Hotel 3 étoiles Entraygues sur truyere

Un cadre verdoyant dans un parc de 3000 m².

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Une grande variété de plantes de toutes origines.

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Calme et repos assurés dans un cadre de verdure et d'exotisme.

Jardin exotique à Entraygues-sur-Truyère


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Au coeur du village d'Entraygues-sur-Truyère.

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Actualités en Aveyron
DES MILLIERS DE MANIFESTANTS CONTRE LES GAZ DE SCHISTENature
8 000 personnes en Aveyron et 5 000 dans le Lot ont dit hier leur opposition aux gaz de schiste, en dépit du prochain examen d'une proposition de loi interdisant leur exploration et leur exploitation. Des milliers de manifestants opposés à l'exploitation des gaz de schiste ont manifesté hier en Aveyron et dans le Lot. À Cahors, entre 3200 et 5000 manifestants ont battu le pavé, tandis qu'à Nant, sur les contreforts du Larzac , entre 4 000 personnes selon les gendarmes et 8 000 selon José Bové ont dit leur farouche opposition aux gaz de schiste. Ces deux manifestations de grande ampleur dans le Grand Sud concluent un week-end qui a vu se dérouler, partout en France, des rassemblements analogues. Samedi, 4 000 personnes ont ainsi défilé à Donzère (Drôme), dont le maire est le ministre de l'Énergie, Éric Besson ; et de 1500 à 2000 personnes, dont Eva Joly et Corinne Lepage, ont manifesté à Meaux (Seine-et-Marne), fief de Jean-François Copé, secrétaire général de l'UMP. La mobilisation reste donc très vive en dépit de l'inscription à l'ordre du jour de l'Assemblée nationale, le 10 mai prochain, de l'examen de la proposition de loi de l'UMP Christian Jacob, qui vise « à interdire l'exploration et l'exploitation des gaz et huiles de schiste. » Comme hier à Donzère dans la Drôme, la commune dont le ministre de l'Energie Eric Besson est maire, près de quatre mille opposants à l'exploitation des gaz et des huiles de schiste ont manifesté dans une ambiance festive, ce dimanche 17 avril à Nant, sur les contreforts du Larzac. Le gouvernement a reculé sur la question, une proposition de loi visant à l'abrogation des permis d'exploration doit être examinée le 10 mai, oui, mais les militants ne veulent pas relâcher la pression tant que la décision ne sera pas effective. "On demande une abrogation de tous les permis, pris pour le Sud et pour la région parisienne" a répété Anne Lacouture, l'assistante de José. . .
LA FERME DES AUTRUCHESNature
Aux portes de Conques , en direction de Sénergues , on rencontre un élévage bien singulier. Chez Geneviève et Christian Vigouroux , on peut découvrir cet élévage en plein air d'autruches de tous les âges, dans des parcs aménagés de plusieurs hectares. Au fil des saisons; leur comportement se dévoile avec leurs parades amoureuses, leurs danses surprenantes et leur démarche singulière. De la ponte à la maturité, le couple assure toute la chaîne de l'élevage, dans la tradition fermière et cela depuis 1998 ou sont rentrées leurs six premières autruches. Les produits sont valorisés en vente directe. La viande est commercialisée en surgelés et en conserve, c'est une viande tendre, fondante, très facile à cuisiner. «Il ne faut pas la faire trop cuire », conseille Geneviève. L'abattage et la découpe sont réalisés à Villefranche de Rouergue. L'autruche, 2,20 à 2,30 m de hauteur, jusqu'à 150kg pour les reproducteurs, est un animal parfois familier, mais dont il faut se méfier en permanence, l'accès aux parcs ne se fait qu'avec un véhicule. Le troupeau est réparti en plusieurs enclos avec abris : poussins, élevage, engraissement et 5 pour les reproducteurs (un mâle et une ou deux femelles). Du printemps à l'automne, une autruche pond de 40 à 60 œufs qui sont mis en couveuse pendant 42 jours. Un œuf équivaut à 24/30 œufs de poule et pèse de 1,5 à 2kg. À 14/18 mois, les autruches sont abattues et leur viande conditionnée (congélation sous vide -daube, steak, pavé, rôtis-) ou transformée en pâtés et plats cuisinés. La peau d'autruche une fois tannée (tannerie Arnal Rodez ) permet la confection (Vendée et Graulhet) de sacs et autres pièces de maroquinerie. Qu'ils soient nature ou décorés grâce aux talents de Geneviève, les œufs non fécondés (œufs clairs) sont également proposés à la vente. La quasi-totalité des ventes s'effectue sur place. Dans des parcs. . .
