Home
News
Bedrooms
Activities
Exotic garden
The village
interactive map
Region
Rates
Access
Booking
 
In a green park of 3000 m².
A wide variety of plants from all origin.
Calm to take a rest. . .
In the center of Entraygues-sur-Truyère.
Actualités en Aveyron
LA STATION DE SKI DE BRAMELOUP SUR L'AUBRAC
Sports
A quelques kilomètres à vol d'oiseau du Massebiau, point le plus haut du plateau, la station de Brameloup (1100-1400m) vous accueille sur sa vingtaine de pistes et ses superbes itinéraires hors piste, en forêt d'Aubrac. Situé dans la crique des sources Mousseaux, entre forêt domaniale et plateau de l'Aubrac, la station de Brameloup conjugue harmonieusement ski de descente et activités nordiques. Du Suc des Treize Vents à la Croix de la Rode, le site offre le contraste des pentes de sa vaste hêtraie aux immensités désertiques des pâturages immaculés. Brameloup, station de sports d'hiver familiale pour l'apprentissage de la glisse. 12 kms de pistes de ski alpin. Les remontées : 6 téléskis. 45 kms de pistes nordiques. Pendant les vacances, en plus de ces activités, l'équipe de la station aura la joie de vous proposer des soirées ski en nocturne et des descentes au flambeau. Il parait même qu'ils vous prépareront une marmite de vin chaud, à consommer bien sûr avec modération. Au pied des pistes, vous pourrez également louer votre matériel chez un des 3 loueurs ou vous restaurer dans un des restaurants de la station. Pour toutes informations sur la station, l'enneigement, l'accès, les animations... vous pouvez contacter la billetterie au 05 65 44 27 31 ou l'Office de Tourisme de Condom - Saint Chély d'Aubrac au 05 65 44 21 15
Informations complémentaires
A quelques encablures de Brameloup, en empruntant une des plus belles routes du plateau (panorama exceptionnel sur les immensités neigeuses, les Burons sous la neige et le Lac des Moines), vous pouvez vous rendre à AUBRAC où vous attend une autre activité de glisse qui ravira aussi bien le petits que les grands : La Patinoire du Royal Aubrac.
AVEYRON, LA RIVIERE ET LA VALLEE
Nature
La rivière Aveyron prend sa source sur les hauteurs du causse de Sévérac-le-Château , presque en Lozère. Elle se dirige ensuite tout droit sur le sud-ouest jusqu'à sa confluence avec le Tarn, 290 kilomètres plus en aval, pas très loin de Montauban. Suivre sa vallée, en passant par Laissac, Rodez , Belcastel et Villefranche-de-Rouergue , c'est entrer dans l'histoire d'une rivière caractéristique du sud du Massif central qui roule ses hautes eaux en hiver et s'assèche en été. En amont, l'Aveyron traverse des contrées très agricoles avant de devenir plus sauvage une fois Rodez passé. Plus loin, une fois le Tarn-et-Garonne rejoint, l'Aveyron fut rendu navigable jusqu'à Montricoux en 1747 pour l'exploitation de la forêt de Grésigne qui trouvait ainsi son débouché jusqu'à la Garonne. En revanche, le projet totalement fou qui visait à rendre l'Aveyron navigable jusqu'à Villefranche-de-Rouergue , voire Rodez , n'a jamais vu le jour. Dans l'ouvrage illustré qu'il a consacré à la vallée (aux éditions Loubatières), Michel Lombard explique combien l'Aveyron constitue un témoin de l'histoire du Rouergue à travers ses diverses étapes : traces de la préhistoire à Gaillac ou à Roquemissou (près de Gages), les occupations successives (celte, romaine, croisades, guerre de Cent Ans…), développement agricole et industriel (dans le secteur de Bertholène et la faille de Villefranche-de-Rouergue).
Sévérac-le-Château, tête de réseau :
À plus de 800 m d'altitude, Sévérac-le-Château veille en sentinelle, à la fois sur les sources de l'Aveyron et sur l'autoroute A 75 qui s'est frayée un chemin à l'est. Et le bourg lui-même est surveillé par sa forteresse médiévale d'où dégringolent les calades bordées de maisons du XVe et XVIe siècles. Dans une histoire plus récente, Sévérac-le-Château accueillait des corridas, dans une arène que l'on construisait tous les ans pour. . .
