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In a green park of 3000 m².
A wide variety of plants from all origin.
Calm to take a rest. . .
In the center of Entraygues-sur-Truyère.
Actualités en Aveyron
LA FERME DES AUTRUCHES
Nature
Aux portes de Conques , en direction de Sénergues , on rencontre un élévage bien singulier. Chez Geneviève et Christian Vigouroux , on peut découvrir cet élévage en plein air d'autruches de tous les âges, dans des parcs aménagés de plusieurs hectares. Au fil des saisons; leur comportement se dévoile avec leurs parades amoureuses, leurs danses surprenantes et leur démarche singulière. De la ponte à la maturité, le couple assure toute la chaîne de l'élevage, dans la tradition fermière et cela depuis 1998 ou sont rentrées leurs six premières autruches. Les produits sont valorisés en vente directe. La viande est commercialisée en surgelés et en conserve, c'est une viande tendre, fondante, très facile à cuisiner. «Il ne faut pas la faire trop cuire », conseille Geneviève. L'abattage et la découpe sont réalisés à Villefranche de Rouergue. L'autruche, 2,20 à 2,30 m de hauteur, jusqu'à 150kg pour les reproducteurs, est un animal parfois familier, mais dont il faut se méfier en permanence, l'accès aux parcs ne se fait qu'avec un véhicule. Le troupeau est réparti en plusieurs enclos avec abris : poussins, élevage, engraissement et 5 pour les reproducteurs (un mâle et une ou deux femelles). Du printemps à l'automne, une autruche pond de 40 à 60 œufs qui sont mis en couveuse pendant 42 jours. Un œuf équivaut à 24/30 œufs de poule et pèse de 1,5 à 2kg. À 14/18 mois, les autruches sont abattues et leur viande conditionnée (congélation sous vide -daube, steak, pavé, rôtis-) ou transformée en pâtés et plats cuisinés. La peau d'autruche une fois tannée (tannerie Arnal Rodez ) permet la confection (Vendée et Graulhet) de sacs et autres pièces de maroquinerie. Qu'ils soient nature ou décorés grâce aux talents de Geneviève, les œufs non fécondés (œufs clairs) sont également proposés à la vente. La quasi-totalité des ventes s'effectue sur place. Dans des parcs. . .
PARC DE LOISIRS DES BOUSCAILLOUS
Sports
A 10 minutes de Millau, à proximité de l'autoroute A75 et du Viaduc de Millau. Au cœur d'un parc boisé de plusieurs dizaines d'hectares, venez vous amuser entre amis ou en famille avec nos nombreuses activités. Au programme : Karting, découverte du viaduc de Millau ou du causse rouge en quads, paintball, lasergame en extérieur., tir à l'arc... Kart cross, kart biplace, kart enfant, buggy kid. Le plein de sensations pour tous ! Sur place : bar, snack, restaurant sur réservation, salle de séminaires. Maison d'hôtes. Les plus du parc de loisirs des bouscaillous : activité quad dès l'age de 13 ans et 1,50 m en autonomie de pilotage. Activité kart dès l'age de 4 ans en bi place avec papa ou maman. Comme les grands sur le circuit national dès l'age de 7 ans et 1,25 m.
Plus d'infos sur le site :
www.parc-bouscaillous.fr
LA CASCADE DU DEROC SUR LA COMMUNE DE NASBINALS
Nature
La cascade du Déroc est une chute d'eau du département de la Lozère et constitue l'un des sites naturels les plus remarquables de l'Aubrac. Elle est formée par l'exutoire du lac des Salhiens qui se précipite du haut d'une falaise basaltique (correspondant à une ancienne coulée de lave) et retombe 32 m plus bas. La cascade cache une petite grotte dont le plafond est formé de prismes basaltiques (ou orgues basaltiques). La cascade du Déroc domine de 30 mètres la petite vallée glaciaire du ruisseau de Gambaïse : points de vue imprenables sur la région de Marchastel avec, en arrière plan, les vastes étendues de l'Aubrac granitique lozérien. La chute d'eau se visite par un chemin pédestre qui part de la route D52 ou «route des lacs» et qui aboutit au sommet de la falaise. Le site n'étant pas sécurisé, le risque de chute du haut de la falaise est réel et il convient donc d'être particulièrement prudent. On peut cependant accéder au pied de la chute d'eau par un sentier très accidenté qui contourne la falaise par la gauche en arrivant. On accède à la cascade de Déroc depuis un petit chemin qui part de la commune de Nasbinals aux confins du département entre Aveyron et Cantal. Suivant le ruisseau, on arrive au bord du ravin. Là , l'affluent du Bès et les eaux du lac de Salhiens se précipitent depuis le rebord de basalte sous laquelle s'est formée une grotte ... Ne restez pas en haut, contournez par la gauche pour apprécier les 32 mètres de chutes d'eau... Malgré le bruit de l'eau, toujours envoûtant, la beauté du lieu inspire calme et sérénité... Sous la cascade, vous pourrez découvrir un important abri sous roche. Cette grotte découverte par le docteur Prunière devait servir de refuge aux brigands de grands chemins. Son plafond est constitué de gros prismes basaltiques remarquables par leur géométrie... Evidemment, on est un peu mouillé... ce qui en été est bienvenu,. . .
