet, avait dû être repérée par un gardien-chef du Louvre originaire de Villefranche-de-Rouergue. L'église permettait de stocker tous les tableaux, l'accès en était facile et un système anti- incendie pouvait être installé. De plus, les chambres étaient nombreuses dans lesquelles gardiens, conservateurs et leurs familles (soit plus de 250 personnes) pouvaient être logés, ainsi que dans les villages environnants. Plusieurs convois furent nécessaires pour transporter 3500 tableaux, parvenus à destination entre les 5 et 17 juin. Les camions - en particulier ceux de la Comédie Française - sont énormes mais à la dimension de certaines de ces précieuses toiles : les Noces de Cana, de Véronèse, ne mesurent-elles pas 10 mètres sur 7 ? « Les conditions, souligne Camille de Montalivet, ont été certainement très éprouvantes car des millions de Français étaient sur. . .
NICOLAS SARKOZY EN AVEYRON VISITE LE VIADUC DE MILLAUCelebrities
Nicolas Sarkozy a salué vendredi 19 janvier 2007, devant le viaduc de Millau (Aveyron), la "France éternelle", qui "s'appuie sur ses racines et se tourne vers l'avenir". Cela "fait 120 ans que ce département perdait des habitants ! Et bien voilà, il en gagne cette année pour la première fois", s'est réjoui le ministre et candidat UMP à la présidentielle, au cours d'un déplacement dans l'Aveyron. "Le progrès ne sert pas qu'à développer nos villes, mais l'ensemble de nos territoires", a souligné M. Sarkozy, dont le portefeuille comprend, outre l'Intérieur, l'Aménagement du territoire. "J'ai voulu montrer des lieux où le génie de l'homme s'était exercé. Qui aurait pu dire, il y a vingt ans, que dans le Larzac , on ferait ce qu'il y a de plus moderne ?", a lancé M. Sarkozy. "On peut mettre la technologie au service de l'environnement", a observé le candidat à l'Elysée, au pied de cet ouvrage d'art long de 2.460 mètres, dont la mise en service a fait sauter le classique bouchon estival de Millau . Plus haut viaduc du monde, il culmine à 270 m au-dessus du Tarn. M. Sarkozy a salué dans ce pont géant "une réussite environnementale, économique, touristique, technique".
 
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