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In a green park of 3000 m².
A wide variety of plants from all origin.
Calm to take a rest. . .
In the center of Entraygues-sur-Truyère.
Actualités en Aveyron
LES GORGES DE LA JORDANNE
Nature
La rivière de la Jordanne a creusé dans des brèches volcaniques des gorges s'enfonçant de 20 à 60 mètres dans un massif situé à plus de 1 000 mètres d'altitude. La rivière chemine dans ces gorges sur 4 kilomètres depuis le village de Saint-Julien jusqu'à celui de Saint-Cirgues-de-Jordanne dans le département du Cantal au nord d'Aurillac. Emprunter le Sentier de découverte des Gorges de la Jordanne, c’est plonger au cœur d’un patrimoine naturel exceptionnel et préservé ! Entre le pont de Méjanet, en contrebas de Saint-Julien-de-Jordanne, et le pont de Gétine, à la limite entre Saint-Cirgues-de-Jordanne et Lascelles, la Jordanne serpente sur plus de 3 km au creux de gorges d’une profondeur variant de 20 à 60 mètres. Creusé par l’eau au fil des siècles dans des brèches volcaniques, ce volet de nature inédit, très différent des prairies ou sommets alentours, mêle rivière, parois rocheuses abruptes et forêt en surplomb. En résulte une ambiance colorée et sauvage, où les jeux de lumière répondent à l’écho du moindre bruit.
Une balade dépaysante
Si les Gorges de la Jordanne étaient autrefois peu connues, difficilement accessibles et donc essentiellement fréquentées par des pêcheurs aguerris, elles sont devenues depuis 12 ans un lieu prisé des promeneurs. La CABA et les Communes de Lascelles et Saint-Cirgues-de-Jordanne y ont aménagé un sentier paisible, à l’ombre du sous-bois. Chaque été, près de 30 000 visiteurs arpentent les 2 km de sentier aménagé, en quête d’une balade inédite dans la fraîcheur d’un écrin de nature préservé. Ponts, passages en encorbellement, cheminements de bois et de terre... : sentiers et ouvrages d’art originaux ont été conçus dans le respect du milieu naturel, en utilisant au maximum les berges et le chemin des pêcheurs existant. Cheminements et structures en pierre et bois. . .
LAC DE SARRANS ET PRESQU'ILE DE LAUSSAC
Nature
Le lac de Sarrans suit très fidèlement le tracé de la Truyère dont il a noyé l'ancien lit. Il mesure presque trente-cinq kilomètres de longueur pour une largeur moyenne de trois cents mètres. Le barrage proprement dit est formé par une monumentale digue en voûte de cent treize mètres de hauteur supportant la route faisant la liaison entre Sainte-Geneviève-sur-Argence et le département du Cantal. Le lac a une envergure de 1000 hectares. La partie aval du lac est totalement aveyronnaise, puis il y a une zone de partage par le milieu, enfin la partie amont se trouve entièrement dans le Cantal. Ceci n'a aucune incidence sur la réglementation de la pêche et des sports nautiques commune aux deux départements. Ce lac est d'une très grande beauté sauvage dans un décor naturel somptueux. Ses berges, presque entièrement boisées, sont en forte pente où il est difficile, voire dangereux de vouloir s'y installer ou les suivre au bord de l'eau. C'est seulement possible et avec beaucoup de difficulté lorsque le niveau est abaissé de deux à trois mètres. Le seul point, tout à la fois pittoresque et agréable, ou l'on trouve une belle plage, des berges en pente douce et la possibilité de mettre les bateaux se trouve sur la presqu'île de Laussac. Le site de la presqu'île de Laussac sur la Truyère est d'une incroyable beauté. Sérénité, calme et nature sont les mots qui le caractérisent le mieux. Le village de la presqu'île de Laussac possède une des plus anciennes églises du Carladez. Laussac a été fondé vers l'an 1000 par St Gausbert qui y implanta un monastère. Ses reliques sont conservés dans la chapelle. Aujourd'hui, on ne voit plus que le haut du village, le reste ayant été englouti avec l'édification du barrage de Sarrans.
Voir aussi notre article :
BARRAGE DE SARRANS : LA VIDANGE TOTALE EN MAI 2014
A. . .
VELO RAIL ET TRAIN TOURISTIQUE DU LARZAC
Sports
La voie férrée en toute liberté !
En couple, en famille ou entre amis, ce voyage original vous fera parcourir a vélo rail ou en train une voie ferrée pleine de charmes et de mystères. Tunnels et viaducs ponctuent le périple le long de la magnifique vallée du Cernon. Ce voyage hors du temps ravira les grands et les petits.
