Locality of Entraygues situated in North Aveyron - France
 
Recreational pursuits in the paths and tracks of Aveyron
 
A gastronomy with distinctive native flavours - Aveyron
 
Entraygues, the town of numerous Medieval vestiges - France
 
 
 
 
Actualités en Aveyron
ST CHELY D'AUBRAC: LES CHEMINS DE ST JACQUES DE COMPOSTELLEBeautiful villages
Saint-Chély d'Aubrac est un village Halte sur le Chemin de St Jacques de Compostelle (GR65, voie du Puy-en-Velay ). Le tronçon Nasbinals , Aubrac , Saint-Chély d'Aubrac (17 km) et le Pont des Pèlerins à Saint-Chély, est inscrit au Patrimoine Mondial de l'Humanité (Chemin de Compostelle, voie du Puy-en-Velay, UNESCO, décembre 1998). Situé au Nord Est du département de l'Aveyron (nord est de la région Midi Pyrénées), le canton de Saint-Chély d'Aubrac est frontalier des départements du Cantal et de la Lozère, et donc des régions Auvergne et Languedoc Roussillon. La superficie du canton de Saint-Chély d'Aubrac est d'environ 125 km². Le point culminant du canton se situe aux Truques (1442 m) près du Buron de Canuc. Le sommet de l'Aubrac et de l'Aveyron se situe, quant à lui, au Mailhebiau à 1 471 m d'altitude. Sa population actuelle est d'un peu moins de mille habitants. Elle était au début du siècle de plus de deux mille et de plus de trois mille à la révolution. Cela s'explique, bien sûr, par la forte émigration à partir de la seconde moitié du 19ème siècle. Il est l'un des huit plus petits cantons de France par sa population (moins de mille habitants), mais il est parmi les plus grands par sa superficie (3 fois la ville de Lyon). Cas extrêmement rare, sinon unique en France, le canton est constitué de seulement deux communes : Condom d'Aubrac et Saint-Chély d'Aubrac. Ce dernier bourg abrite une brigade de gendarmerie de montagne, une poste, une école ainsi q'une maison de retraite médicalisée. Des artisans d'arts sont aussi présents sur le canton (ateliers de coutellerie, d'ébénisterie et de poteries) ainsi que des producteurs (conserverie, pain-pâtisserie, escargots, viande Aubrac, plantes médicinales...).
FIGEAC VILLE D'ART ET D'HISTOIRE ENTRE VALLEES DU LOT ET DU CELEBeautiful villages
Le Pays de Figeac se situe à la croisée des chemins. Ce territoire situé à l’extrême Est du Lot est bordé à l’Est par le Cantal et au Sud par l’Aveyron. Il offre ainsi au visiteur de passage une multitude de paysages. Des vallées du Lot et du Célé en passant par les grands plateaux calcaires du Causse et les collines boisées du Ségala, ce territoire rural a 1000 et une richesses à vous dévoiler. Ce Pays est celui des contrastes, l’eau omniprésente, la terre nourricière, la pierre et la nature s’y entrelacent et composent des paysages variés et inattendus. Ville d’Art et d’Histoire, Figeac constitue l’un des sites phares de notre Pays. Le patrimoine médiéval de cette ancienne ville marchande offre aux regards des visiteurs toutes ses richesses, témoignage de plusieurs siècles d’architecture. Le travail de l’homme a permis de façonner son centre ancien. Vous découvrirez cet héritage de façades sculptées et de portes ouvragées au gré de vos balades dans ses ruelles moyenâgeuses. N’hésitez pas à pousser la porte du Musée Champollion – Les écritures du monde et à vous rendre place des écritures. HISTOIRE Les temps anciens Une voie romaine franchissait le Célé à gué et l'on a trouvé des restes de murailles et des sarcophages gallo-romains. Selon la légende, un vol de colombes, dessinant une croix dans le ciel, sous les yeux de Pépin le Bref, décida de la fondation, en ces lieux, d'un monastère, en 753. Le roi aurait dit Fiat là ! (qu'il [le monastère] soit fait là !), cette expression aurait donné le nom Figeac. Un miracle en appelant un autre, en 755, le pape Étienne II, venu bénir l'église, vit Jésus lui-même escorté par des anges, venir consacrer le monastère. Quoi qu'il en soit, le lieu était déjà habité dans l'Antiquité. Au Moyen Âge, la féodalité . . .
