Aveyron lodging: Rooms with air-conditioning

For you, 36 bedrooms for 1 to 5 people. (3 family rooms)

Aveyron lodging: Rooms air-conditioned with bath-tub balnéo

We welcome private individuals, families and groups.

Aveyron lodging: Rooms balnéo

All rooms are with bathroom, toilet, flat screen TV and soundproof windows.

Aveyron lodging: Rooms with balcony terrace

Some bedrooms with terrace giving on the garden, air conditioning and bathroom with jacuzzi.

Aveyron lodging: Rooms accessible to the handicapped people

Lift, free outdoor parking, individual garages hire on request.

Aveyron lodging: 35 rooms - reception of the groups

Apartments to rent weekly for 1 to 5 persons.
Free access with the activities of the hotel : Swimming pool, tennis, miniature golf, room of gym…
Aveyron lodging: Rooms balnéo Rooms with air-conditioned and terrace
Free access WIFI to the customers of the hotel.
Lodging Entraygues sur Truyère Lodging Lot Valley
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Hotel du Lion d'Or in the center of Entraygues-sur-Truyère with many shops nearby.

Aveyron lodging: 35 rooms - reception of the groups
 
 
 
 
Actualités en Aveyron
LE CHATEAU DE TAURINESCastles
Bâtisse imposante, l'architecture actuelle du château de Taurines témoigne des divers remaniements dont ce bâtiment a fait l'objet. C'est au XIIIe siècle qu'un premier château fort est construit. C'est un édifice a base carrée avec quatre tours, fossés et pont levis. L'escalier en vis date de cette époque. Le château est possession des Guitard, seigneurs de Taurines dès la fin du XIVe siècle. Au XVIe siècle, l'édifice est transformé en résidence Renaissance, et en juin 1574, le château qui était fief des Protestants est assiégé, pris et incendié par les Catholiques. La Seigneurie de Taurines passa en 1612 aux mains de la famille des Tubières-Grimoard qui entreprit dès 1616 des travaux de restauration du château avec la mise en place de nouveaux mâchicoulis et d'un parapet. En 1621, de nouveaux travaux concernèrent deux tours et leurs mâchicoulis. Par la suite les seigneurs de Taurines qui évoluaient parmi les plus hautes strates de la Société délaissèrent le château. Ce fut le début d'un lent abandon qui s'accéléra avec la ruine partielle et les pillages des XIXe et XXe siècles. En 1830, la moitié du Château est démolie et ses pierres sont utilisées pour bâtir l'église de Taurines. De 1952 à 1981, il a appartenu à plusieurs propriétaires successifs. En 1981 la Commune de Centrès l'achète, une association est alors créée pour sa sauvegarde. Depuis les années 80, une association de sauvegarde, « L'Association pour l'animation du château de Taurines » travaille à l'animation et à la restauration du site. Les travaux débutent en 1982 après le nettoyage; la charpente et la toiture sont refaites... Le château de Taurines héberge en effet depuis plus de 25 ans des manifestations culturelles, des expositions, des ateliers et des événements remarquables. Château fort du XIIIème siècle, l’édifice fut d’abord un fief protestant, pour devenir une résidence Renaissance des Seigneurs de Tubières au XVIème siècle et de familles. . .
LE CHATEAU DE BELCASTELCastles
Le Château de Belcastel est une bâtisse médiévale située à Belcastel dans le département de l'Aveyron , sur la rive nord de la rivière Aveyron , en aval de Rodez. Cet imposant château fut la demeure de la famille de Saunhac. Le château est situé dans un site inscrit à l'inventaire des monuments historiques depuis l'entre-deux guerres. Jusqu'à ce que l'architecte Fernand Pouillon (1912-1986) le découvre en 1974 dans un état de ruine très avancé, ce château du Moyen Âge (dont les fondations remonteraient au IXe siècle) avait été abandonné à son sort depuis au moins le XVIIe siècle. Pendant la Révolution française, le château et ses environs servirent un temps de refuge à Pierre Firmin Marie de Barrau, un noble aveyronnais traqué par les autorités révolutionnaires. Au XXe siècle, Fernand Pouillon entreprit de le restaurer. Fernand Pouillon avait entrepris de restaurer aussi le village qui était lui-même dans un très mauvais état. Il commença par une petite