VELO RAIL ET TRAIN TOURISTIQUE DU LARZAC
Sports
La voie férrée en toute liberté !
En couple, en famille ou entre amis, ce voyage original vous fera parcourir a vélo rail ou en train une voie ferrée pleine de charmes et de mystères. Tunnels et viaducs ponctuent le périple le long de la magnifique vallée du Cernon. Ce voyage hors du temps ravira les grands et les petits.
Un peu d’histoire…
Inaugurée en 1896, la voie ferrée sur laquelle circule les vélorails et le Train Touristique du Larzac reliait alors Tournemire au Vigan, dans les Cévennes, pour une longueur totale de 61 km. Fermée au trafic en 1954, elle fut alors totalement déferrée et transformée en chemin de terre. Il fallut attendre les années 70 et le projet d’extension du camp militaire du Larzac pour que 17 km de rails soient réinstallés afin de convoyer les marchandises lourdes sur le plateau. En 1981, le président Mitterrand gèle le projet d’extension du camp militaire du Larzac. La voie ferrée est utilisée par le Vélorail depuis 2001 et par le Train Touristique du Larzac en 2008.
Deux formules sont proposées :
Sur le trajet « Papillon » l'aller et le retour ( 8km A/R ) se parcourent en vélo-rail, légère montée à l'aller. Sur la portion « Orchidées », aprés la descente de 8km en vélo-rail, le retour est effectué à bord du train touristique. Plus d'infos sur : www.veloraildularzac.com
DES MILLIERS DE MANIFESTANTS CONTRE LES GAZ DE SCHISTE
Nature
8 000 personnes en Aveyron et 5 000 dans le Lot ont dit hier leur opposition aux gaz de schiste, en dépit du prochain examen d'une proposition de loi interdisant leur exploration et leur exploitation. Des milliers de manifestants opposés à l'exploitation des gaz de schiste ont manifesté hier en Aveyron et dans le Lot. À Cahors, entre 3200 et 5000 manifestants ont battu le pavé, tandis qu'à Nant, sur les contreforts du Larzac , entre 4 000 personnes selon les gendarmes et 8 000 selon José Bové ont dit leur farouche opposition aux gaz de schiste. Ces deux manifestations de grande ampleur dans le Grand Sud concluent un week-end qui a vu se dérouler, partout en France, des rassemblements analogues. Samedi, 4 000 personnes ont ainsi défilé à Donzère (Drôme), dont le maire est le ministre de l'Énergie, Éric Besson ; et de 1500 à 2000 personnes, dont Eva Joly et Corinne Lepage, ont manifesté à Meaux (Seine-et-Marne), fief de Jean-François Copé, secrétaire général de l'UMP. La mobilisation reste donc très vive en dépit de l'inscription à l'ordre du jour de l'Assemblée nationale, le 10 mai prochain, de l'examen de la proposition de loi de l'UMP Christian Jacob, qui vise « à interdire l'exploration et l'exploitation des gaz et huiles de schiste. » Comme hier à Donzère dans la Drôme, la commune dont le ministre de l'Energie Eric Besson est maire, près de quatre mille opposants à l'exploitation des gaz et des huiles de schiste ont manifesté dans une ambiance festive, ce dimanche 17 avril à Nant, sur les contreforts du Larzac. Le gouvernement a reculé sur la question, une proposition de loi visant à l'abrogation des permis d'exploration doit être examinée le 10 mai, oui, mais les militants ne veulent pas relâcher la pression tant que la décision ne sera pas effective. "On demande une abrogation de tous les permis, pris pour le Sud et pour la région parisienne" a répété Anne Lacouture, l'assistante de José. . .
