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       Entraygues-sur-TruyĂšre by motorway A75 or Rodez airport



Access by road

Entraygues-sur-TruyĂšre - France - Europe

Entraygues-sur-TruyĂšre in the heart of the north Aveyron
From the north, Paris :
A10, then A71 to Clermont-Ferrand, then A75 to Montpellier.
Take the exit 23 to Massiac, Aurillac.
In Aurillac, take D920 to Rodez until Entraygues-on-Truyère.


From Lyon and the East :
A47 or N88 via Saint-Etienne, then A72 to Clermont-Ferrand, then A75 to Montpellier.
Take the exit 23 to Massiac, Aurillac.
In Aurillac, take D920 to Rodez until Entraygues-on-Truyère.


From the North West :
From Limoges, A20 to Tulle, then N120 to Aurillac, then D920 to Rodez until Entraygues-on-Truyère.

From the South West :
From Toulouse, A68 to Albi, then N88 to Rodez, then D988 to Sébazac-Concourès, then D904 to Entraygues-sur-Truyère.

From the South East, Marseille, Montpellier :
A9 then N9/A75 via Lodève, Millau, to Clermont-Ferrand.
Take the exit 42, then N88 to Rodez.
In Laissac, D28 to Espalion, then D920 to Entraygues-sur-Truyère.




 
 

Access by train


Several trains each day :
• PARIS / RODEZ
• PARIS / AURILLAC




Information & Reservation SNCF :
Web site : www.sncf.fr





Access by air


Rodez-Marcillac Airport.
Web site : www.aeroport-rodez.fr
Aurillac-Tronquières Airport.
Web site : www.caba.fr/fr/aeroport/
 
 
 
 
 