CAUSSES ET CEVENNES CLASSES A L'UNESCONature
Le Grand Sud compte un neuvième site classé au patrimoine mondial de l'Unesco. Mais cette fois, le Comité a voulu sauvegarder les pratiques agropastorales au pays des drailles. Les vieilles pierres telles Carcassonne ou les citadelles Vauban, les sites naturels comme Gavarnie, les hauts lieux spirituels comme les Chemins de Saint-Jacques et la cathédrale d'Albi, et maintenant l'agropastoralisme… Hier, le Comité du patrimoine mondial de l'Unesco a annoncé l'inscription des Causses et Cévennes au patrimoine mondial. Le Larzac et les Monts de Lozère rejoignent ainsi le très distingué cercle des plus beaux joyaux reconnus par l'ONU. Les Causses et Cévennes auront fini par l'emporter après une âpre lutte conduite par les départements de l'Ardèche, de l'Aveyron , de l'Hérault, du Gard et de la Lozère, tous réunis au sein de l'Association de Valorisation Espace Causses et Cévennes (AVECC). Recalé une première fois en 2006, puis en 2009, le dossier avait échoué aux portes du classement au patrimoine mondial de l'Humanité. Si le comité reconnaissait bien « la valeur universelle » des Causses et Cévennes, il avait exigé un complément d'information portant sur une meilleure définition du périmètre et des activités agropastorales. Aujourd'hui, l'Unesco dépasse le seul concept du patrimoine bâti ou de patrimoine naturel pour s'attacher à pérenniser le travail des hommes qui ont vécu sur ces terres maigres et inhospitalières. L'agropastoralisme, à travers ses exploitations traditionnelles, a donc une fonction culturelle reconnue, en particulier l'élevage non-intensif des brebis qui donne le Roquefort , son emblème le plus vivant. Frédérique Nègre, directrice du parc naturel régional des Grands Causses , reconnaît que l'Unesco s'est posé une « grande interrogation » : un territoire aussi vaste a-t-il vraiment les moyens de conserver une valeur aussi exceptionnelle ? Les Grands Causses et les Cévennes restent. . .
LES RASPES DU TARN : UNE DESTINATION PRESERVEE ET CONFIDENTIELLE.Nature
Les Raspes constituent une fraction sud du Massif central et se situent dans le sud du département de l'Aveyron 20 Km en aval de la ville de Millau et à 10 Km de la ville de Saint Affrique et jusqu'à la limite entre les départements du Tarn et de l'Aveyron. Plus précisément entre le mas de la nauq sur la commune du Viala-du-Tarn et le bourg de Broquiès. Oubliées les falaises calcaires des Gorges du Tarn , à partir de Saint-Rome-de-Tarn , l'environnement de la rivière change. On pénètre dans les Raspes. Les Raspes sont des défilés encaissés et sauvages aux parois escarpées, couvertes de genets et de châtaigniers, où serpente le Tarn. Ils forment la limite sud du Lévézou et la limite nord du pays Saint-Affricain. Ce territoire très abrupt présente une faune et une flore exceptionnelle et est parcouru par une multitude de cascades et de ruisseaux. Un territoire d'une quarantaine de kilomètres, entre Saint-Rome-de-Tarn et Brousse-le-Château qui forme une frontière naturelle, tant géologique que culturelle et historique, entre les Causses et le plateau du Lévezou. Ici le Tarn serpente entre les roches métamorphiques : schiste, granit, que l'eau a façonné au fil du temps pour former des gorges abruptes. Le mot "Raspes" vient d'ailleurs de l'occitan raspar qui signifie "râper", comme l'action de la rivière sur les roches. Le changement est visible aussi au niveau de la végétation : châtaigniers (qui ont longtemps constitué la ressource principale) et genêts peuplent les coteaux. Près des villages, les cultures en terrasses, notamment la vigne, étaient légion. Certaines parcelles subsistent. A Broquiès, au domaine de Bourjac, un viticulteur produit ainsi un VDQS Côtes de Millau. Ce pays des Raspes est aussi chargé d'histoire. Châteaux, édifices religieux et sites patrimoniaux foisonnent. A Brousse, le château offre une immersion à l'époque médiévale. A Ayssènes, le promontoire du Roc Saint-Jean,. . .