maison au-dessus du château, et il avait aussi consolidé la plupart des autres ruines du village qui furent ensuite rachetées par la commune notamment grâce à des fonds européens pour être restaurées et louées à l'année. Grâce à sa notoriété de mécène et d'éditeur de livres d'art, Fernand POUILLON fit connaître Belcastel au cours des années 70, il y invita Claude POMPIDOU et Françoise SAGAN tandis que Juliette GRECO, Claude NOUGARO et Georges MOUSTAKI donnèrent des récitals au village . Bâtie voici 1000 ans à même la roche, cette magnifique forteresse surplombe l'un des dix "plus beaux villages de France " en Aveyron. Après l'avoir restauré, le célèbre architecte Fernand Pouillon en avait fait sa demeure. Des points de vue magnifiques, une chapelle médiévale di IXeme siècle et une collection d'armures originales sont les temps forts de la visite libre. Pat ailleurs, les six galeries du château présentent une collection unique d'art de l'animation et de l'illustration,. . .
SEVERAC-LE-CHATEAU, AUX SOURCES DE L'AVEYRONCastles
Sévérac-le-Château ou Severac del Castèl fait partie de l'ancienne province du Rouergue où l'on communique aussi grâce à une forme d'occitan: le dialecte rouergat. La butte de Sévérac, qui culmine à 817 m d'altitude a été occupée dès la préhistoire. En témoignent les dolmens que l'on trouve sur la route des dolmens en direction du village de Buzeins. Le territoire de la commune de Séverac-le-Château constitue une fraction sud du Massif central. Il est situé sur le plateau caussenard du même nom. Sa ville chef-lieu, place forte depuis l'Antiquité, se situe à la croisée de deux grandes voies de circulation (A75 - N88). Le territoire de cette commune constitue une partie du parc naturel régional des Grands Causses. Sévérac-le-Château, domine le bassin étroit alluvial formé par l'Aveyron qui prend sa source à l'Est de Sévérac. La ville se trouve sur les Causses et dans le Parc Naturel Régional des Grands Causses. Situé à une altitude de 740m, Sévérac a un climat continental adouci par les influences méditerranéennes. Historique de la ville Sévérac le Château est une agglomération double, formée de deux quartiers bien distincts qui illustrent des avantages tour à tour exploités : un site escarpé, facile à fortifier (le château) et une situation de carrefour favorable aux échanges (la gare). Sans doute utilisée dès l'époque romaine, la butte ne prit toute sa valeur qu'au Moyen Age lorsqu'elle devint le siège d'une puissante baronnie dont l'autorité s'étendait jusqu'aux gorges du Tarn. Ses seigneurs furent de toutes les luttes, de toutes les intrigues : croisade des Albigeois, guerre de Cent Ans, place forte protestante... Sans doute victime de cette tumultueuse histoire, la bourgade née au pied des remparts mit du temps à grandir. Il lui fallut attendre la création des grandes routes royales de l'Auvergne au Languedoc, puis de Rodez à Florac. A leur croisement, vin, bétail, fromages, étoffes alimentaient un fructueux négoce : un faubourg. . .
LE CHATEAU D'ESPLAS A REBOURGUILCastles
Esplas est situé au sommet d'une colline dans le rougier de Camarès. Un donjon de plus de 20 mètres de haut domine un ensemble architectural formé de quatre corps de logis fermés par des tours à chaque angle. La période de construction s'étale du XIIIème au XVIIIème siècle. L'intérieur est un témoignage de 5 siècles d'histoire : meurtrières et postes de garde du donjon, citerne creusée dans le roc, cheminées monumentales du XVème siècle, architecture classique de l'aile sud. La visite comprend le donjon qui permet depuis son sommet d'admirer un magnifique panorama sur la campagne environnante ainsi que les salons du XVIIème et XVIIIème siècle, décorés et meublés. Le château surplombe le hameau d'Esplas, bâti tout autour, et qui se situe à 5km à l'ouest de Rebourguil. Le donjon serait du XI ou XIIième siècle, trois des corps de logis du XIIIième et le quatrième à la Renaissance. Les anglais tentèrent vainement son siège vers 1375. Les propriétaires successifs identifiés ont été la famille de Camarès, de Malemort, de Martrin durant plusieurs siècles, de Gaujal de Montalègre, de Cambiaire puis