 
Actualités en Aveyron
TOULOUSE-LAUTREC AU CHATEAU DU BOSC A NAUCELLECelebrities
Si Henri de Toulouse Lautrec (1864 - 1901) est connu comme l’une des figures majeures du cercle artistique parisien de la fin du XIX° siĂšcle , ses origines provinciales le sont moins. Le peintre du Moulin Rouge, du Divan Japonais ou bien encore des maisons closes parisiennes est issu d’une trĂšs ancienne famille de la noblesse du Sud-Ouest, celle des Comtes de Toulouse. La famille vit dans plusieurs demeures : l’hĂŽtel du Bosc Ă  Albi, maison natale du peintre, le chĂąteau de CĂ©leyran dans l’Aude et le chĂąteau du Bosc dans l'Aveyron dont Henri est l’hĂ©ritier. Il y passe une partie de son enfance. Plus tard, quand il est installĂ© dans son atelier parisien, Lautrec retrouve ses parents, grands-parents et nombreux cousins chaleureusement rĂ©unis au Bosc lorsque arrivent les fĂȘtes de NoĂ«l et pendant la pĂ©riode estivale... Le chĂąteau du Bosc En Aveyron, Ă  Naucelle, le chĂąteau du Bosc, somptueuse demeure oĂč le peintre sĂ©journait chaque Ă©tĂ©, ouvre ses portes au public. Nicole BĂ©rengĂšre TapiĂ© de CĂ©leyran, une de ses petites niĂšces, vous accueille sur les lieux de son enfance et vous guide au fil des souvenirs. L'Ă©difice classĂ© Ă  l'inventaire supplĂ©mentaire des monuments historiques est un quadrilatĂšre enfermant la cour centrale de type mĂ©diĂ©val. Richement meublĂ©, le chĂąteau du Bosc abrite une bibliothĂšque, un oratoire, un grand salon dĂ©corĂ© XVIIĂš oĂč Toulouse-Lautrec trĂšs jeune, dessinait les scĂšnes de chasse auxquelles il avait participĂ© avec son pĂšre. La chambre du peintre a conservĂ© quasiment en l'Ă©tat, le petit théùtre de Guignol, les jouets, les portraits de famille. Sur un mur on trouve encore, les marques qui servaient Ă  mesurer la taille de chacun, des dessins, des photos prises ici pendant les vacances... ChĂąteau du Bosc 12800 Naucelle TĂ©l. 05 65 69 20 83 Fax 05 65 72 00 19
NAVIGATION SUR LE LOT : LE TEMPS DES GABARRES History
Entraygues, comme son nom l'indique entre les eaux, est idĂ©alement situĂ©e au confluent de deux riviĂšres, le Lot et la TruyĂšre. Cette situation en fit de tout temps un carrefour important de voies de communication. Le Lot "Le Lot ou plutĂŽt : l'Olt (son toponyme vĂ©ritable) est l'antique Oltis qui prend sa source au pays des Gabales : Le GĂ©vaudan, dans le massif du Goulet qui culmine Ă  1497 mĂštres. Sa source se situe Ă  1382 m d'altitude non loin du village d'Alpiers (LozĂšre). Sur une distance totale de 471 km la riviĂšre d'Olt baigne quatre rĂ©gions naturelles : Le GĂ©vaudan (la LozĂšre), le Rouergue (l'Aveyron), un peu de la haute Auvergne (le Cantal), Le Quercy (le Lot) et l'Agenais (le Lot-et-Garonne) oĂč elle conflue avec la Garonne Ă  Aiguillon, Ă  la pointe du RĂ©bĂ©quet." "Seule voie longitudinale vers l'Aquitaine (Quercy, Agenais, Bordelais) l'Olt, Ă  partir du confluent de la TruyĂšre , fut le grand chemin fluvial antique. Sur une longueur totale dĂ©passant 470 km seuls 256 km de la basse vallĂ©e - du port de Livinhac (BouquiĂšs) Ă  Aiguillon - et 41 km de la haute vallĂ©e, dite montagnarde - d'Entraygues Ă  Marcenac (prĂšs de Livinhac ) - soit au total 297 km, seront depuis le haut moyen age, le moyen de communication et la voie la plus utilisĂ©e pour atteindre la Garonne. Le Lot, depuis Entraygues , n'Ă©tait navigable et flottable, au maximum, que de quatre Ă  cinq mois par an. Ainsi affirme un proverbe Occitan : De la Sant Martin (11 novembre) a la Sant JĂČrdi (23 avril) l'Aiga es merchanda, se lo temps s'i prĂšsta. CommunĂ©ment, au XV , XVI et XVII siĂšcle la pĂ©riode navigable commençait Ă  la Saint-Michel (29 septembre) et s'interrompait vers la Saint-Jean (24 juin). " Les bateaux "Les actes notariaux, provenant du fond Jany et du Sieur Albespy, notaire royal de la citĂ© d'Entraygues , de 1641 Ă  1689, nous rĂ©vĂšlent exactement ce qu'Ă©taient les embarcations d'alors servant. . .