BELCASTEL : UN DES PLUS BEAUX VILLAGES DE FRANCEBeautiful villages
Un site naturel d'exception Situé au bord de la rivière aveyron , Belcastel est aujourd'hui un des plus beaux villages de France. Cerné de pentes boisées et superbement circonscrit par le relief, ses maisons s'étagent au pied de l'imposant château fort. Hier avec un patrimoine quasi à l'abandon, Belcastel vit aujourd'hui une deuxième jeunesse. Cela, le village le doit à Fernand Pouillon, architecte mondialement connu qui, de 1975 à 1982, mit son talent et sa passion pour réhabiliter le château du XIIe siècle. parallèlement, s'effectue la remise en valeur de tout un patrimoine : métiers à ferrer, four banal, vieilles maisons du Xe au XVIIIe siècle… Belcastel sort de ses ruines et prend un nouvel essor pour devenir un des points forts touristiques de l'Aveyron. Château fort et site du roc d'anglards En plus de son château restauré, Belcastel dispose de bien d'autres richesses, la qualité architecturale de son vieux bourg tout d'abord, son église avec le tombeau d'Alzias de Saunhac, baron du village, son vieux pont datant du XVe siècle, mais aussi le site du roc d'anglards. Motte féodale, ce rocher était coiffé jadis par les ruines d'un fortin qui constituait l'avant poste fortifié du château. avec la volonté de sauver de l'oubli ce témoin du passé, la municipalité a décidé de rénover cet ouvrage. A visiter absolument ! Les caves, les escaliers taillés à même le roc ont été dégagés, laissant apparaître 'feuilles de fougères' ou 'arêtes de poissons' qui semblent indiquer que cet édifice serait contemporain du premier château de Belcastel datant des Xe et XIe siècle. De plus, ce site, avec sa grotte du Lourdou, offre une vue incomparable sur la vallée sauvage de l'aveyron qui serpente majestueusement une centaine de mètres en contrebas. Vidéo diffusée par : Cap Sud Ouest
LE FEL: VILLAGE DOMINANT LA VALLEE DU LOTBeautiful villages
Ce petit village traditionnel est construit sur une crête étroite dominant la vallée du Lot. Le Fel est un petit village typique et magnifiquement restauré avec ses maisons de schiste ocre et ses toits de Lauzes. Un panorama sublime de la vallée du Lot, au cœur du village pittoresque, entouré de vignes cultivées en terrasse. L'église de Roussy située à 900 m du Fel est édifiée au sommet d'un piton. Elle est dite "des horizons" grâce au beau point de vue qu'elle offre sur la vallée. A voir également la Chapelle de Crestes datée de 1636. Bref Historique de la commune L'actuelle commune du Fel est l'aboutissement de la séparation en 1851 des paroisses de Roussy et de Ginolhac de la commune d'Entraygues , qui a alors donnée naissance à celle d'Enguialès. Ce hameau, de part sa position centrale a été choisi comme chef lieu. En 1946, Ginolhac a finalement été rattaché à la commune d'Entraygues. Le village du Fel, le plus important démographiquement, est alors devenu naturellement le nouveau chef lieu, dont l'appellation n'a officiellement changé qu'en 1996. Du tungstène a été extrait du sous-sol communal durant la décennie 1969-1979, au nord du hameau d'Enguialès, où les traces de cette activité minière vont sans doute encore longtemps marquer le paysage. Le Fel est historiquement et géographiquement lié au siège paroissial, Roussy, distant d'environ 500 mètres seulement. Ils reposent tous deux sur une crête globalement parallèle à la rivière du Lot, Roussy étant au sommet, à l'Est du Fel. Voir aussi notre article : VINS D'ENTRAYGUES ET DU FEL
PEYRUSSE LE ROC, VILLAGE MEDIEVAL DE L'AVEYRONBeautiful villages