Un peu d’histoire…
Inaugurée en 1896, la voie ferrée sur laquelle circule les vélorails et le Train Touristique du Larzac reliait alors Tournemire au Vigan, dans les Cévennes, pour une longueur totale de 61 km. Fermée au trafic en 1954, elle fut alors totalement déferrée et transformée en chemin de terre. Il fallut attendre les années 70 et le projet d’extension du camp militaire du Larzac pour que 17 km de rails soient réinstallés afin de convoyer les marchandises lourdes sur le plateau. En 1981, le président Mitterrand gèle le projet d’extension du camp militaire du Larzac. La voie ferrée est utilisée par le Vélorail depuis 2001 et par le Train Touristique du Larzac en 2008.
Deux formules sont proposées :
Sur le trajet « Papillon » l'aller et le retour ( 8km A/R ) se parcourent en vélo-rail, légère montée à l'aller. Sur la portion « Orchidées », aprés la descente de 8km en vélo-rail, le retour est effectué à bord du train touristique. Plus d'infos sur : www.veloraildularzac.com
LA GROTTE DE DARGILAN
Nature
La grotte de Dargilan, (surnommée « la Grotte Rose ») est située en Lozère à proximité de Meyrueis sur le Causse Noir. Découverte à la fin de l'automne 1880 par Sahuquet, un jeune berger alors à la poursuite d'un renard, il fallut attendre 1888 pour que le spéléologue Édouard-Alfred Martel en fasse une exploration complète. Elle sera aménagée et ouverte au public dès 1890.
VISITE
La visite de la Grotte de Dargilan captive par ses dimensions impressionnantes et par la variété de ses concrétions aux couleurs naturelles très accentuées. L’entrée d’origine, découverte en 1880 par un berger qui poursuivait un renard, ne laisse pas soupçonner l’ampleur des salles qui attendent le visiteur. Ce dédale souterrain, révélé en 1888 par Edouard Alfred Martel et aménagé la première fois en 1890, fit de Dargilan la première grotte ouverte au public. Dargilan, c’est la diversité D’abord, une salle immense où un effondrement d’une épaisseur de 60 mètres de roches entrelacées laisse stupéfait. Ici et là , sur ce chaos, scintillent de nombreuses stalagmites de toutes tailles en cour d’édification. A la voûte pend une multitude de fistuleuses. Au sud, une salle de dimensions plus réduites mais richement décorée, abrite déjà une belle colonne. La visite se poursuit dans l’ancien lit d’une rivière souterraine avec une succession de salles aussi variées que concrétionnées. Ici, la goutte d’eau dépose patiemment son lot de calcite. Elle se fait sculpteur pour façonner d’impressionnantes colonnes dont le Clocher est la pièce maîtresse. Elle s’écoule le long des parois pour former d’imposantes ou délicates draperies (Oreille d’éléphant, Cascade pétrifiée). Dargilan, la grotte rose du Causse Noir. Une concentration particulière d’oxyde de fer ou de matières organiques dans cette partie du karst donne aux concrétions des teintes très variées. C’est. . .
LA CASCADE DU CAPAT
Nature
La Cascade du Capat est une cascade de la rivière du Siniq qui franchit des pierres volcaniques du Cantal et de l'Auvergne. La chute forme un bassin naturel appréciable durant l'été. Mais attention, l'eau sort directement des sources des montagnes, même en temps de chaleur elle est très fraîche. A l'arrière plan, une petite grotte donne une touche colorée à la chute d'eau.
ACCES A LA CASCADE DE CAPAT
Départ dans le hameau Capat près de Malbo. Sentier de 500m balisé en bleu. 30 min. A/R. Entre Lacapelle-Barrès et St Martin sous Vigouroux, sur la D990 (très près de Lacapelle), on rencontre la petite départementale D401. Prendre cette petite route en direction de Malbo. Avant d'arriver à Malbo, tourner à gauche en direction de La Francio. On longe alors la rivière Siniq sur un chemin goudronné très étroit. Au hameau Le Capat, suivre les panneaux. On peut continuer en voiture sur le chemin qui n'est plus goudronné mais reste suffisamment large. On s'arrête ensuite sur un petit parking. L'accès à la cascade est bien visible, sur la droite. Il suffit de traverser un pré pour rejoindre le ruisseau.