URBAIN HEMARD A ECRIT LE PREMIER LIVRE DENTAIRE EN FRANCEHistory
Le cardinal Georges d’Armagnac (1500-1585), ambassadeur de François Ier (1494-1547) Ă  Venise, Ă©vĂȘque de Rodez , a de sĂ©rieux problĂšmes dentaires qui le font souffrir frĂ©quemment. AprĂšs diverses sollicitations sans succĂšs en quĂȘte d’un soulagement, il se tourne en dernier recours vers Urbain HĂ©mard (1548 ( ?)-1616 ( ?)), chirurgien dans la mĂȘme ville depuis 1529. Pour soigner Georges d’Armagnac, HĂ©mard, n’ayant que peu de connaissances sur la question, consulte de nombreux ouvrages traitant des moyens nĂ©cessaires pour parvenir Ă  guĂ©rir les maux dentaires. Puis, il s’empresse de mettre en application ce qu’il a appris, dans la religieuse bouche. C’est un succĂšs dont il est remerciĂ© par le Cardinal qui l’encourage Ă  poursuivre ses recherches pour Ă©crire un livre sur les dents et lui demande « les causes & raisons d’une si forte douleur & des autres propriĂ©tĂ©s qui se trouvent es Dents plus que aux autres os ». Ce livre est publiĂ© Ă  Lyon, en 1582, chez Benoist Rigaud. Il s’intitule Recherche de la vraye anathomie des dents, nature et propriĂ©tĂ© d’icelles et est bien Ă©videmment dĂ©diĂ© au Cardinal. Cet ouvrage est considĂ©rĂ© par les spĂ©cialistes comme le premier du genre Ă©crit en France, sur les dents. Fauchard s’inspirera de ce travail pour Ă©crire son fameux Le Chirurgien-dentiste ou TraitĂ© des dents (1728). HĂ©mard reste dix annĂ©es au service du Cardinal, de 1552 Ă  1562. Avicenne, Chauliac, Eustache, Fallope, Joubert, VĂ©sale et encore Ambroise ParĂ© seront ses sources d’inspiration. Urbain HĂ©mard est nĂ© Ă  Entraygues-sur-TruyĂšre , dans l’Aveyron. Bien que de nombreux auteurs affirment qu’il est nĂ© en 1548, de gros doutes subsistent quant Ă  cette date. AprĂšs des Ă©tudes dans la cĂ©lĂšbre universitĂ© de Montpellier, premiĂšre Ă©cole de mĂ©decine sur le sol français, il s’installe Ă  Rodez. HĂ©mard y officie en tant que lieutenant du Premier chirurgien du roi. C’est en tant que tel qu’il. . .
LA JOCONDE A L'ABBAYE DE LOC-DIEUHistory
Mai 1940 : alors que les allemands se dirigent vers Paris, les conservateurs du Louvre dĂ©cident de cacher leurs trĂ©sors plus loin que Chambord. C'est ainsi qu'en pleine dĂ©bĂącle, plus de trois mille peintures - dont La Joconde - arrivent Ă  l'abbaye de LOC-DIEU. La « Guerre du Louvre » : c'est ainsi que l'on appelle aujourd'hui cet Ă©pisode de l'histoire française qui Ă  donnĂ© matiĂšre Ă  deux expositions Ă  Paris et Ă  Chambord Ă  l'occasion des 70 ans de ces Ă©vĂšnements. Ils sont Ă©galement abordĂ©s au cours de la visite de Loc Dieu ou Camille de Montalivet, propriĂ©taire, propose une prĂ©sentation de « Jocondes transfigurĂ©es ». Les responsables du musĂ©e du Louvre se sont prĂ©occupĂ©s dĂšs 1939 de mettre les collections Ă  l'abri. L'autorisation est venue en aoĂ»t d'Ă©vacuer les chefs-d'Ɠuvre des musĂ©es nationaux vers le centre et l'ouest du pays, via Chambord. Mais en mai 1940, alors que les allemands se rapprochent de Paris, les conservateurs dĂ©cident d'aller plus loin. Loc Dieu, estime Camille de Montalivet, avait dĂ» ĂȘtre repĂ©rĂ©e par un gardien-chef du Louvre originaire de Villefranche-de-Rouergue. L'Ă©glise permettait de stocker tous les tableaux, l'accĂšs en Ă©tait facile et un systĂšme anti- incendie pouvait ĂȘtre installĂ©. De plus, les chambres Ă©taient nombreuses dans lesquelles gardiens, conservateurs et leurs familles (soit plus de 250 personnes) pouvaient ĂȘtre logĂ©s, ainsi que dans les villages environnants. Plusieurs convois furent nĂ©cessaires pour transporter 3500 tableaux, parvenus Ă  destination entre les 5 et 17 juin. Les camions - en particulier ceux de la ComĂ©die Française - sont Ă©normes mais Ă  la dimension de certaines de ces prĂ©cieuses toiles : les Noces de Cana, de VĂ©ronĂšse, ne mesurent-elles pas 10 mĂštres sur 7 ? « Les conditions, souligne Camille de Montalivet, ont Ă©tĂ© certainement trĂšs Ă©prouvantes car des millions de Français Ă©taient sur. . .
