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In a green park of 3000 m².
A wide variety of plants from all origin.
Calm to take a rest. . .
In the center of Entraygues-sur-Truyère.
Actualités en Aveyron
LE LAC DE PARELOUP, PLUS GRAND LAC DE LA REGION MIDI-PYRENEES
Nature
Le lac de Pareloup, appelé aussi lac de Salles-Curan, est l’un des hauts lieux touristiques, de vacances et de pêche de l’Aveyron. Il se situe entre Rodez et Millau sur le plateau du Lévézou à proximité de la commune de Salles-Curan à 805m d'altitude.. C’est le plus grand lac de la région Midi-Pyrénées et le 5e plus grand lac artificiel de France ! Cette retenue d’eau artificielle fait partie d’un aménagement hydraulique qui alimente une puissante centrale électrique sur le Tarn. Elle s’étend sur une superficie de 1.240 hectares. Le lac de Pareloup offre 100 kilomètres de rivages en pente douce propices à la pêche et à tous les sports nautiques, mais aussi à la baignade. Il possède même des grands fonds et des plages. La côte du lac est très découpée (130 km) et dégage de très nombreuses péninsules et deux îles (au large de la presqu'île du Routaboul). Étant dans une cuvette, le lac présente des côtes peu escarpées dégageant de vastes plages qui font souvent (lorsque le lac n'est pas trop plein) plusieurs dizaines de mètres de large. Construit dans les années 1950, le barrage créé un lac qui a noyé une ancienne cuvette appelée "la cuvette du Vioulou". Beaucoup d'agriculteurs ont perdu des terres, des fermes (Caussanel) et des moulins y furent engloutis. Depuis le début des années 1980, le tourisme s'intensifie et l'été la population peut être triplée : très nombreux campings, résidences secondaires, hôtels, activités nautiques, patrimoine bati et naturel diversifiés ... En 1993, la vidange du lac (la première depuis 1961) a permis de mettre à jour de nombreux vestiges. Le plus connu est le « pont des 15 arches » sur lequel passait la route D993 de Pont-de-Salars à Salles-Curan pour traverser le Vioulou. Ce pont bien que noyé pendant 40 ans était encore intact. La présence de vestiges archéologiques, comme la voie romaine (Caussanel) et. . .
LE GOLF DU GRAND RODEZ
Sports
Le parcours de golf de l’Aveyron au Grand Rodez :
18 trous - Par 70 - 5548 m - Architecte Robert Berthet Créé en 1994 Ce parcours dessiné par Robert Berthet offre une vue panoramique imprenable sur la campagne environnante et sur la cité de Rodez. D’une longueur de 5548 mètres, pour un par 70, ce 18 trous plutôt technique permettra aux joueurs de tous niveaux d’exercer leurs talents sur les fairways et les greens excellents de ce parcours vallonné.
Installations d'entraînement
Practice 20 postes dont 16 postes couverts
Putting green
Pitching Green
Compact 6 trous
CONTACT
GOLF DU GRAND RODEZ Avenue de Vabre, 12850 Onet-le-Château 33 (0)5 65 78 38 00 33 (0)5 65 78 37 36 golf.rodez@formule-golf.com
Site internet :
www.formule-golf.com
LE SITE DES IGUES DE PY ET DE ROUFFIÉS
Nature
VISITE DU SITE DES IGUES DE PY ET DE ROUFFIÉS
A deux pas du village de Compolibat, on découvre un autre monde auquel le promeneur ne s'attend pas vraiment : les fameuses et presque uniques igues du Py et de Rouffiès. Ces étonnants phénomènes géologiques, ces étranges cheminées naturelles sculptées dans l'argile rouge, par le temps, l'eau et l'érosion, vous transportent dans un autre univers. Comme si l'on se retrouvait projeté, quelque part, au beau milieu d'une contrée sauvage et perdue de l'un des canyons de l'Ouest américain. Une balade aménagée d'une heure trente, avec des panneaux explicatifs, permet de parcourir en toute facilité ce site surprenant qui dévoile toute sa beauté à la lumière rasante de fin d'après-midi. Un ravissement pour les yeux et les amateurs de photos. Le type même de balade que l'on peut faire avec toute la famille. En évitant toutefois les grosses chaleurs. Le site des Igues de Py et de Rouffiés, situé à Compolibat près de Villefranche-de-Rouergue dans l'Aveyron, sont des abîmes naturels creusés dans l'argile rouge et provoqués par effondrement ou érosion. Ils sont plus connus sous le surnom de "chemin des fées". Ce phénomène géologique donne lieu à un sillon, appelé une igue d'environ 20 mètres de profondeur pour 40 à 50 mètres de large. La curiosité de ce travail géologique, unique en Rouergue, réside dans la décoration des parois des igues qui semblent sculptées de la main de l'homme. La formation des Igues provient de l'altération et de l'érosion des roches sédimentaires détritiques (ère tertiaire) et des sols préexistants, par les agents atmosphériques (pluie, vent, neige, gelée). Les roches tendres ont ainsi été, sans peine, attaquées, les roches les plus dures, qui elles ont résité, ont joué le rôle de parapluie ne protégeant les terrains du dessous. L'eau continue incessemment sont travail de sape sur les roches plus friables. . .