L'ampleur et la splendeur de ce Site Médiéval donneront aux visiteurs des sensations inoubliables : la sévérité des murailles contraste avec la beauté et la luxuriante végétation. Le site vous révélera un univers inchangé depuis le XVIIIème siècle. Le château se dresse sur un piton rocheux et surplombe la rivière de l'Audierne qui coule dans la vallée encaissée. Il ne reste seulement aujourd'hui que ces deux tours qui semblent toujours fouiller impérieusement l'horizon. Du haut du Roc, il vous sera aisé de comprendre la disposition d'un habitat qui comptait 700 maisons au XIIIème siècle. Toujours du même lieu, vous pourrez apprécier l'étendue des 10 hectares de Pétrucia avec ses monuments moyenâgeux accessibles grâce au chemin balisé qui vous conduira vers les différentes bâtisses. Lorsque vous atteindrez le fond de la vallée, il vous suffira de longer la rivière de l'Audieme qui s'écoule entre les rochers dans un environnement pittoresque recelant des curiosités séculaires tel que le remarquable pont du Paraire. Vous admirerez le caractère monumental qui évoque la hardiesse des bâtisseurs dont les œuvres se délitent. Ce lieu mythique parvenu jusqu'à nous fut une cité prospère, chef-lieu d'un bailliage important au XIIIème siècle qui étendait sa juridiction sur une centaine de paroisses en Rouergue. Elle fut, pendant cette période, gouvernée par le procureur du Roi et ses quatre consuls. En 1719, Peyrusse perdit son titre de chef-lieu de Bailliage Royal. Malgré des siècles d'abandon, Pétrucia conserve ses principaux monuments en place. La végétation l'a protégée des destructions habituelles. Son Roc tutélaire signalera jusqu'à la fin des temps, les lumières et les ombres de la ville qui ne veut pas mourir. HISTOIRE : Contrairement à une légende locale qu'on retrouve dans d'autres villages de France, Jules César n'a jamais parlé de Peyrusse. Pépin le Bref,. . .
SAINT AFFRIQUE, LA VILLE AUX SEPT COLLINESBeautiful villages
Saint-Affrique est sur le tracé de la route D 999 (anciennement RN 99), à 80 km à l'est d' Albi, à 35 km à l'ouest de Millau et à 15 km de Roquefort-sur-Soulzon . La ville est traversée par la Sorgues, qui, avec ses affluents, a découpé 7 « montagnes » : des Anglais, de la Quille, de la Fous, de la Serre, des Cazes, de Nougayrolle et du Rocher de Caylus. Cinq ponts permettent la circulation, par ordre d'ancienneté : le pont Vieux, le pont Neuf, le pont du Centenaire (ou des Frères), le pont Ferroviaire et le pont de la Résistance. Saint-Affrique est le centre administratif, politique et commercial d'un territoire essentiellement rural aux contours flous appelé le Saint-Affricain. À la frontière de zones géologiques très différentes : * au nord-est les Grands Causses plateaux calcaires * au sud-est, le Rougier de Camarès schistes et argiles rouges * au sud-ouest les dernières retombées des monts de Lacaune * au nord-est les contreforts du Lévézou le Saint-Affricain présente des paysages, une flore, une faune et un patrimoine très diversifiés en bordure du Parc naturel régional des Grands Causses. Le climat, avec des contrastes importants entre la rudesse des altitudes et la douceur relative du fond des vallées est plutôt de type méditerranéen. Bien que dépendant administrativement de la région de Toulouse, les échanges et les relations se font surtout avec Montpellier, beaucoup plus proche. ECONOMIE Depuis le Moyen Âge la ville, au centre d'une zone essentiellement agricole, est un important centre commercial du sud Aveyron dont les marchés et foires actuels sont la survivance. Avec son statut d'ex-sous-préfecture c'est également un centre administratif et d'enseignement important. Tout au long du XIXe siècle, l'industrie du textile a dominé l'activité industrielle. Au XXe siècle, l'industrie agroalimentaire avec en particulier le. . .