LE LAC DE PARELOUP, PLUS GRAND LAC DE LA REGION MIDI-PYRENEESNature
Le lac de Pareloup, appelé aussi lac de Salles-Curan, est l’un des hauts lieux touristiques, de vacances et de pêche de l’Aveyron. Il se situe entre Rodez et Millau sur le plateau du Lévézou à proximité de la commune de Salles-Curan à 805m d'altitude.. C’est le plus grand lac de la région Midi-Pyrénées et le 5e plus grand lac artificiel de France ! Cette retenue d’eau artificielle fait partie d’un aménagement hydraulique qui alimente une puissante centrale électrique sur le Tarn. Elle s’étend sur une superficie de 1.240 hectares. Le lac de Pareloup offre 100 kilomètres de rivages en pente douce propices à la pêche et à tous les sports nautiques, mais aussi à la baignade. Il possède même des grands fonds et des plages. La côte du lac est très découpée (130 km) et dégage de très nombreuses péninsules et deux îles (au large de la presqu'île du Routaboul). Étant dans une cuvette, le lac présente des côtes peu escarpées dégageant de vastes plages qui font souvent (lorsque le lac n'est pas trop plein) plusieurs dizaines de mètres de large. Construit dans les années 1950, le barrage créé un lac qui a noyé une ancienne cuvette appelée "la cuvette du Vioulou". Beaucoup d'agriculteurs ont perdu des terres, des fermes (Caussanel) et des moulins y furent engloutis. Depuis le début des années 1980, le tourisme s'intensifie et l'été la population peut être triplée : très nombreux campings, résidences secondaires, hôtels, activités nautiques, patrimoine bati et naturel diversifiés ... En 1993, la vidange du lac (la première depuis 1961) a permis de mettre à jour de nombreux vestiges. Le plus connu est le « pont des 15 arches » sur lequel passait la route D993 de Pont-de-Salars à Salles-Curan pour traverser le Vioulou. Ce pont bien que noyé pendant 40 ans était encore intact. La présence de vestiges archéologiques, comme la voie romaine (Caussanel) et. . .
LE CHAOS DE MONTPELLIER LE VIEUXNature
Dès les temps les plus reculés, les rochers de Montpellier-le-Vieux ont servi d'abris naturels aux animaux et l'homme y a trouvé asile. Les GRANDS CAUSSES ou CAUSSES MAJEURS , comme les appelait E.A. MARTEL, dessinent au sud du Massif Central un arc de hauts plateaux calcaires. Ils constituent de vastes étendues tabulaires à la surface relativement peu accidentée, dont l'altitude avoisine 1000 mètres. Dans ces plateaux les rivières, le Tarn , la Jonte et la Dourbie, ont creusé de profonds canyons aux parois abruptes et aux crêtes déchiquetées. Découverte du site C'est seulement en 1883 que M. de Barbeyrac "déniche" le site et en parle à M. de Malafosse, alors président de la Société de Géographie de Toulouse, qui la révèle à cette savante assemblée sous le nom de MONTPELLIER-LE-VIEUX. Edouard-Alfred MARTEL, incontestable savant, un an plus tard, entrepris l'exploration des Gorges du Tarn et des Causses , alors totalement inconnus. Ses découvertes sont toutes célèbres, après les Gorges du Tarn et MONTPELLIER-LE-VIEUX, ce sont la rivière souterraine de Bramabiau, la grotte de Dargilan et enfin, couronnement de sa carrière, l'AVEN ARMAND. Archéologie Au XIXe siècle, des ossements humains d'âge indéterminé ont été découverts à plusieurs reprises, mais aucun élément archéologique ne permettait de conclure à la présence de l'homme préhistorique à Montpellier-le-Vieux. En revanche, nombreuses sont les traces de l'activité des Rutènes et de l'occupation gallo-romaine. Des tessons de céramiques, des anneaux de fer et de bronze, une aiguille et une lampe pourraient provenir d'habitations qui auraient abrité pasteurs et résiniers sur le site lui-même. Une relecture du passé archéologique du site est en cours, elle débouche sur des interprétations inédites. Citons parmi les découvertes, des traces de pastoralisme au néolothique ancien, une intense. . .