LE SITE DES IGUES DE PY ET DE ROUFFIÉS
Nature
VISITE DU SITE DES IGUES DE PY ET DE ROUFFIÉS
A deux pas du village de Compolibat, on découvre un autre monde auquel le promeneur ne s'attend pas vraiment : les fameuses et presque uniques igues du Py et de Rouffiès. Ces étonnants phénomènes géologiques, ces étranges cheminées naturelles sculptées dans l'argile rouge, par le temps, l'eau et l'érosion, vous transportent dans un autre univers. Comme si l'on se retrouvait projeté, quelque part, au beau milieu d'une contrée sauvage et perdue de l'un des canyons de l'Ouest américain. Une balade aménagée d'une heure trente, avec des panneaux explicatifs, permet de parcourir en toute facilité ce site surprenant qui dévoile toute sa beauté à la lumière rasante de fin d'après-midi. Un ravissement pour les yeux et les amateurs de photos. Le type même de balade que l'on peut faire avec toute la famille. En évitant toutefois les grosses chaleurs. Le site des Igues de Py et de Rouffiés, situé à Compolibat près de Villefranche-de-Rouergue dans l'Aveyron, sont des abîmes naturels creusés dans l'argile rouge et provoqués par effondrement ou érosion. Ils sont plus connus sous le surnom de "chemin des fées". Ce phénomène géologique donne lieu à un sillon, appelé une igue d'environ 20 mètres de profondeur pour 40 à 50 mètres de large. La curiosité de ce travail géologique, unique en Rouergue, réside dans la décoration des parois des igues qui semblent sculptées de la main de l'homme. La formation des Igues provient de l'altération et de l'érosion des roches sédimentaires détritiques (ère tertiaire) et des sols préexistants, par les agents atmosphériques (pluie, vent, neige, gelée). Les roches tendres ont ainsi été, sans peine, attaquées, les roches les plus dures, qui elles ont résité, ont joué le rôle de parapluie ne protégeant les terrains du dessous. L'eau continue incessemment sont travail de sape sur les roches plus friables. . .
DECOUVRIR LA VALLEE DU LOT EN CANOE KAYAK AU DEPART D'ENTRAYGUES
Sports
D'Entraygues-sur-Truyère au Port de Vieillevie ou à Grand-Vabre, la rivière se parcourt en douceur, en canoë ou en kayak. En famille ou avec les copains. Certains jours de l'été, d'Entraygues-sur-Truyère au Port de Vieillevie c'est l'affluence sur la rivière Lot. Une immense flotille multicolore d'embarcations légères, canoës et autres kayaks, qui traduit l'engouement estival pour les loisirs aquatiques. Un plaisir pour le moins rafraîchissant à partager en famille ou entre copains dans un cadre naturel à la fois protégé et enchanteur, aux confins du Cantal et de l'Aveyron, entre Auvergne et Midi-Pyrénées. Chaque année, plusieurs milliers de personnes (15 000 l'an passé pour les deux mois de l'été, 20 000 sur l'ensemble de la saison) parcourent ainsi la rivière, au fil de l'eau. Une descente en douceur, avec quelques passages plus sportifs, comme celui du rapide la Pierre Plate, pour se procurer son petit lot de sensations. La balade s'effectue à la demi-journée (2 à 3 heures de descente) ou à la journée (5 à 6 heures de descente) sur des portions de dix ou vingt kilomètres, d'Entraygues au Port de Vieillevie ou à Grand-Vabre, pour le tracé le plus long. Chemin faisant, il est possible d'accoster sur l'une des plages de la rivière pour pique-niquer, s'adonner aux plaisirs de la baignade ou tout simplement s'accorder quelques instants de repos. Tout au long de la journée, à heure régulière, des navettes permettent de regagner l'une des trois bases de l'Asv'Olt. La saison débute au printemps et se termine généralement fin septembre, mi-octobre, en fonction de la météo. L'été, au plus fort de la fréquentation touristique, une vingtaine d'animateurs et de moniteurs, dont les trois permanents de l'association, assurent la gestion de cette activité, qui fait désormais partie intégrante de la vie de la rivière. Une activité accessible au plus grand nombre. Y compris aux personnes handicapées et. . .
LES RASPES DU TARN : UNE DESTINATION PRESERVEE ET CONFIDENTIELLE.