BERTRAND DELANOE: UN AVEYRONNAIS DE COEURCelebrities
Né le 30 mai 1950 à Tunis, Bertrand Delanoë grandit à Bizerte et c'est pendant son adolescence que sa famille vient s'installer à Rodez en France. En effet, en Octobre 1963, l'armée française évacue la base et Bizerte est restituée à la Tunisie. Le départ dans les premiers jours de septembre 1964 est douloureux pour toute la famille. Si son arrivée à Rodez le désoriente dans les premiers mois, il va peu à peu s'y attacher fortement. Il intÚgre, comme beaucoup de familles bourgeoises aveyronnaises, l'institut Sainte-Marie de Rodez. Mais s'étant éloigné de la foi de son enfance et refusant de mettre ses convictions dans sa poche, il ne pourra s'empécher d'y tenir des grands raisonnements, contestant certains dogmes religieux. Il fait ses premiers pas en politique dÚs l'ùge de 23 ans, à Rodez , en tant que secrétaire de la Fédération des socialistes de l'Aveyron. Il est remarqué pour ses talents d'orateur par le chef du Parti socialiste au niveau national, François Mitterrand, celui-ci le fait monter à Paris au début des années 1970. En quittant Rodez, cet aveyronnais d'adoption et surtout de coeur va nous faire la brillante démonstration de ses talents politiques. Aux élections municipales de 1977, il est élu au Conseil de Paris en compagnie de Lionel Jospin, Claude Estier, Daniel Vaillant sur la liste de gauche emmenée par le communiste Louis Baillot. En 1981, il est élu jeune député de Montmartre (XVIIIe arrondissement de Paris). Il devient alors porte-parole du PS, soit numéro trois national. A l'occasion des élections législatives de 1986, il décide de quitter Paris pour tenter de s'implanter électotalement en Avignon, mais son parachutage est un échec. Il s'investit alors dans ses activités professionnelles, avant de retrouver une place au Conseil de Paris aux municipales de 1989. En 1993, il profite du départ du PS du président du groupe socialiste. . .
L'HISTOIRE DU COUTEAU DE LAGUIOLEHistory
On Ă©crit LAGUIOLE et on prononce « LAÏOLE ». On a conservĂ© la prononciation ancienne, en patois, en occitan, c’est la raison pour laquelle on parle de LaĂŻole. DĂ©but du 19Ăšme siĂšcle Au dĂ©but du 19Ăšme siĂšcle, le couteau local avait pour nom ‘Capujadou’. C’était une lame fixe et pointue emmanchĂ©e sur un morceau de bois ; c’est le premier couteau de Laguiole. 1829 Naissance du couteau Laguiole pliant Ă  cran forcĂ©*. Ce modĂšle est trĂšs proche de la version actuelle que nous connaissons tous. L’Aubrac est un vaste plateau composĂ© de fermes isolĂ©es oĂč habitent plusieurs familles. Les aĂźnĂ©s partaient faire la saison d’hiver en Catalogne en tant que tĂącherons et surtout scieurs de long. Certains d’entre eux sont revenus en Rouergue avec dans leur poche un couteau espagnol : la navaja. Le couteau Laguiole lui prend sa lame de forme yatagan et son manche effilĂ©. *Couteau Ă  cran forcĂ© ou couteau Ă  cran d'arrĂȘt. Le couteau de Laguiole est un couteau pliant Ă  cran forcĂ©. Il ne dispose donc pas, Ă  la diffĂ©rence de l'Opinel, couteau Ă  cran d'arrĂȘt, une bague qui permet de garder la lame constamment ouverte. Dans le cas du Laguiole, le ressort est en permanence en appui sur le talon de la lame. Quand on ouvre le couteau, la tĂȘte du ressort (partie oĂč il y a l'abeille) vient se verrouiller dans l'encoche du talon. Ainsi, par simple pression de la lame (on dit que l'on "casse le couteau"), l'on referme le couteau. Il n'y a pas de mĂ©canisme de blocage de la lame. C'est pour cette raison que le Laguiole n'est pas considĂ©rĂ© par le lĂ©gislateur comme une arme blanche (dont l'utilisation est restreinte). 1829 - 1880 La production locale est assurĂ©e par quelques artisans (souvent les forgerons) et permet de satisfaire la demande des paysans de l'Aubrac. Le. . .
