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Actualités en Aveyron
LA COUTELLERIE DE LAGUIOLEArt
Avec plus de 15 couteliers, dont plusieurs ont été primés, la Coutellerie de Laguiole, entreprise familiale, est aujourd'hui le premier fabricant artisanal de couteaux de laguiole à Laguiole. L'entreprise Durand, c'est une histoire familiale, la passion du couteau : forge d'acier Damas, ciselage au burin, gravure Scrimshaw, sculpture des manches, abeilles forgées dans la masse comme autrefois, ... De par son expérience récompensée, notre atelier de Fabrication Artisanale vous propose des modèles classiques de prestige respectant l'histoire, les légendes et traditions de l'Aubrac. Les visites des ateliers guidées et commentées sont gratuites. Le Coutelier fabrique son couteau de A à Z et cela entièrement à la main. "Laguiole", un nom, une origine, une tradition non protégés. Le modèle de couteau Laguiole ainsi que le nom constituent un fabuleux héritage de nos ancêtres. Malheureusement, ces derniers ont oublié de le breveter dans les délais légaux. Au bout de 20 ans, tout produit tombe dans le domaine public. Le délai légal de protection est dépassé. Ce produit n'est plus protégeable. De ce fait n'importe qui peut marquer Laguiole sur n'importe quoi. De nos jours, c'est l'invasion par une multitude de produits très bas de gamme, marqués Laguiole, comportant l'abeille et tous plus authentiques les uns que les autres. De tous ces produits TRES BAS DE GAMME, aucun n'est fabriqué à Laguiole. Exigez l'authenticité et sachez que votre véritable couteau Laguiole doit être vendu avec son Certificat d'Authenticité et son Bon de Garantie sur lequel figurent : le nom, l'adresse et le téléphone du FABRICANT. A voir également : L'HISTOIRE DU COUTEAU DE LAGUIOLE LE MUSEE DU COUTEAU DE LAGUIOLE L'AUBRAC, UNE TERRE DE RENCONTRES Pour en savoir plus, nous vous proposons la visite du site officiel des couteaux de Laguiole. . .
DECOUVREZ NOTRE REGION - L'OCCITANIE PAR NATHALIE PHILIPPECulture
Voici le site de Nathalie PHILIPPE sur la région Occitanie qui nous fait partager l'authenticité, le patrimoine, la culture et l'art des 13 départements qui composent l'Occitanie. L'Ariège (09), L'Aude (11), L'Aveyron (12) , Le Gard (30), La Haute-Garonne (31), Le Gers (32), L'Hérault (34), Le Lot (46), La Lozère (48), Les Hautes-Pyrénées (65), Les Pyrénées-Orientales (66), Le Tarn (81), Le Tarn-et-Garonne (82) www.tourismeetpatrimoineenoccitanie.fr
L'ETE PICASSO AU MUSEE SOULAGES DE RODEZCulture
Inaugurée ce 10 juin 2016 en présence de Pierre Soulages , l'exposition consacrée au peintre, dessinateur et sculpteur espagnol se prolongera jusqu'au 25 septembre 2016 au musée Soulages de Rodez. Pour la plus importante des monographies consacrées au peintre, dessinateur et sculpteur espagnol depuis l'exposition du musée des Augustins en 1965, quatre-vingt-quinze oeuvres, des portraits, des dessins cubistes, des vues d'atelier, des nus, des natures mortes et une trentaine de clichés pris dans l'intimité de l'artiste par les photographes Michel Sima et David Douglas Duncan. L'ensemble qui donne à voir largement la carrière de l'artiste provenant, hormis les peintures d'Antibes, est tiré du fonds que l'artiste avait prévu de transmettre à ses héritiers après sa mort en 1973 et dont une partie est à l'origine de la grande dation qui a fait naître le musée Picasso en 1985. A Rodez , les deux géants de la peinture cohabiteront jusqu'au 25 septembre : Pablo Picasso, l'un des artistes les plus prolifiques du XXe siècle et Pierre Soulages qui a souhaité que l'exposition n'ait pas le caractère conventionnel d'une exposition de musée. Je voulais déshabiller en quelque sorte l'exposition, ou la rhabiller, pour la départir de son caractère conventionnel.