LAC DE CASTELNAU LASSOUTS
Nature
Tout en longueur, le lac de Castelnau-Lassouts-Lous, aux rives pentues et verdoyantes, a conservé son charme sauvage. C'est un lac artificiel d'EDF d'une superficie de 218 hectares. Le lac de Castelnau-Lassouts, appelé aussi lac de Saint-Geniez , suit exactement le tracé de l'ancien lit du Lot produisant sa principale alimentation en eau. C’est un lac très riche en nourriture naturelle car c’est le premier barrage de la rivière Lot. C'est un plan d'eau tout on longueur s'étalant sur quinze kilomètres pour une largeur moyenne de deux cents mètres fermé par deux digues distantes d'un kilomètre. Les accès routiers sont limités et concentrés dans la zone amont et dans la zone aval. A partir de Saint-Geniez , sur la rive droite, la route longe l'eau jusqu'à Lous ; sur la rive gauche on arrive à Cabanac, haut-lieu de rassemblement des pêcheurs en bateau. De la, et sur huit kilomètres, le lac serpente dans des gorges sauvages.
LES GORGES DE LA JORDANNE
Nature
La rivière de la Jordanne a creusé dans des brèches volcaniques des gorges s'enfonçant de 20 à 60 mètres dans un massif situé à plus de 1 000 mètres d'altitude. La rivière chemine dans ces gorges sur 4 kilomètres depuis le village de Saint-Julien jusqu'à celui de Saint-Cirgues-de-Jordanne dans le département du Cantal au nord d'Aurillac. Emprunter le Sentier de découverte des Gorges de la Jordanne, c’est plonger au cœur d’un patrimoine naturel exceptionnel et préservé ! Entre le pont de Méjanet, en contrebas de Saint-Julien-de-Jordanne, et le pont de Gétine, à la limite entre Saint-Cirgues-de-Jordanne et Lascelles, la Jordanne serpente sur plus de 3 km au creux de gorges d’une profondeur variant de 20 à 60 mètres. Creusé par l’eau au fil des siècles dans des brèches volcaniques, ce volet de nature inédit, très différent des prairies ou sommets alentours, mêle rivière, parois rocheuses abruptes et forêt en surplomb. En résulte une ambiance colorée et sauvage, où les jeux de lumière répondent à l’écho du moindre bruit.
Une balade dépaysante
Si les Gorges de la Jordanne étaient autrefois peu connues, difficilement accessibles et donc essentiellement fréquentées par des pêcheurs aguerris, elles sont devenues depuis 12 ans un lieu prisé des promeneurs. La CABA et les Communes de Lascelles et Saint-Cirgues-de-Jordanne y ont aménagé un sentier paisible, à l’ombre du sous-bois. Chaque été, près de 30 000 visiteurs arpentent les 2 km de sentier aménagé, en quête d’une balade inédite dans la fraîcheur d’un écrin de nature préservé. Ponts, passages en encorbellement, cheminements de bois et de terre... : sentiers et ouvrages d’art originaux ont été conçus dans le respect du milieu naturel, en utilisant au maximum les berges et le chemin des pêcheurs existant. Cheminements et structures en pierre et bois. . .
LE LAC DE MAURY OU DE LA SELVES
Nature
Implanté au milieu des magnifiques paysages de la base Viadène, le lac de Maury baptisé également lac de la Selves ou encore de Saint Amans des Côts, est un grand plan d’eau de 167 ha. Il se localise au confluent des vallées de la Selves et du Selvet, une configuration qui lui procure cette forme caractéristique en V : avec deux bras : un bras "nord" correspondant à la vallée du selvet, et un bras "Est", plus long, restes de la vallée de la Selves. Assez encaissé sur une bonne partie du lac, les berges peuvent également proposer aux pêcheurs quelques plages. La queue du bras de la Selve est assez plane. Sa digue traversée par la D97 reliant Saint Amans des Côts au village du Nayrac, est un grand barrage de béton en forme de voûte de 72 mètres de haut, construit entre 1940 et 1947 dans un val de la Selves et destiné à l’alimentation d’une centrale hydro-électrique. La Selves, longue de 44 km, prend sa source dans l'Aveyron sur le revers ouest plateau de l'Aubrac à 1 330 mètres d'altitude, affluent de la Truyère (rive gauche) dans le lac du barrage de Couesque. Le barrage-réservoir de Maury, au confluent de la Selves et du Selvet, alimente l'usine de Lardit, sur la Truyère. La centrale EDF, du type « lac », a un réservoir d'une capacité utile de 35,12 millions de mètres cubes. La puissance installée est de 45 080 kW et la production moyenne annuelle de 107 millions de kilowatts-heures.