d'Alexandry en 1952 qui en sont toujours propriétaires à ce jour. Esplas subit les assauts des anglais pendant la guerre de Cent Ans. Bernard de Martrin qui avait acquis la seigneurie en 1349 perdit un fils lors d'une attaque anglaise. Les quatre corps de logis cantonnés de tours ont conservé les marques du rôle défensif du château lors des périodes troublées que furent la guerre de Cent Ans et les guerres de religion: Archères cruciformes datées du 14ème siècle, bouches à feu. Passées ces périodes troublées, des ouvertures furent percées dans les facades, et Jeanne de Martrin, héritière de son frère François, fit ouvrir en 1713, dans la facade sud, l'actuelle entrée du château qui débouche dans la cour intérieure. Une importante campagne de restauration menée depuis l'an 2000 permet au visiteur d'accéder au donjon et de comprendre comment s'organisait l'auto-défense,. . .
LA TOUR DE PEYREBRUNECastles
La tour rectangulaire du XIVe siècle s’élève sur un sommet granitique, elle témoigne de la présence passée du Château des Seigneurs de Panat (XIe-XVe siècles). De plan rectangulaire, elle est possède 5 étages voûtés. Au XVIIe siècle, le Cardinal Richelieu fit détruire murailles et châteaux forts du Midi afin de châtier les chefs calvinistes. Peyrebrune ne fut pas épargnée. Les Seigneurs de Peyrebrune devenus protestants avaient combattu aux côtés des Calvinistes, seul le donjon de la forteresse fut préservé. En 1848, la tour fut endommagée par un groupe, probablement exalté par des idées révolutionnaires. En 1898, l’abbé Hippolyte Amouroux acquit l’édifice, érigea une chapelle, un escalier et monta une statue de la Vierge à son sommet. Il instaura également un pèlerinage annuel fin août, l’événement est toujours organisé ! Suscitant une singulière passion chez deux personnages de la région, une confrérie de cavaliers fut crée en l’honneur de la tour, l’Ordre des chevaliers de Peyrebrune. Depuis 1968, ces chevaliers se réunissent une fois par an et procède à l’intronisation de grands cavaliers de tout le pays. La tour millénaire domine encore fièrement du haut de son puech (913 m) la Vallée de l'Alrance et son lac. Site de 31 ha avec nombreuses tables de pique-nique, circuits de randonnées, manège chevaux... Siège de la Seigneurie de Peyrebrune, cette tour millénaire domine encore fièrement du haut de son puech (913 m) la Vallée de l'Alrance et son lac. Restaurée récemment et mise en valeur par les bénévoles de l'association des "Amis de Peyrebrune" d'Alrance, sa visite débutant par la projection d'une vidéo vous plongera directement au coeur de l'histoire locale. Vous apprécierez ensuite son architecture en gravissant ses marches pour atteindre son sommet. Un panorama exceptionnel sur le Lévézou et sur les Pyrénées s'ouvrira à vous. Deux tables d'orientation complèteront le tableau. Description. . .
LA COMMANDERIE HOSPITALIERE DE LUGANCastles
Commanderie du XIIème siècle, édifiée par l'ordre des Hospitaliers de Saint Jean de Jérusalem, actuellement Ordre de Malte. C'était à l'origine un corps de logis carré flanqué de quatre tours rondes - une partie abrite un foyer, logement pour personnes âgées et perpétue ainsi sa vocation Hospitalière. L'église a été insérée dans le bâtiment dont elle forme le front sud ouest - le choeur du XIIième siècle a un chevet de plan rectangulaire avec une abside intérieure en cul de four (peu commun en rouergue et unique dans l'ordre de Saint Jean de Jérusalem). Le clocher octogonal date de 1848 possède un escalier a vis en bois. Une exposition avec vidéo qui propose l'histoire des hospitaliers, est présentée dans une magnifique salle voutée qui était la citerne de la commanderie. Une commanderie rurale au XIIème siècle : Nous sommes en l’an 1180, les chevaliers de l’Ordre de l’Hôpital de Saint Jean de Jérusalem accompagnés de Guilhem de Montalègre (grand maître de l’Ordre pour le Rouergue) viennent prendre possession des terres données par Baldois de Lugan. L’emplacement de la future commanderie de Lugan est choisi ; bientôt les coups de pioche résonnent. Pendant 428 ans, la commanderie fût rattachée à celle d’Auzits. A partir de 1623, elle eut ses propres