EXPOSITION D'AURELE AU MUSEE DENYS PUECH DE RODEZCulture
L’ART, C’EST LES AUTRES Cet été, la Ville de Rodez accueille l’artiste-plasticien Aurèle pour une exposition/intervention inédite et exceptionnelle. Du 25 juin au 30 septembre, sous l’impulsion du Musée des Beaux-Arts Denys-Puech et des services culturels de la Ville, Aurèle signe une oeuvre ouverte, participative et collaborative aux dimensions monumentales intitulée « L’Art, c’est les Autres ». L’exposition consiste en l’installation, la transformation en direct et l’exposition-parcours éphémère dans l’espace public de quatre sculptures – GiantLostDog – acheminées par bateau de Shanghai pour l’occasion. EXPOSITION DU 25 JUIN AU 30 SEPTEMBRE 2012 Vernissage le 13 juillet 2012 « L’Art, c’est les Autres » se déroule en deux phases : l’une participative, l’autre collaborative. Dans le cadre de la phase « participative » de ce projet, plusieurs dispositifs ont été mis en place. Ils ont pour but de faire participer l’ensemble de la communauté autour d’une question unique, chère à l’artiste, qui est: «Et vous, que voulez-vous transmettre aux générations futures?» Ces dispositifs sont les suivants : - l’ouverture d’une page Facebook et d’un flux Twitter où chacun est invité à déposer sa réponse à la question. - la création de «boîtes aux lettres» («LostDogBox») disposées un peu partout dans la ville de Rodez. - la réalisation d’un «micro-trottoir» («LostDogSideWalk») par un groupe de jeunes ruthénois où tout un chacun est invité à répondre à la question d’Aurèle. - l’affichage à travers la ville de posters représentant l’affiche originale du chien perdu d’Aurèle complétée par les messages de la communauté récoltés au cours de l’opération. - L’installation d’un micro-musée permettra de recueillir en direct les réponses des visiteurs à la question «. . .
LE MUSEE DENYS-PUECH DE RODEZCulture
A quelques pas du musée Fenaille, vous pourrez visiter le musée Denys-Puech. La sculpture est leur lien principal. Denys Puech, grand prix de Rome en 1884, fut un éminent statuaire dont l’œuvre est imprégnée d’un goût pour l’antique. Depuis 1989, ce musée est le relais de la création moderne et contemporaine à travers une programmation d’exposition et d’acquisitions qui comprend entre autres les œuvres de François Bouillon, Michel Cure, Martine Damas, Rolino Gaspari, Bernard Pagès, Carmen Perrin, etc... François Morellet a ainsi réalisé Intégration, une sculpture qui orne le pignon des façades nord et sud du musée. Le musée fut fondé en 1903 par le sculpteur Denys Puech (1854-1942), qui fut un des sculpteurs officiels de la Troisième République. Le bâtiment fut réalisé en 1910 par l'architecte A. Boyer. Il dessina un rez-de-chaussée à larges baies pour mettre en valeur la collection de sculptures. La collection permanente présente, outre les œuvres du fondateur, celles d'artistes originaires de la région, notamment le peintre orientaliste Maurice Bompard (1857-1935) et du graveur Eugène Viala (1858-1913). Depuis 1987, des œuvres contemporaines sont également proposées au public dans les expositions temporaires. La naissance du Musée Dès 1903, le sculpteur Denys Puech forme le projet de réaliser à Rodez "un sanctuaire de l'art Aveyronnais". Après avoir offert à la Ville un fonds important de sculptures et de dessins, il convainc ses amis, le peintre orientaliste Maurice Bompard (1857-1935) et le graveur Eugène Viala (1858-1913), de faire don de quelques-unes de leurs oeuvres pour constituer les collections du nouveau musée. Ces œuvres sont actuellement réunies au rez-de-chaussée du musée autour des sculptures de Denys Puech. Le Bâtiment Un écrin pour abriter la donation de l'artiste C’est. . .