CASSAGNES COMTAUX - GOUTRENSBeautiful villages
Le village de Cassagnes-Comtaux offre une vue imprenable sur la vallée de Clairvaux et sur une partie du vignoble AOC de Marcillac. Sur la commune de Goutrens, à proximité du village de Cassagnes-Comtaux, se trouve le site archéologique du dolmen de la Serre qui a été inscrit en tant que monument historique en 1994. Histoire & Patrimoine de Goutrens L'ancien chef-lieu de la commune était Cassagnes-Comtaux. A la suite d'une longue dispute entre ce village et celui de Goutrens, la commune fut appelée Cassagnes-Goutrens, puis le 17 avril 1917 Goutrens (nom de type germanique : goth (peuple) et en occitan : Gotrens). Le prieuré de Saint-Amans dépendait du chapitre de la cathédrale de Rodez. Il fut d'abord annexe de celui de Cassagnes-Comtaux, puis la situation fut inversée. L'église a été construite vers 1890. La flèche de son clocher supporte une splendide et non moins originale croix occitane. A l'extérieur du bras droit du transept, du côté de la sacristie, une pierre taillée en forme d'écusson, posée renversée, provient dit-on, de l'ancienne église où elle formait la clé de voûte d'un arceau. Elle porte une inscription, de lecture assez difficile qui pourrait être le nom du massonnier (maçon) ayant construit le premier édifice vers le XVème siècle. Le cimetière renfermait autrefois le tombeau des Mancip, seigneurs de Flars (à Cassagnes-Comtaux) et de Bournazel (XVème siècle). Il y avait un oratoire. En 1867, un trésor monétaire gaulois a été trouvé près de Goutrens. Un agriculteur de La Sancie qui piochait sa vigne déterre quelques bizarres piécettes en argent : alléché par sa trouvaille, il poursuit sa recherche et rassemble un véritable trésor de plus de 20 000 de ces monnaies auxquelles viennent s'ajouter 4 kg du même métal en petits lingots de 50 à 100 g. Ces monnaies du type « à la croix » et du « sanglier », épaisses et de forme irrégulière, pèsent uniformément. . .
LA BASTIDE L'EVEQUE, UNE DES 6 BASTIDES DU ROUERGUEBeautiful villages
La Bastide-L'Evêque possède plusieurs hameaux comme Cabanes ou Le Rieu. On compte quatre paroisses sur cette commune : La Bastide l'Évêque, Teulières, Cabanes et Cadour. Il s'agit là du nom des principaux villages auxquels se rajoutent de très nombreux hameaux plus ou moins gros. La commune est délimitée au Nord par la rivière Aveyron et au Sud par la route départementale 911. Terre de granite et de schiste principalement, la commune se trouve au tout début du Ségala aveyronais lorsque l'on passe la faille de Villefranche-de-Rouergue en direction de Rodez. La commune est essentiellement rurale, on y trouve donc de nombreuses exploitations agricoles dont l'activité varie entre l'élevage bovin viande ou bovin lait mais également ovin. De nombreux artisans résident ou travaillent sur la commune de La Bastide. Un certain nombre d'habitants ont choisi simplement de s'y installer mais exercent leur activité professionnelle dans les agglomérations voisines comme Villefranche-de-Rouergue ou Rieupeyroux. Fondée en 1280 par l'évêque Raymond de Calmont, La Bastide l'Évêque est une des bastides du Rouergue Occidental, avec Najac , Sauveterre-de-Rouergue , Villeneuve d'Aveyron et Villefranche-de-Rouergue . Il s'agirait d'une fondation de l'Évêque de Rodez sur les dépouilles des Morlhon, faidits, pour contrer la création de Vilafranca (Villefranche-de-Rouergue). L'évêque lui octroya une charte en 1280. Lieux et monuments LA BASTIDE L'EVEQUE * L'Église romane du XIIIe-XVe siècle, au clocher porche s’inspirant de celui de Villefranche-de-Rouergue possède un chœur gothique flamboyant avec nef plafonnée et abrite deux retables anciens. Les deux chapelles latérales, celle de la Sainte Vierge et celle de St Dalmas (Evêque de Rodez) existaient au milieu du XVIe siècle. Les deux fenêtres de part et d’autre de l’autel furent ouvertes à la fin du XIXe. . .