VISITE DU PRINCE ALBERT II DE MONACO A MUR-DE-BARREZCelebrities
Le Prince de Monaco s'est rendu mercredi 14 mai 2014 en visite officielle dans le village aveyronnais de Mur-de-Barrez. Descendant de sa Peugeot noire 508 avec une heure de retard sur son programme, Albert II de Monaco fut accueilli chaleureusement par une foule consciente de vivre un moment unique. Et il le fut. Du soleil, des sourires, pas de barriĂšres pour ĂȘtre proche du peuple, des appareils photos et des tablettes portĂ©s Ă  bout de bras, la ferveur Ă©tait Ă  la hauteur de l’attente. Le dĂ©voilement de la plaque sur la tour de Monaco Certes, la princesse CharlĂšne n’est finalement pas venue - victime d’un malaise - mais l’ivresse de la rencontre avec un prince fait toujours rĂȘver. Le maire Alain CĂ©zac a prononcĂ© un discours mĂȘlant histoire et actualitĂ©. Puis s’en est suivi le dĂ©voilement de la plaque sur la Tour de Monaco, l’échange de cadeaux (deux modillons pour le prince, une statuette de François de Grimaldi pour la Ville de Mur-de-Barrez ). Le nombreux public, un millier de personnes environ, a pu ne pas quitter d’une semelle son prince, donnant libre cours aux photos, aux mains tendues et aux petits mots en remontant la Grand’rue au son du groupe folklorique "La BarrĂ©zienne" pour visiter la Maison de l’Histoire. Une heure et quart de visite Une vraie communion qui s’est poursuivie Ă  la sortie de la mairie pour signer le livre d’or, ou encore Ă  la sortie de l’église pour un dernier bain de foule. L’heure et quart de prĂ©sence du prince en Carladez aveyronnais fut largement dĂ©passĂ©e. Le prince est reparti au milieu d’un cortĂšge de onze vĂ©hicules, et Mur-de-Barrez peut dormir tranquille. UNE PREMIÈRE DEPUIS 300 ANS ! Fruit d'une longue correspondance Ă©pistolaire entre la principautĂ© monĂ©gasque et l'ancien maire de Mur-de-Barrez. . .
JEAN MOULIN FUT PREFET DE L'AVEYRONHistory
En mars 1937, Jean MOULIN est nommĂ© PrĂ©fet de l’Aveyron Ă  Rodez et devient Ă  38 ans le plus jeune PrĂ©fet de France. Mais en avril 1937, Pierre COT le rappelle comme Chef de cabinet. Jean MOULIN revient Ă  la tĂȘte de la PrĂ©fecture de l’Aveyron en 1938, dans un DĂ©partement conservateur de droite et clĂ©rical, jusque dans l’hĂ©micycle du Conseil GĂ©nĂ©ral qui ne compte que deux Ă©lus de gauche, dont Paul RAMADIER. Homme de conviction avec une large ouverture d’esprit, intelligent et respectueux, Jean MOULIN s’allie l’amitiĂ© du PrĂ©sident du Conseil GĂ©nĂ©ral, MARUEJOULS. Un grande complicitĂ© s’instaure entre les deux hommes, tandis que Jean Moulin reçoit la LĂ©gion d’honneur Ă  Rodez et participe Ă  l’inauguration de la Foire Exposition de Rodez , aux cĂŽtĂ©s du Cardinal VERDIE, archevĂȘque de Paris et natif de l’Aveyron. AprĂšs la dĂ©faite de 1940, rĂ©voquĂ©, il choisit le parti de la RĂ©sistance, et devient en 1943 le premier prĂ©sident du conseil national de la RĂ©sistance. Il fut arrĂȘtĂ© par la Gestapo en juin 1943. TorturĂ©, il mourut des suites des sĂ©vices qu'il avait endurĂ©s, lors de son transfert en Allemagne. Lors de son inhumation au PanthĂ©on, AndrĂ© Malraux exalta ce "chef d'un peuple de la nuit". L'apposition en 1948 d'une plaque sur la façade de la prĂ©fecture est venue confirmer le souvenir de Jean Moulin, en rappelant son rĂŽle dans la RĂ©sistance et sa fin hĂ©roĂŻque.
BERTRAND DELANOE DANS SON TERROIR AVEYRONNAISCelebrities