LE MUSEE DU SCAPHANDRE A ESPALIONCulture
Le Musée du Scaphandre a été créé en 1980 autour des inventions des espalionnais ROUQUAYROL et DENAYROUZE, qui en 1864, ont inventé le premier scaphandre autonome moderne de l'histoire de la plongée. En 1860 l'ingénieur des mines Benoit Rouqayrol invente un détendeur a membrane pour un appatreil de sauvetage destiné aux mineurs. En 1864 Auguste Denayrouse, lieutenant de vaisseau, addapte l'invention au monde sous marin. Ainsi nait a Espalion , a 200 km de la mer , le premier scaphandre autonome de l'histoire de la plongée. Jules VERNE s'est inspiré de leurs appareils pour équiper le Capitaine Nemo, dans son roman 20 000 lieues sous les mers. Les premiers essais furent effectués dans le Lot. De nombreuses pièces rares, voire uniques sont exposées et attirent des spécialistes du monde entier. Une statue de scaphandrier, en hommage aux inventeurs, avait été posée en l'an 2000. Insolite au premier abord, ce musée témoigne pourtant d'une invention qui, au milieu du XIXe siècle, prend racine dans les entrailles de la terre, sous la forme d'un appareil de sauvetage pour les mines de charbon, et qui, transposé dans le domaine marin, va ouvrir le chemin de la plongée au XXe siècle. Créé en 1980 en hommage aux inventions pionnières dans le domaine de la plongée des Aveyronnais Benoît Rouquayrol, d’Auguste et Louis Denayrouze, nés près des rives du Lot et d'Espalion , à plus de 200 km des côtes maritimes, il a été le premier d’Europe à se consacrer au scaphandre. Ses collections se sont enrichies au fil des années par des acquisitions, mais aussi grâce à des nombreux soutiens du Musée Océanographique de Monaco, du Musée national de la Marine (dépôts), de la Marine Nationale, des sociétés COMEX, ex-Elf Aquitaine, Spirotechnique, Cristal et Lama, de la BBC de Londres, et également grâce aux familles Rouquayrol, Denayrouze et Piel, ainsi qu’à des professionnels émérites et passionnés. . . .
NOUVEAU RECORD MONDIAL POUR UN TABLEAU DE SOULAGECulture
Il y a quelques jours (Mars 2013), chez Christie's, à Londres, une oeuvre de Pierre Soulages , qui réside à Sète (Hérault), a été adjugée pour une somme de 3 812 240 euros (3 289 250 livres). De 2,02 mètres sur 1,56 mètres, elle a été réalisée le 27 mars 1961, sous les yeux du romancier Roger Vailland. Le prix de ce tableau constitue un nouveau record mondial pour un peintre contemporain. Notons que le musée Soulages , qui ouvrira ses portes au printemps prochain, à Rodez , abritera de nombreuses oeuvres de la période couvrant les années cinquante et soixante, les plus recherchées dans les ventes publiques.
LE MUSEE ARCHEOLOGIQUE DE BANASSAC Culture
Le Musée archéologique de Banassac nous rappelle le passé glorieux de ce village gallo-romain. La salle d’exposition a ouvert ses portes en 1989 à l’initiative de l’Association archéologique de Banassac, sous la direction de M. Gilbert Fages. C’est grâce à la production de poteries sigillées (signées), entre le Ier et le IIIe siècle après J.C., que le bourg devient un centre économique important, au sein de l’Empire romain : on a retrouvé des céramiques provenant de ses ateliers jusqu’en Hongrie et en Pologne. Banassac est encore un pôle majeur dans la Gaule mérovingienne, comme le prouve la présence d’un atelier monétaire royal des Francs d’Austrasie. Plusieurs centaines de pièces de monnaies (en or et en argent) issues de Banassac sont aujourd’hui conservées dans le monde. Présentation de la commune de Banassac : Banassac est située au confluent de l’Urugne et du Lot. Le village est bâti sur un vicus (petite agglomération Gallo-Romaine). La commune compte une vingtaine de hameaux, s’étendant de part et d’autre du Lot , et des ruisseaux de l’Urugne et le Saint Saturnin. Son territoire est une terre de contraste où se cotoient le calcaire du causse , le grés rouge de la vallée et le basalte des contreforts de l’Aubrac. D’origine gallo-romaine, Banassac était à cette époque un important centre de fabrication de céramiques sigillées. Banassac fut également, à l’époque mérovingienne, un centre de frappe de monnaie. Histoire de Banassac : Banaciacum, village de potiers L’époque romaine a laissé de nombreux vestiges dans le pays gabale, qui a d’ailleurs donné son nom au Gévaudan. Les trois sites majeurs du triangle gallo-romain sont Lanuéjols, Javols et Banassac (Banaciacum). La paix instaurée en Gaule durant les trois premiers siècles de notre ère a permis le fort développement. . .