VILLEFRANCHE DE ROUERGUE: ERE DES BASTIDES MEDIEVALESBeautiful villages
Bastide fondée en 1252 par Alphonse de Poitiers, frère du roi Saint-Louis (Louis IX) , Villefranche-de-Rouergue est situé au confluent de deux rivières, l'Alzou et l'Aveyron. Elle devient rapidement une importante place d'échanges commerciaux et le restera malgré le grand incendie de 1497 qui détruit une grande partie de la ville, et la grande épidémie de peste de 1628. Une bastide (de l'occitan bastida) est l'une des quelques 350 à 400 villes ou villages neufs fondés dans le sud-ouest de la France entre 1229 et 1373 et répondant à un certain nombre de caractéristiques. F. de Verneilh définit les bastides comme : « des villes neuves bâties tout d'un coup, en une seule fois, sous l'empire d'une seule volonté ». Les bastides sont l'expression d'une volonté médiévale d'aménagement du territoire. Histoire de la création de Villefranche de Rouergue Lorsque les capétiens prirent le pouvoir sur le comté de Toulouse par le mariage d'Alphonse de Poitiers avec l'héritière du comté Jeanne de Toulouse, fille du dernier comte Raymond VII, l'ancienne capitale administrative du Rouergue, Najac , siège de la sénéchaussée de Rouergue, fut jugée trop fidèle à l'ancienne dynastie raymondine. Alphonse de Poitiers décida de créer ex-nihilo une ville nouvelle à quelques kilomètres de là et d'y transferrer le siège de son administration, afin de casser les anciennes allégeances. Il fonda donc en 1252 Villefranche-de-Rouergue, et la dota d'exemptions fiscales pour assurer le succès de l'entreprise, d'où le nom de la ville. Ville nouvelle créée de toute pièce, elle fut dessinée sur un plan quadrillé ou en damier, selon les règles d'urbanisme de la Rome antique. Très caractéristique des bastides, ce plan est très régulier avec des rues se coupant à angles droits convergeant vers la place centrale bordées de couverts, lieu. . .
MARVEJOLS, VILLE ROYALE EN GEVAUDANBeautiful villages
Marvejols en occitan "Maruèjols", est une commune située dans le département de la Lozère en Gévaudan, à 670 mètres d'altitude, aux portes de l'Aubrac et de la Margeride, à proximité des gorges du Tarn et des Causses. Marvejols est une ville historique de caractère marquée par la culture occitane au passé riche de bouleversements et d'anecdotes. Du menhir d'époque gauloise, place Girou, aux trois imposantes portes fortifiées du XVIIème siècle, Marvejols est un véritable voyage à travers le temps et l'histoire du Haut-Languedoc à découvrir au hasard de vos pérégrinations dans ses étroites ruelles datant du Moyen-Age. Marvejols devient "Ville Royale" en 1307 lorsque Philippe IV le Bel en fît sa capitale en Gévaudan. Fortifiée durant la Guerre de Cent Ans, elle se convertit au protestantisme au XVIème siècle et prit parti pour Henri de Navarre futur Henri IV. Assiégée par les troupes du Duc de Joyeuse venues tromper les garnisons du Midi, les 3/4 de la population furent massacrés, la ville incendiée et les fortifications détruites... Reconnaissant, Henri IV fera reconstruire la ville dès 1601. Les trois portes sont les témoins de cette époque de trouble. Un Patrimoine exceptionnel Partez à la découverte du parcours pédestre "le Circuit Henri IV, la ville royale" disponible gratuitement à la Maison du Tourisme de Marvejols. Ce parcours est balisé (au sol, par des médaillons) et compte 17 bornes commentées et illustrées. Au gré de votre visite vous pourrez découvrir, les trois Portes de fortifiées (porte du Soubeyran, porte chanelles et porte du Théron), l'église Notre-Dame de la Carce (XVIIème siècle), les statues modernes sculptées par E. Auricoste de Henri IV et de la Bête du Gévaudan. La légende de la bête du Gévaudan Tout commence le 30 juin 1764 lorsque Jeanne Boulet, une jeune fille de 14 ans est attaquée en plein jour dans le pâturage où. . .
 
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Hôtel du Lion d'Or - 12140 Entraygues-sur-Truyère
Tel : +33 565 44 50 01 - Fax : 05 65 44 55 43
E-mail : hotel.lion.or@free.fr
 
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