LES GORGES DE LA JORDANNE
Nature
La rivière de la Jordanne a creusé dans des brèches volcaniques des gorges s'enfonçant de 20 à 60 mètres dans un massif situé à plus de 1 000 mètres d'altitude. La rivière chemine dans ces gorges sur 4 kilomètres depuis le village de Saint-Julien jusqu'à celui de Saint-Cirgues-de-Jordanne dans le département du Cantal au nord d'Aurillac. Emprunter le Sentier de découverte des Gorges de la Jordanne, c’est plonger au cœur d’un patrimoine naturel exceptionnel et préservé ! Entre le pont de Méjanet, en contrebas de Saint-Julien-de-Jordanne, et le pont de Gétine, à la limite entre Saint-Cirgues-de-Jordanne et Lascelles, la Jordanne serpente sur plus de 3 km au creux de gorges d’une profondeur variant de 20 à 60 mètres. Creusé par l’eau au fil des siècles dans des brèches volcaniques, ce volet de nature inédit, très différent des prairies ou sommets alentours, mêle rivière, parois rocheuses abruptes et forêt en surplomb. En résulte une ambiance colorée et sauvage, où les jeux de lumière répondent à l’écho du moindre bruit.
Une balade dépaysante
Si les Gorges de la Jordanne étaient autrefois peu connues, difficilement accessibles et donc essentiellement fréquentées par des pêcheurs aguerris, elles sont devenues depuis 12 ans un lieu prisé des promeneurs. La CABA et les Communes de Lascelles et Saint-Cirgues-de-Jordanne y ont aménagé un sentier paisible, à l’ombre du sous-bois. Chaque été, près de 30 000 visiteurs arpentent les 2 km de sentier aménagé, en quête d’une balade inédite dans la fraîcheur d’un écrin de nature préservé. Ponts, passages en encorbellement, cheminements de bois et de terre... : sentiers et ouvrages d’art originaux ont été conçus dans le respect du milieu naturel, en utilisant au maximum les berges et le chemin des pêcheurs existant. Cheminements et structures en pierre et bois. . .
LES RASPES DU TARN : UNE DESTINATION PRESERVEE ET CONFIDENTIELLE.
Nature
Les Raspes constituent une fraction sud du Massif central et se situent dans le sud du département de l'Aveyron 20 Km en aval de la ville de Millau et à 10 Km de la ville de Saint Affrique et jusqu'à la limite entre les départements du Tarn et de l'Aveyron. Plus précisément entre le mas de la nauq sur la commune du Viala-du-Tarn et le bourg de Broquiès. Oubliées les falaises calcaires des Gorges du Tarn , à partir de Saint-Rome-de-Tarn , l'environnement de la rivière change. On pénètre dans les Raspes. Les Raspes sont des défilés encaissés et sauvages aux parois escarpées, couvertes de genets et de châtaigniers, où serpente le Tarn. Ils forment la limite sud du Lévézou et la limite nord du pays Saint-Affricain. Ce territoire très abrupt présente une faune et une flore exceptionnelle et est parcouru par une multitude de cascades et de ruisseaux. Un territoire d'une quarantaine de kilomètres, entre Saint-Rome-de-Tarn et Brousse-le-Château qui forme une frontière naturelle, tant géologique que culturelle et historique, entre les Causses et le plateau du Lévezou. Ici le Tarn serpente entre les roches métamorphiques : schiste, granit, que l'eau a façonné au fil du temps pour former des gorges abruptes. Le mot "Raspes" vient d'ailleurs de l'occitan raspar qui signifie "râper", comme l'action de la rivière sur les roches. Le changement est visible aussi au niveau de la végétation : châtaigniers (qui ont longtemps constitué la ressource principale) et genêts peuplent les coteaux. Près des villages, les cultures en terrasses, notamment la vigne, étaient légion. Certaines parcelles subsistent. A Broquiès, au domaine de Bourjac, un viticulteur produit ainsi un VDQS Côtes de Millau. Ce pays des Raspes est aussi chargé d'histoire. Châteaux, édifices religieux et sites patrimoniaux foisonnent. A Brousse, le château offre une immersion à l'époque médiévale. A Ayssènes, le promontoire du Roc Saint-Jean,. . .