LE MOULIN DE TERRAL SUR L'AUBRACCulture
Le Moulin de Terral est l’un des 15 moulins connus à ce jour qui s’échelonnaient le long de la Boralde de Saint-Chély , boralde étant le nom générique des rivières de l’Aubrac qui alimentent la rive droite du Lot. L’acte de fondation de Terral remonte à 1312. Cette année-là, Hugues Cabrolié et sa femme Raymonde, habitants du château de Salgues, obtiennent du baron de Calmont, seigneur de cette région et maître des cours d’eau non navigables, l’autorisation de construire en ce lieu un moulin de 3 ou 4 meules. Le moulin, bien que propriété des Cabrolié, avait un caractère banal : les habitants des environs étaient tenus d’y faire moudre leurs grains. Au début, les meuniers ne logeaient pas sur place. Terral se développera particulièrement à partir de la seconde moitié du XVII° siècle, sous l’impulsion de la famille Bonal, alliée aux Cabrolié. On doit certainement à Pierre Bonal la construction de la maison d’habitation. À partir de cette époque les meuniers résident sur le site. En 1704, Jean, fils de Pierre, fait construire la grange-étable. Le moulin à huile verra le jour vers le milieu du XVIII° siècle. En 1765, l’implantation des bâtiments était celle que nous connaissons aujourd’hui. Sans enfants, les derniers Bonal vendirent Terral en 1764. La même famille avait tenu le moulin pendant 4 siècles et demi. C’en sera fini des grandes dynasties. Plusieurs meuniers se succéderont jusqu’en 1911, date d’abandon du moulin après le décès de son dernier occupant, Guillaume Bouldoire. Situé dans un environnement particulièrement humide, le moulin à huile va se délabrer peu à peu. Pendant la Seconde Guerre Mondiale, un feu mal maîtrisé embrase le moulin et détruit la toiture. Les murs ne tiennent plus et s’effondrent. Depuis 1998, l’association « Les Amis du Moulin de Terral » restaure le moulin. Ils ont déjà refait une partie des murs, reconstruit le toit, remis. . .
L'AVEYRON, LE DEPARTEMENT OU L'ON VIT LE MIEUX ?Culture
Schématiquement, la France de la santé est coupée en deux : "surmortalité" au nord, où l'on meurt plus jeune et plus souvent de maladies liées à l'alcool et au tabac, et "sous-mortalité" au sud, notamment en Rhône-Alpes et dans le Sud-Ouest. Dans cette dernière région, "les traditions culturelles et les habitudes alimentaires se sont toujours traduites par de bons indicateurs de santé publique, analyse le Dr Françoise Cayla, directrice de l'Observatoire régional de la santé de Midi-Pyrénées. Et si les départements de l'Aveyron et de la Haute-Garonne obtiennent des résultats particulièrement remarquables, c'est parce qu'ils présentent les plus faibles taux de précarité sociale de la région". Une précarité synonyme de mauvaise santé. Pourtant, quatre départements franciliens, où la pauvreté côtoie la richesse (Val-de-Marne, Essonne, Yvelines et Hauts-de-Seine), parviennent à se hisser parmi les dix premiers de notre classement. Publié par L'Express le 18/06/2008 Les sources de L'Express : L'espérance de vie : en années, au 1er janvier 2002. Insee, 2008. La surmortalité : taux de mortalité liée aux comportements individuels (alcool, tabac, suicides et morts violentes), pour 100 000 habitants. Atlas de la santé en France, éd. John Libbey, 2000.
 
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