commandeurs dont certains portaient de grands noms de France comme Annibal de Castellane d’Aluys (1639-1667). La Révolution Française éclate. Tous les biens de l’Ordre sont considérés comme biens nationaux. La commanderie est vendue le 13 thermidor de l’an III (1er juillet 1795) et devient la propriété d’un luganais Jean-Pierre Amouroux du village de la Joulinie. En 1886, celle qui est devenue Sainte Émilie de Rodat y fonde sa cinquième école de filles dans le bâtiment. En 1960, les religieuses de la Sainte famille ferment l’école et abandonnent la bâtisse. En 1962, deux religieuses franciscaines rachètent la Commanderie et fondent une maison de retraite. En 1990, elles. . .
LE CHATEAU DE FAYET, UN BEAU CHATEAU DE PLAISANCE EN ROUERGUE Castles
Bâti sur un tertre, le château domine la vallée, position militaire en arrière du Rance et en contact direct avec l’Albigeois. La sortie des gorges était gardée par le château de Brusque, démoli en partie au XIIIème siècle, et qui formait un seul prieuré et une seule seigneurie avec Fayet. Une chapelle marquait à l’origine le confluent de la Nuéjouls et du Dourdou. Un bâtiment défensif, entouré de douves, la remplaça afin de surveiller ces rives dont la situation formait une ligne secondaire de défense. Le bâtiment actuel forme un parallélogramme régulier ponctué aux angles de tours, ainsi qu’une cinquième qui enferme la vis d’escalier, en pierre de taille. L’architecte italien qui conçoit ce château de plaisance à la Renaissance organisera, dès le départ, la voûte de feuillages, afin d’être à l’abri des regards indiscrets. Après avoir descendu la longue allée bordée de tilleuls et de marronniers, le château nous apparaît avec la belle vue sur la cour d’honneur, depuis que les grandes grilles ont remplacé le mur d’enceinte avec porte ogivale. Le dallage, en forme d’oeil, autour de la belle fontaine à double vasque, nous invite à écouter le bruit de l’eau et nous mène vers la porte d’entrée, de style troubadour, et enfin au puits majestueux, qui alimentait les besoins domestiques, classé M.H. depuis 1931. La margelle, en forme de marmite, est couronnée par un fronton sculpté et armorié supporté par deux piliers, qui fut bâti en 1564 par Guy de Castelnau-Bretenoux. HISTORIQUE Au préalable, les premiers seigneurs de Brusque et Fayet furent les vicomtes d’Albi, au XIème siècle, les vicomtes de Béziers et Carcassonne, au XIIème siècle, les comtes de Toulouse, au XIIIème siècle, et enfin les seigneurs de Castelnau-Bretenoux, au XIVème. Leur monogramme entrelacé et leur blason écartelé, soutenu par deux griffons ailés, sont sculptés dans la pierre, ainsi que la date de construction du puits. Nous pouvons également y lire une sentence du prophète. . .
LE CHATEAU DE CASTELNAU-PEGAYROLSCastles
Accroché sur le versant sud du plateau du Lévézou, Castelnau-Pégayrols domine de ses 800m le magnifique paysage de la vallée de la Muse et un immense panorama sur les Causses qui s'étend à perte de vue, des Cévennes à la Montagne Noire. Une des plus anciennes forteresses du Rouergue domine le paysage grandiose du Parc des Grands Causses. Le visiteur découvrira le parc qui abrite la partie centrale du système hydraulique de Castelnau, le château avec la salle des Seigneurs, les cuisines, la terrasse fortifiée. La construction épouse la forme du rocher sur lequel elle est assise. La famille De Lévézou, fonda le château fort ou 'château neuf' (castel-nau), dont l'existence est attestée dès le XIème siècle. En 1759, Louis XV crée à Versailles le marquisat de Pégayrolles et c’est entre 1760 et 1780, que fut transformé le vieux château médiéval en résidence d'été dans le goût du XVIIIème siècle. Aujourd'hui en poussant la porte de sa façade classique, décorée des armoiries du marquis de Pégayrolles et en pénétrant dans le salon ouvert sur la terrasse plein sud, nous avons le sentiment d'entrer dans une grande demeure classique. Le centre du château présente la disposition classique des appartements de représentation, avec sa suite en enfilade : salon de compagnie, antichambre, chambre, cabinets, telle qu'on la trouve dans les grandes demeures du XVIIIème siècle. Mais vu de la terrasse, le grand appareil de la façade du corps central, flanqué de l'importante masse de la tour donjon, nous ramène à l'époque du moyen âge ! En découvrant la façade classique de la cour du château de Castelnau, avec sa porte monumentale décorée des armoiries du marquis de Pégayrolles et en pénétrant dans le salon qui reçoit toute la lumière du midi par deux grandes baies ouvrant de plain-pied sur la terrasse, on a le sentiment d'entrer dans une grande demeure classique des XVIIème et XVIIIème siècles. Ainsi l'a voulu le maître des lieux qui, dans les. . .