Nature
Les Raspes constituent une fraction sud du Massif central et se situent dans le sud du département de l'Aveyron 20 Km en aval de la ville de Millau et à 10 Km de la ville de Saint Affrique et jusqu'à la limite entre les départements du Tarn et de l'Aveyron. Plus précisément entre le mas de la nauq sur la commune du Viala-du-Tarn et le bourg de Broquiès. Oubliées les falaises calcaires des Gorges du Tarn , à partir de Saint-Rome-de-Tarn , l'environnement de la rivière change. On pénètre dans les Raspes. Les Raspes sont des défilés encaissés et sauvages aux parois escarpées, couvertes de genets et de châtaigniers, où serpente le Tarn. Ils forment la limite sud du Lévézou et la limite nord du pays Saint-Affricain. Ce territoire très abrupt présente une faune et une flore exceptionnelle et est parcouru par une multitude de cascades et de ruisseaux. Un territoire d'une quarantaine de kilomètres, entre Saint-Rome-de-Tarn et Brousse-le-Château qui forme une frontière naturelle, tant géologique que culturelle et historique, entre les Causses et le plateau du Lévezou. Ici le Tarn serpente entre les roches métamorphiques : schiste, granit, que l'eau a façonné au fil du temps pour former des gorges abruptes. Le mot "Raspes" vient d'ailleurs de l'occitan raspar qui signifie "râper", comme l'action de la rivière sur les roches. Le changement est visible aussi au niveau de la végétation : châtaigniers (qui ont longtemps constitué la ressource principale) et genêts peuplent les coteaux. Près des villages, les cultures en terrasses, notamment la vigne, étaient légion. Certaines parcelles subsistent. A Broquiès, au domaine de Bourjac, un viticulteur produit ainsi un VDQS Côtes de Millau. Ce pays des Raspes est aussi chargé d'histoire. Châteaux, édifices religieux et sites patrimoniaux foisonnent. A Brousse, le château offre une immersion à l'époque médiévale. A Ayssènes, le promontoire du Roc Saint-Jean,. . .
LES CRISTAUX ET MINERAUX DU KAYMAR
Nature
Les filons du kaymard ont été exploités depuis l'Antiquité pour l'argent, le plomb... Ce n'est qu'au XXème siècle que la fluorine devint industriellement interessante. La morphologie du gisement, et sa paragenèse présente de nombreux points communs avec la mine de fluorine de Valzergues. Le site est actuellement mis en sécurité.
Histoire des mines de l'Aveyron
Les romains ont été les premiers à s'intéresser au minerai de fer du Rouergue. L'exploitation, à une toute autre echelle a repris, lors de la révolution industrielle, sous l'implusion du duc Decazes, pour fournir en minerai les fonderies construites dans ce qui va devenir le bassin sidérurgique de Decazeville. - Concession des mines de fer dans le terrain houiller d'Aubin (1725 hectares). Les carbonates de fer intercalés dans les series du houiller vont etre exploités dans le bassin. La puissance de la couche est de 0.25 à 12 m. Ce minerai mêlé à des schistes bitumineux contient assez de combustible pour être grillé seul, en tas. Apres grillage le minerai titrait en moyenne 42 % de Fe et 1,80 de Mn. Au début du siècle dernier la production était encore de 24 000t, concentrée sur le gisement de Combes. - Mines de fer de Solsac et Mondalazac (968 hectares 63). Production de 150 000 t au début du XXème siècle. A partir de 1911 un transporteur aérien achemine le minerai jusqu'au terminus de la ligne Decazeville-Marcillac. Une partie du minerai sera grillée sur place entre 1887 et 1902. A partir De 1902 un four de grillage de 550 t de capacité prends le relais sur le site de la Forézie. Apres des essais concluant deux autres fours seront construits par la suite. - Concession des mines de fer de Kaymar (299 hectares 97). L'exploitation a cessée en 1903 après l'introduction du minerai pyrénéen (Batère notamment). Le minerai aurait été également exploité à petite échelle en divers endroits : dans les sables éocène en bordure du Lot. . .