LA PECHE
Les berges y sont très pentues sur une grande partie du lac rendant l’accès et l’installation impossibles sur une bonne partie. Le cadre y est cependant magnifique vallonné empierré et boisé. Les fonds y sont propres et la bonne densité de poisson est idéale pour débuter en lac de barrage. Attention cependant au climat typique du massif central où il fait parfois extrêmement froid la nuit. Le lac possède une bonne densité de carpes miroirs de bonne souche pesant majoritairement entre. . .
LAC DE SARRANS ET PRESQU'ILE DE LAUSSAC
Nature
Le lac de Sarrans suit très fidèlement le tracé de la Truyère dont il a noyé l'ancien lit. Il mesure presque trente-cinq kilomètres de longueur pour une largeur moyenne de trois cents mètres. Le barrage proprement dit est formé par une monumentale digue en voûte de cent treize mètres de hauteur supportant la route faisant la liaison entre Sainte-Geneviève-sur-Argence et le département du Cantal. Le lac a une envergure de 1000 hectares. La partie aval du lac est totalement aveyronnaise, puis il y a une zone de partage par le milieu, enfin la partie amont se trouve entièrement dans le Cantal. Ceci n'a aucune incidence sur la réglementation de la pêche et des sports nautiques commune aux deux départements. Ce lac est d'une très grande beauté sauvage dans un décor naturel somptueux. Ses berges, presque entièrement boisées, sont en forte pente où il est difficile, voire dangereux de vouloir s'y installer ou les suivre au bord de l'eau. C'est seulement possible et avec beaucoup de difficulté lorsque le niveau est abaissé de deux à trois mètres. Le seul point, tout à la fois pittoresque et agréable, ou l'on trouve une belle plage, des berges en pente douce et la possibilité de mettre les bateaux se trouve sur la presqu'île de Laussac. Le site de la presqu'île de Laussac sur la Truyère est d'une incroyable beauté. Sérénité, calme et nature sont les mots qui le caractérisent le mieux. Le village de la presqu'île de Laussac possède une des plus anciennes églises du Carladez. Laussac a été fondé vers l'an 1000 par St Gausbert qui y implanta un monastère. Ses reliques sont conservés dans la chapelle. Aujourd'hui, on ne voit plus que le haut du village, le reste ayant été englouti avec l'édification du barrage de Sarrans.
Voir aussi notre article :
BARRAGE DE SARRANS : LA VIDANGE TOTALE EN MAI 2014
A. . .
LA GROTTE DE DARGILAN
Nature
La grotte de Dargilan, (surnommée « la Grotte Rose ») est située en Lozère à proximité de Meyrueis sur le Causse Noir. Découverte à la fin de l'automne 1880 par Sahuquet, un jeune berger alors à la poursuite d'un renard, il fallut attendre 1888 pour que le spéléologue Édouard-Alfred Martel en fasse une exploration complète. Elle sera aménagée et ouverte au public dès 1890.
VISITE
La visite de la Grotte de Dargilan captive par ses dimensions impressionnantes et par la variété de ses concrétions aux couleurs naturelles très accentuées. L’entrée d’origine, découverte en 1880 par un berger qui poursuivait un renard, ne laisse pas soupçonner l’ampleur des salles qui attendent le visiteur. Ce dédale souterrain, révélé en 1888 par Edouard Alfred Martel et aménagé la première fois en 1890, fit de Dargilan la première grotte ouverte au public. Dargilan, c’est la diversité D’abord, une salle immense où un effondrement d’une épaisseur de 60 mètres de roches entrelacées laisse stupéfait. Ici et là , sur ce chaos, scintillent de nombreuses stalagmites de toutes tailles en cour d’édification. A la voûte pend une multitude de fistuleuses. Au sud, une salle de dimensions plus réduites mais richement décorée, abrite déjà une belle colonne. La visite se poursuit dans l’ancien lit d’une rivière souterraine avec une succession de salles aussi variées que concrétionnées. Ici, la goutte d’eau dépose patiemment son lot de calcite. Elle se fait sculpteur pour façonner d’impressionnantes colonnes dont le Clocher est la pièce maîtresse. Elle s’écoule le long des parois pour former d’imposantes ou délicates draperies (Oreille d’éléphant, Cascade pétrifiée). Dargilan, la grotte rose du Causse Noir. Une concentration particulière d’oxyde de fer ou de matières organiques dans cette partie du karst donne aux concrétions des teintes très variées. C’est. . .