De l'audace et beaucoup d'Ă©motion Si en chaque parisien il y a un provincial qui s'ignore, ce n'est certes pas le cas du premier d'entre eux. Bertrand DelanoĂ«, et le grand public le sait au moins depuis la parution de son dernier livre, sait faire preuve d'audace. Et jouer aussi sur le registre de l'Ă©motion qui l'a conduit, hier, pour les besoins d'une Ă©mission tĂ©lĂ©visĂ©e de Michel Drucker (dimanche 15 juin) Ă  remettre ses pas dans les baskets de son enfance, au lycĂ©e Sainte-Marie, de son adolescence et de son entrĂ©e dans l'Ăąge mur sur la terrasse du cafĂ© Le Broussy. FilmĂ©, photographiĂ©, questionnĂ©, le maire de Paris a sorti le grand jeu, embrassant avec fougue les anciennes copines (la fille du docteur Bonnafous, RĂ©gine Taussat, une certaine Lisbeth...) et s'amusdant mĂȘme Ă  faire toucher ses abdominaux Ă  Lazlo Horwath, son ancien professeur de gymnastique qui a rappelĂ© que son petit Ă©lĂšve avait toujours eu « un bon esprit sportif ». TrĂšs Ă  l'aise dans ce numĂ©ro de charme, Bertrand DelanoĂ« a aussi discutĂ© le coup avec des lycĂ©ens, se souvenant de son Ă©poque cheveux longs et contestation obligatoire, avant de sacrifier Ă  une sĂ©ance de dĂ©dicaces Ă  la Maison du Livre. Avec, en guise d'Ă©chauffement, une petite signature apposĂ©e sur le maillot d'un supporter du club de football, PSG. Tout cela a permis de constater que Bertrand DelanoĂ«, visiblement, n'a pas d'ennemis sur Rodez. Entre 1964 et 1974, il avait alors entre 14 et 24 ans, il n'aura donc laissĂ© que de bons souvenirs, cet Ă©ternel jeune homme qui fait encore certains matins cinquante ou soixante pompes d'affilĂ©e, et qui aime dĂ©battre passionnĂ©ment. Les signatures se sont donc succĂ©dĂ©, Ă  un rythme assez rapide, sans qu'il oublie, toutefois, d'embrasser la mĂšre d'un ami, l'ancien hĂŽtelier chez lequel il est restĂ© deux mois avec sa famille, Ă  leur arrivĂ©e de Tunisie, le compagnon des premiĂšres engagements politiques. Jusqu'au prĂ©sident du conseil. . .
VISITE DE NICOLAS SARKOZY EN CARLADEZCelebrities
La visite Ă©clair du PrĂ©sident a permis aux filiĂšres agricoles de pointer leurs inquiĂ©tudes. Le timing Ă©tait serrĂ©, ce jeudi 1 juillet, lors de la venue de Nicolas Sarkozy en Carladez. La visite de l'exploitation de la famille Durand, Ă  Brommat, a durĂ© au final cinq petites minutes avant la dĂ©gustation de produits du terroir pour rapidement entrer dans le vif du sujet avec les reprĂ©sentants du monde agricole, dans la grange rĂ©amĂ©nagĂ©e pour la grande circonstance. Successivement, les Jeunes agriculteurs (JA) ont Ă©voquĂ© la problĂ©matique de l'installation, la FDSEA celle de l'Ă©levage en montagne, et le prĂ©sident de la fĂ©dĂ©ration de la coopĂ©rative Unicor a abordĂ© le volet Ă©conomique. À l'image de Bruno Montourcy, Ă  la tĂȘte des JA « ravi mais avec un certain nombre d'interrogations », les inquiĂ©tudes ont Ă©tĂ© exposĂ©es. Pour les JA, le manque de moyens humains pour la formation et le problĂšme foncier pour les personnes qui souhaitent s'installer. Nicolas Sarkozy a rĂ©pondu par la prochaine mise en place d'une caisse de dĂ©fiscalisation partielle pour aider les jeunes Ă  garantir leurs installations. CĂŽtĂ© aides financiĂšres, le PrĂ©sident a rappelĂ© le milliard d'euros retirĂ© aux cĂ©rĂ©aliers pour les donner aux Ă©leveurs. Avec son style fait de messages directs, interpellant les intervenants par leurs prĂ©noms, Nicolas Sarkozy n'a donc pas annoncĂ© d'aides supplĂ©mentaires. « Je comprends votre inquiĂ©tude mais franchement, dans la crise actuelle, 13,5 % de hausse de subventions, ayez le sourire au moins ! » A l'Ă©coute toutefois, il a promis de regarder de prĂšs le financement de l'accompagnement Ă  la formation. Concernant le volet de l'Ă©levage, Dominique Fayel, Ă  la tĂȘte de la FDSEA, a mis en avant « la distorsion communautaire qui n'est pas loyale » demandant « un droit Ă  la concurrence au niveau europĂ©en ». Exemple Ă  l'appui sur l'export au point mort avec la Russie qui exige la vaccination pour la fiĂšvre. . .
 
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