AVEYRON, LA RIVIERE ET LA VALLEE
Nature
La rivière Aveyron prend sa source sur les hauteurs du causse de Sévérac-le-Château , presque en Lozère. Elle se dirige ensuite tout droit sur le sud-ouest jusqu'à sa confluence avec le Tarn, 290 kilomètres plus en aval, pas très loin de Montauban. Suivre sa vallée, en passant par Laissac, Rodez , Belcastel et Villefranche-de-Rouergue , c'est entrer dans l'histoire d'une rivière caractéristique du sud du Massif central qui roule ses hautes eaux en hiver et s'assèche en été. En amont, l'Aveyron traverse des contrées très agricoles avant de devenir plus sauvage une fois Rodez passé. Plus loin, une fois le Tarn-et-Garonne rejoint, l'Aveyron fut rendu navigable jusqu'à Montricoux en 1747 pour l'exploitation de la forêt de Grésigne qui trouvait ainsi son débouché jusqu'à la Garonne. En revanche, le projet totalement fou qui visait à rendre l'Aveyron navigable jusqu'à Villefranche-de-Rouergue , voire Rodez , n'a jamais vu le jour. Dans l'ouvrage illustré qu'il a consacré à la vallée (aux éditions Loubatières), Michel Lombard explique combien l'Aveyron constitue un témoin de l'histoire du Rouergue à travers ses diverses étapes : traces de la préhistoire à Gaillac ou à Roquemissou (près de Gages), les occupations successives (celte, romaine, croisades, guerre de Cent Ans…), développement agricole et industriel (dans le secteur de Bertholène et la faille de Villefranche-de-Rouergue).
Sévérac-le-Château, tête de réseau :
À plus de 800 m d'altitude, Sévérac-le-Château veille en sentinelle, à la fois sur les sources de l'Aveyron et sur l'autoroute A 75 qui s'est frayée un chemin à l'est. Et le bourg lui-même est surveillé par sa forteresse médiévale d'où dégringolent les calades bordées de maisons du XVe et XVIe siècles. Dans une histoire plus récente, Sévérac-le-Château accueillait des corridas, dans une arène que l'on construisait tous les ans pour. . .
LE PARC ANIMALIER DE LA VALLEE DES DAIMS
Nature
C'est au cœur de la châtaigneraie, qu'évolue depuis 1989 une curieuse vallée, celle des Daims. Arrivée fulgurante en février 1989, avec au départ 35 femelles introduites sur une surface de 35 hectares. Il faudra attendre 1992 pour que le parc soit ouvert aux visiteurs. En 1996, le petit train fait son entrée à la Vallée. Il devient un amusement pour les petits comme pour les grands.
LES DAIMS
Il y a maintenant quelques années, deux frères, Georges et Jean Marc CHAMPEIX se sont lancés le défi d'introduire des Daims dans cette belle région qu'est la Châtaigneraie. En février 1989, les premiers animaux sont importés de Hollande. Les 35 premières femelles sont introduites dans un environnement naturel recréé, d'une surface totale de 30 hectares. Ce paysage adapté au développement de l'animal est constitué d'une vaste partie boisée et de prairies. La Vallée des Daims héberge aujourd'hui, plus de 200 bêtes, mâles et femelles confondus, dispersées et divisées en plusieurs hardes. Pour garantir la sécurité des bêtes du parc, et les maintenir à l'intérieur de l'élevage, celui-ci est bordé d'une clôture spéciale cervidés.
Accès
A 18 km d'Entraygues-sur-Truyère , direction Montsalvy (D920), puis D19
Plus d'infos sur le site :
www.daims.net
LES CRISTAUX ET MINERAUX DU KAYMAR
Nature
Les filons du kaymard ont été exploités depuis l'Antiquité pour l'argent, le plomb... Ce n'est qu'au XXème siècle que la fluorine devint industriellement interessante. La morphologie du gisement, et sa paragenèse présente de nombreux points communs avec la mine de fluorine de Valzergues. Le site est actuellement mis en sécurité.