UN COCKTAIL TOXIQUE POUR EXTRAIRE LES GAZ DE SCHISTE
Nature
Benzène, toluène, plomb, cuivre, diesel… ces substances très nocives ne sont qu'un petit extrait des 2500 produits chimiques utilisés entre 2005 et 2009 par l'industrie des gaz de schiste aux Etats-Unis. Les démocrates de la Chambre des représentants américaine ont publié samedi un rapport dressant "l'inventaire le plus complet" de ces produits nécessaires à l'extraction par fracturation hydraulique des gaz non conventionnels.
29 cancérigènes ou polluants
Parmi les 750 substances chimiques identifiées se trouvent 29 produits classés comme des cancérigènes probables ou suspectés, ou des polluants de l'air ou de l'eau. Et ces substances toxiques ont été utilisés à grande échelle : en cinq ans, plus de 38 millions de litres de produits contenant au moins un cancérigène, et 43 millions de litres d'ethylbenzene (polluant de l'air et de l'eau).
Sel, café et coques de noix
D'autres substances dangereuses ont été repérées, comme le 2-butoxyethanol, qui peut détruire les globules rouges ou entraîner des maladies de la moelle osseuse ou du foie, et qui entrait dans la composition de 82 millions de litres de produits utilisés entre 2005 et 2009. Plus anecdotiques, le rapport a noté l'utilisation de sel, d'acide citrique, mais aussi de café soluble ou de coques de noix dans les liquides de fracturation.
Pas soumis aux lois sur l'eau
Le rapport de la Commission de l'énergie et du commerce est basé sur un questionnaire envoyée aux quatorze entreprises exploitant les gaz et huiles de schiste aux Etats-Unis. Certains ingrédients de produits de fracturations n'ont pas été dévoilés par respect du secret industriel. Les travaux de recherche des parlementaires n'indiquent pas si ces produits se retrouvent dans l'eau potable. Aux Etats-Unis, la fracturation hydraulique n'a pas à se conformer à la législation. . .
LE MILAN ROYAL, L'EMBLEME DES GORGES DE LA TRUYERE
Nature
D'une envergure de 145 à 165 cm, le Milan Royal est l'emblème de la Truyère. Ce sont 15 couples qui viennent nicher dans les gorges de la Truyère dans le nord Aveyron. Ce rapace se reconnaît à sa longue queue rousse triangulaire et profondément échancrée, typique de l'espèce, sa tête blanchâtre, son plumage brun-roux et deux taches blanches situées au niveau des poignets, sur la face inférieure, caractéristiques de l'espèce. Le corps du Milan Royal est gracile, les ailes étroites, la queue profondément échancrée. La femelle est un peu plus claire. Le dessus est brun noir roussâtre prolongé par deux longues ailes étroites dont les extrémités digitées sont noires. Vu d'en dessous, la milan royal présente une « main » blanche sous les ailes. La queue rousse et très échancrée permet de grandes qualités dans la navigation et les changements de direction. La poitrine et l'abdomen brun-roux sont finement rayés de noir. La base du bec et le tour des yeux sont jaunes, ainsi que les pattes. Les iris sont ambrés et procurent une vue excellente, près de huit fois supérieure à la moyenne humaine. Le Milan Royal, excellent planeur au vol léger et lent, doté d’une longue queue fourchue, d’un plumage roux vif et d’une large fenêtre blanche ornant le dessous de son aile, est considéré comme l’un des plus beaux rapaces d’Europe. Il voit ses effectifs diminuer et son aire de répartition se réduire inexorablement. Après l’Allemagne, la France accueille la deuxième population mondiale. Le Massif central concentre 40 % de la population nicheuse nationale et près de 30 % des effectifs hivernants français (1 000 à 2 000 individus par hiver dans le Massif Central). Le Milan royal, une des deux seules espèces de rapaces endémiques de l’Europe, est aujourd’hui largement menacé. Sa distribution est extrêmement sporadique comportant des populations souvent très réduites.. . .
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