LE VIADUC DE MILLAU RESISTERAI A UN SEISME LEGER DE 4,5
Nature
Qu’on se rassure d’emblée : il ne devrait pas y avoir dans les jours et les mois à venir plus de tremblements de terre en Aveyron qu’au cours des cinq derniers siècles, sachant que le site internet Sisfrance, tenu à jour par le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM), en répertorie quand même une petite vingtaine, d’intensité diverse. Rien ne permet non plus de dire que les séismes à venir seront plus violents que durant cette période.
les derniers en date :
- Le 25 janvier 2014 au nord d'Espalion (27 kilomètres au nord de Rodez ) avec une magnitude 3,9. - En février 2002, dont l’épicentre se trouvait sur le Lévézou , au nord-ouest de Millau , avec une magnitude 4,5. Mais, depuis le 1er mai, la moitié des communes de l’Aveyron se retrouvent en zone sismique de niveau 2 (le risque y est considéré comme faible), ), au centre, à l'est et au nord-est du département. C'est le cas du grand Rodez , de Millau ou encore d'Espalion. Non que leurs caractéristiques géologiques aient foncièrement changé depuis le 30 avril, mais en raison de la nouvelle réglementation parasismique européenne, et au regard du code de construction qui va avec, l’Eurocode 8. Quant à l'autre moitié des communes aveyronnaises (l'ouest et le sud), telles que Villefranche , Decazeville ou Saint-Affrique , elles se trouvent en zone sismique de niveau très faible, qui n'impose aucune construction parasismique. Dans ces communes, en vertu de cette réglementation fondée sur le fameux principe de précaution, les nouvelles constructions sont désormais soumises à des prescriptions parasismiques, concernant essentiellement les bâtiments dits stratégiques, les écoles, les lieux accueillant du public et les habitations collectives et bureaux de plus de 28 mètres... Pour les communes classées en niveau 3 et au-delà (il y en a 5), les prescriptions sont bien plus contraignantes. . .
LE LEVEZOU, FASCINANT RESERVOIR HYDROELECTRIQUE
Nature
Aussi impressionnant que méconnu. Le système hydroélectrique du Lévézou, malgré sa puissance, reste plutôt ignoré de la population aveyronnaise. Et pourtant, avec une capacité productible de 540 000 MW / h, le réseau sud-aveyronnais est véritablement capital pour le Groupe d'exploitation hydraulique (GEH) Tarn-Agout, l'antenne régionale d'EDF qui en assure la gestion. Car 540 000 MW / h, mine de rien, c'est l'équivalent de la consommation d'une ville de 220 000 habitants. C'est aussi 120 000 Tonnes équivalent pétrole (TEP). Le tout fabriqué, à l'inverse des sources d'énergie fossile, sans créer une accélération de l'effet de serre. Et 450 millions de watts sont mobilisables en seulement quelques minutes : plutôt confortable en cas de coups durs. Cela, grâce principalement à la turbine hydraulique de la centrale du Pouget, qui est tout simplement la plus puissante de France. Après 460 mètres de chute dans une conduite forcée, l'eau y permet la création d'une puissance de 285 000 kilowatts, soit le tiers de la puissance d'une centrale nucléaire ou d'une centaine de grandes éoliennes. Frappant. Pour en arriver à de tels résultats, il aura fallu créer le réseau de toutes pièces dans les années 1950. Un réseau qui s'articule autour d'une succession de lacs artificiels reliés les uns aux autres par de gigantesques conduites souterraines. Celle qui associe le barrage de Bage (trois millions de mètres cubes d'eau) à celui de Pareloup (le plus vaste, 170 millions de mètres cubes). Plus en aval, 2,7 km de galerie permettent la liaison entre la retenue d'eau de Pont-de-Salars (15 millions de mètres cubes) et celle de Bage. Entre Pareloup et Villefranche-de-Panat , où est installée la centrale d'Alrance, c'est un boyau de 11 km de béton qui court en quasi ligne droite. Le Pouget n'est que l'ultime maillon de cette chaîne de plans d'eau que le baigneur fréquente l'été sans véritablement se. . .
LA RIVIERE LA TRUYERE
Nature
La Truyère est une rivière française du Massif central qui coule dans les départements de la Lozère, du Cantal et de l'Aveyron. C'est l'affluent principal du Lot dans lequel elle se jette en rive droite. Elle est donc un sous-affluent de la Garonne.
Géographie
La Truyère prend sa source dans la forêt de la Croix-de-Bor, au sein du massif de la Margeride, à 1450 mètres d'altitude et dans le département de la Lozère. Son cours, d'une direction nord-ouest, était autrefois inféodé au bassin de l'Allier. Désormais, il l'est au profit de celui du Lot. Cette capture est due à l'épanchement de coulées de lave basaltique, provenant du volcan du Plomb du Cantal (planèzes). Il y a environ 7 millions d'années, elles ont constitué un barrage près de Saint-Flour. A ce point, la Truyère fait un coude en direction du sud-ouest et descend en rapides dans une vallée au relief jeune, pour se jeter dans le Lot en rive droite, à l'aval d'Entraygues-sur-Truyère. Les eaux de la Truyère sont domptées depuis les années 1950 par les barrages hydro-électriques de Grandval, Lanau et plus loin Sarran prennent l’aspect d’un fjord au milieu de gorges encaissées. L’imposante retenue de Garabit , et ses 1 100 hectares, est devenue le terrain de jeu des amateurs de sports nautiques, voile, ski, aviron… depuis les bases de Garabit et de Mallet. C’est également le royaume des pécheurs , notamment pour le sandre, la carpe ou le brochet. Quelques sentiers conduisent aux berges restées sauvages, autant de lieux appréciés pour un instant au bord de l’eau. La Truyère, c’est aussi de nombreux sites majestueux parmi lesquels le viaduc de Garabit , tout de rouge vêtu ou encore le site d’Alleuze et sa forteresse médiévale.