Histoire des mines de l'Aveyron
Les romains ont été les premiers à s'intéresser au minerai de fer du Rouergue. L'exploitation, à une toute autre echelle a repris, lors de la révolution industrielle, sous l'implusion du duc Decazes, pour fournir en minerai les fonderies construites dans ce qui va devenir le bassin sidérurgique de Decazeville. - Concession des mines de fer dans le terrain houiller d'Aubin (1725 hectares). Les carbonates de fer intercalés dans les series du houiller vont etre exploités dans le bassin. La puissance de la couche est de 0.25 à 12 m. Ce minerai mêlé à des schistes bitumineux contient assez de combustible pour être grillé seul, en tas. Apres grillage le minerai titrait en moyenne 42 % de Fe et 1,80 de Mn. Au début du siècle dernier la production était encore de 24 000t, concentrée sur le gisement de Combes. - Mines de fer de Solsac et Mondalazac (968 hectares 63). Production de 150 000 t au début du XXème siècle. A partir de 1911 un transporteur aérien achemine le minerai jusqu'au terminus de la ligne Decazeville-Marcillac. Une partie du minerai sera grillée sur place entre 1887 et 1902. A partir De 1902 un four de grillage de 550 t de capacité prends le relais sur le site de la Forézie. Apres des essais concluant deux autres fours seront construits par la suite. - Concession des mines de fer de Kaymar (299 hectares 97). L'exploitation a cessée en 1903 après l'introduction du minerai pyrénéen (Batère notamment). Le minerai aurait été également exploité à petite échelle en divers endroits : dans les sables éocène en bordure du Lot. . .
LA MAISON DES VAUTOURS DANS LE GORGES DE LA JONTE
Nature
Une visite pour changer d'idée sur les rapaces. Située dans les Gorges de la Jonte , entre Le Rozier et Meyrueis, la Maison des Vautours ne se limite pas à un simple belvédère. N'hésitez pas franchir les portes pour découvrir l'univers de cet animal à la réputation de croque-mort. Les vautours, ces oiseaux impressionnants et habitants traditionnels des causses , ont été réintroduits avec succès depuis 1970. Non sans mal, combattre les idées reçues négatives sur ces rapaces et démontrer leur utilité pour les habitants et l'ensemble de la chaîne écologique n’a pas été une mince affaire.
Historique
Les vautours sont présents dans les gorges de la Jonte depuis environ 70 000 ans. Ils ont servi de nettoyeurs durant toute la période médiévale de ces lieux, débarrassant les paysans des carcasses. Ils ont pacifiquement cohabité avec les hommes jusqu'au milieu du 19e siècle. Ils avaient progressivement disparus au XX° siècle. À la fin des années 1940 les derniers spécimens de vautours fauves disparaissent du ciel français. En 1970 une tentative est menée afin de le réintroduire dans les gorges de la Jonte et depuis 1976 tous les rapaces sont protégés par le Parc National des Cévennes. C'est ainsi que 4 spécimens d'origine espagnole sont relâchés. Un peu plus d'un an plus tard, ils manquent tous à l'appel. Un programme d'élevage en captivité est alors lancé. Une dizaine d'années plus tard la liberté est rendue aux captifs. En 2000, la fréquentation touristique de la Maison des Vautours et des gorges de la Jonte avoisinait les 26 000 personnes par an. Cette aventure a été conjointement menée par la LPO, le parc national des Cévennes. Une visite à la Maison des Vautours vous permettra de découvrir l'histoire locale de ces rapaces mais aussi de vous familiariser avec eux. Le belvédère est situé dans les Gorges de la Jonte , en Lozère, à proximité du village du Truel. Le site est. . .
LES GORGES DE L'AVEYRON
Nature
Les gorges de l'Aveyron, c'est un canyon creusé par l'Aveyron dans les causses aux abords du Quercy. C'est un territoire merveilleux à découvrir par vélo, en canoë-kayak , à pied surtout. Au nord des gorges de l'Aveyron se trouvent les bastides du Rouergue (Najac , Villefranche-de-Rouergue , Villeneuve d'Aveyron , et La Bastide l'Évêque ), ainsi que le village médiéval de Caylus. Dans sa partie sud, les gorges relient trois bastides qui ont gardé leur caractère médiéval: Saint-Antonin-Noble-Val, Penne et Bruniquel. Un écrin de verdure, une nature préservée, des chemins insolites et des vues superbes sont la récompense des promeneurs. Couvrant une vaste zone à l'Ouest de l'Aveyron, cette région est constituée d'une mosaïque de terroirs. Au cour de ces paysages contrastés, vous découvrirez des joyaux d'architecture, tels que les bastides du Rouergue (Najac , Villefranche , Villeneuve , La Bastide l'Évêque ), et de nombreux châteaux. De Villefranche-de-Rouergue , la route s’enfonce dans les gorges de l’Aveyron à la rencontre du célèbre village de Najac , sur lequel veille le château qui fut la clé de tout le pays durant les nombreuses guerres marquant la période 13e-17e siècles. Prototype du château fort médiéval, superbe dans sa conception, son architecte reste inconnu ! Après l’émotion de Najac , qui abrite par ailleurs un musée de l’art de l’allumette ( !), l’itinéraire quitte temporairement les gorges pour les retrouver à St-Vincent. De là , on ne quitte plus la rivière qui nous “ porte ” jusqu’à Bruniquel, via St-Antonin-Noble-Val, moins connu que Najac mais tout aussi beau (architecture civile remarquable).
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