LE CHATEAU DE PEYRELADE CONTROLE L'ENTREE DES GORGES DU TARNCastles
Le Château de Peyrelade est un château construit au xie siècle. Aujourd'hui en ruine, il est situé sur la commune de Rivière-sur-Tarn, dans le département de l'Aveyron. Grâce à sa position qui contrôle l'entrée des Gorges du Tarn, il constitue l'un des châteaux les plus importants de l'ancienne province du Rouergue. Il a été le théâtre d'incessantes batailles jusqu'à sa démolition en 1663, ordonnée par Richelieu. Les ruines donnent une bonne idée de l'organisation du château. Le mur d'enceinte fait plus de 250 m, pour 10 m de haut et jusqu'à 2,1 m d'épaisseur. Le château est dominé par une piton rocheux sur lequel s'appuie un donjon en bon état. Au Moyen Âge, une triple enceinte de murs l'entourait. On accédait à la première par deux portes; la seconde protégeait un corps de logis et une place d'armes; la troisième entourait le donjon haut de 50 mètres, auquel on accédait par un pont-levis et qui donnait sur une terrasse. Ce donjon renfermait un four, une citerne et un beffroi dont la cloche sonnait en cas de danger. Le château de Peyrelade fait partie d'un groupe de 23 châteaux en Aveyron qui se sont associés pour constituer le chemin touristique de la Route des Seigneurs du Rouergue. Il est ouvert aux visites de mi-juin à mi-septembre. Le château est inscrit à l'inventaire des monuments historiques depuis le 6 mars 19981. Le donjon est ouvert à la visite depuis 1992. Plus d'infos sur le site : www.ot-gorgesdutarn.com
LES EGLISES FORTIFIEES DE SAINTE-RADEGONDE ET D'INIERESCastles
Située au centre du village de Sainte-Radegonde dans l'Aveyron, l'église fortifiée est une surprenante église gothique du XIIIe siècle qui reçut des fortifications au cours des XIVe siècle et XVe siècle. S'étendant sur 2965 hectares, la commune de Sainte-Radegonde présente une grande variété de paysage. Au Nord, elle couvre une partie de la plaine alluviale de l'Aveyron, l'altitude moyenne y est de 535m. Au sud-est du Grand Rodez , la commune de Sainte-Radegonde compte 1721 habitants (Radegondiens). Depuis le monument des Martyrs de la Résistance s'ouvre un remarquable panorama sur tout le Grand Rodez. Devant son nom à l'épouse du roi Clothaire, Sainte-Radegonde est empreinte d'histoire et de patrimoine. Ses deux églises fortifiées sont deux modèles exemplaires d'architecture médiévale. Le centre du village abrite aussi de belles demeures Renaissance et la commune a mené une importante opération de revalorisation de son centre ancien. Pourquoi des églises fortifiées ? A fin de se protéger des luttes intestines, des invasions anglaises et du pillage des routiers pendant la guerre de Cent ans, les habitants de Sainte-Radegonde édifièrent au XIVe siècle des éléments défensifs sur l'église existante. Pour les mêmes raisons, mais un siècle plus tard (début de la construction estimé en 1442), les habitants d'Inières demandèrent la fortification de leur propre église à leur seigneur, alors évêque de Rodez , qui accepta. Toutefois, il exigea la destruction de l'église primitive afin d'élever une construction nouvelle plus importante. L'église de Sainte-Radegonde Trois tours ceinturent l'édifice : le Clocher, donjon carré surmonté d'une salle enfermant les cloches dont la flèche, recouverte de lauzes (ardoise épaisse de pays) est de forme conique ; 4 échauguettes sur culot en encorbellement sont réparties sur les angles, d'imposants mâchicoulis courent de l'une à l'autre. La tour Nord se termine en forme de dôme, c'est la plus haute. . .
 
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