Départements et principales villes traversés
Lozère : Le Malzieu-Ville
Cantal :
Aveyron : Entraygues-sur-Truyère
Principaux. . .
LE SITE DES IGUES DE PY ET DE ROUFFIÉS
Nature
VISITE DU SITE DES IGUES DE PY ET DE ROUFFIÉS
A deux pas du village de Compolibat, on découvre un autre monde auquel le promeneur ne s'attend pas vraiment : les fameuses et presque uniques igues du Py et de Rouffiès. Ces étonnants phénomènes géologiques, ces étranges cheminées naturelles sculptées dans l'argile rouge, par le temps, l'eau et l'érosion, vous transportent dans un autre univers. Comme si l'on se retrouvait projeté, quelque part, au beau milieu d'une contrée sauvage et perdue de l'un des canyons de l'Ouest américain. Une balade aménagée d'une heure trente, avec des panneaux explicatifs, permet de parcourir en toute facilité ce site surprenant qui dévoile toute sa beauté à la lumière rasante de fin d'après-midi. Un ravissement pour les yeux et les amateurs de photos. Le type même de balade que l'on peut faire avec toute la famille. En évitant toutefois les grosses chaleurs. Le site des Igues de Py et de Rouffiés, situé à Compolibat près de Villefranche-de-Rouergue dans l'Aveyron, sont des abîmes naturels creusés dans l'argile rouge et provoqués par effondrement ou érosion. Ils sont plus connus sous le surnom de "chemin des fées". Ce phénomène géologique donne lieu à un sillon, appelé une igue d'environ 20 mètres de profondeur pour 40 à 50 mètres de large. La curiosité de ce travail géologique, unique en Rouergue, réside dans la décoration des parois des igues qui semblent sculptées de la main de l'homme. La formation des Igues provient de l'altération et de l'érosion des roches sédimentaires détritiques (ère tertiaire) et des sols préexistants, par les agents atmosphériques (pluie, vent, neige, gelée). Les roches tendres ont ainsi été, sans peine, attaquées, les roches les plus dures, qui elles ont résité, ont joué le rôle de parapluie ne protégeant les terrains du dessous. L'eau continue incessemment sont travail de sape sur les roches plus friables. . .
LES GORGES DE LA TRUYERE DU CANTAL A L'AVEYRON
Nature
La Truyère , dans son périple vers le sud où elle se jette dans le Lot , a creusé des gorges profondes entre Monts du Cantal et plateau de l'Aubrac , dessinant des paysages grandioses et sauvages, à couper le souffle. La visite de ces extraordinaires gorges sauvages peut s'effectuer en voiture par des routes touristiques très étroites, mais pour profiter pleinement du paysage, il importe de s'approcher des falaises en marchant à pied à travers champs ou par les rares chemins. Creusées dans les plateaux granitiques de la Haute Auvergne, les gorges de la Truyère offrent un environnement d'une infinie richesse, préservé et accueillant... Organiser son itinéraire à partir des cartes routières ; l'aller et le retour pouvant s'effectuer par la rive droite sur le versant de Mur-de-Barrez ou par la rive gauche par Sainte-Geneviève et Montézic. La Truyère se jette ensuite dans la retenue de Couesque , puis de Cambeyrac (où elle est rejointe par le goul et la selves), et fait sa jonction avec le lot dans la ville d'Entraygues sur Truyère. A voir : paysages grandioses, les gorges de la truyère, panoramas sur les hauteurs, points de vue aménagés, barrage de Cambeyrac, barrage de Couesque , barrage de La Barthe, barrage de Sarrans , site du Brézou, grands travaux d'EDF, site de Bénaven, cascade du saut-du-chien , routes touristiques et typiques, villes de Mur-de-Barrez , Sainte-Geneviève, Entraygues sur Truyère , site et château de Valon , villages typiques de la montagne, lac de Saint-Gervais, réservoir de Montézic.
A voir également, ce reportage tourner en 2015 :
LES BARRAGES DE LA TRUYERE
A voir également :
NORD AVEYRON, SUR LE TOIT DU ROUERGUE
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