LE LEVEZOU, FASCINANT RESERVOIR HYDROELECTRIQUE
Nature
Aussi impressionnant que méconnu. Le système hydroélectrique du Lévézou, malgré sa puissance, reste plutôt ignoré de la population aveyronnaise. Et pourtant, avec une capacité productible de 540 000 MW / h, le réseau sud-aveyronnais est véritablement capital pour le Groupe d'exploitation hydraulique (GEH) Tarn-Agout, l'antenne régionale d'EDF qui en assure la gestion. Car 540 000 MW / h, mine de rien, c'est l'équivalent de la consommation d'une ville de 220 000 habitants. C'est aussi 120 000 Tonnes équivalent pétrole (TEP). Le tout fabriqué, à l'inverse des sources d'énergie fossile, sans créer une accélération de l'effet de serre. Et 450 millions de watts sont mobilisables en seulement quelques minutes : plutôt confortable en cas de coups durs. Cela, grâce principalement à la turbine hydraulique de la centrale du Pouget, qui est tout simplement la plus puissante de France. Après 460 mètres de chute dans une conduite forcée, l'eau y permet la création d'une puissance de 285 000 kilowatts, soit le tiers de la puissance d'une centrale nucléaire ou d'une centaine de grandes éoliennes. Frappant. Pour en arriver à de tels résultats, il aura fallu créer le réseau de toutes pièces dans les années 1950. Un réseau qui s'articule autour d'une succession de lacs artificiels reliés les uns aux autres par de gigantesques conduites souterraines. Celle qui associe le barrage de Bage (trois millions de mètres cubes d'eau) à celui de Pareloup (le plus vaste, 170 millions de mètres cubes). Plus en aval, 2,7 km de galerie permettent la liaison entre la retenue d'eau de Pont-de-Salars (15 millions de mètres cubes) et celle de Bage. Entre Pareloup et Villefranche-de-Panat , où est installée la centrale d'Alrance, c'est un boyau de 11 km de béton qui court en quasi ligne droite. Le Pouget n'est que l'ultime maillon de cette chaîne de plans d'eau que le baigneur fréquente l'été sans véritablement se. . .
LES GORGES DE L'AVEYRON
Nature
Les gorges de l'Aveyron, c'est un canyon creusé par l'Aveyron dans les causses aux abords du Quercy. C'est un territoire merveilleux à découvrir par vélo, en canoë-kayak , à pied surtout. Au nord des gorges de l'Aveyron se trouvent les bastides du Rouergue (Najac , Villefranche-de-Rouergue , Villeneuve d'Aveyron , et La Bastide l'Évêque ), ainsi que le village médiéval de Caylus. Dans sa partie sud, les gorges relient trois bastides qui ont gardé leur caractère médiéval: Saint-Antonin-Noble-Val, Penne et Bruniquel. Un écrin de verdure, une nature préservée, des chemins insolites et des vues superbes sont la récompense des promeneurs. Couvrant une vaste zone à l'Ouest de l'Aveyron, cette région est constituée d'une mosaïque de terroirs. Au cour de ces paysages contrastés, vous découvrirez des joyaux d'architecture, tels que les bastides du Rouergue (Najac , Villefranche , Villeneuve , La Bastide l'Évêque ), et de nombreux châteaux. De Villefranche-de-Rouergue , la route s’enfonce dans les gorges de l’Aveyron à la rencontre du célèbre village de Najac , sur lequel veille le château qui fut la clé de tout le pays durant les nombreuses guerres marquant la période 13e-17e siècles. Prototype du château fort médiéval, superbe dans sa conception, son architecte reste inconnu ! Après l’émotion de Najac , qui abrite par ailleurs un musée de l’art de l’allumette ( !), l’itinéraire quitte temporairement les gorges pour les retrouver à St-Vincent. De là , on ne quitte plus la rivière qui nous “ porte ” jusqu’à Bruniquel, via St-Antonin-Noble-Val, moins connu que Najac mais tout aussi beau (architecture civile remarquable).
Haut de page
Hôtel du Lion d'Or - 12140 Entraygues-sur-Truyère
Tel :
+33 565 44 50 01
- Fax : 05 65 44 55 43
E-mail :
hotel.lion.or@free.fr
Copyright © HOTEL-LION-OR.COM 2025