LES GORGES DU TARN DE L'AVEYRON A LA LOZERENature
La rivière le Tarn, prend sa source à 1575 mètres d'altitude sur le Mont Lozère en Lozère et va se jeter dans la Garonne. Il traverse la Lozère dans la région des Grands Causses et va former de pittoresques canyons. Il crée ainsi les plus grandes gorges d'Europe. Les gorges du Tarn sont un canyon creusé par le Tarn entre le Causse Méjean et le Causse de Sauveterre. Elles s'étendent de Quézac au Rozier sur 53 km. La rivière alterne passages calmes et rapides entre deux immenses parois rocheuses de 500 m par endroits. A partir du Rozier, 40 kilomètres de paysages, parsemés de grottes, de cirques spectaculaires, de hameaux et châteaux de caractère… se dérouleront sous vos yeux. Pour les marcheurs, Le Rozier est le point de départ de randonnées sur les corniches du Causse Méjean et du Causse Noir, royaumes des vautours. Depuis le village des Vignes, une petite route en lacets vous conduira au Point Sublime, au sommet du cirque des Baumes , d'où l'on domine le Tarn de 400 mètres de haut. En continuant, vous traverserez le Pas de Souci, impressionnant chaos de rochers effondrés dans le lit de la rivière. Après les Détroits, point le plus étranglé des Gorges (belvédère), la route atteint La Malène, village médiéval à partir duquel vous pourrez descendre la rivière en barque. (Pour les sportifs, descente en canoë ou en raft.) Le survol des gorges du tarn A voir également le reportage de Cap Sud Ouest : LES GORGES DU TARN
LE LEVEZOU, FASCINANT RESERVOIR HYDROELECTRIQUENature
Aussi impressionnant que méconnu. Le système hydroélectrique du Lévézou, malgré sa puissance, reste plutôt ignoré de la population aveyronnaise. Et pourtant, avec une capacité productible de 540 000 MW / h, le réseau sud-aveyronnais est véritablement capital pour le Groupe d'exploitation hydraulique (GEH) Tarn-Agout, l'antenne régionale d'EDF qui en assure la gestion. Car 540 000 MW / h, mine de rien, c'est l'équivalent de la consommation d'une ville de 220 000 habitants. C'est aussi 120 000 Tonnes équivalent pétrole (TEP). Le tout fabriqué, à l'inverse des sources d'énergie fossile, sans créer une accélération de l'effet de serre. Et 450 millions de watts sont mobilisables en seulement quelques minutes : plutôt confortable en cas de coups durs. Cela, grâce principalement à la turbine hydraulique de la centrale du Pouget, qui est tout simplement la plus puissante de France. Après 460 mètres de chute dans une conduite forcée, l'eau y permet la création d'une puissance de 285 000 kilowatts, soit le tiers de la puissance d'une centrale nucléaire ou d'une centaine de grandes éoliennes. Frappant. Pour en arriver à de tels résultats, il aura fallu créer le réseau de toutes pièces dans les années 1950. Un réseau qui s'articule autour d'une succession de lacs artificiels reliés les uns aux autres par de gigantesques conduites souterraines. Celle qui associe le barrage de Bage (trois millions de mètres cubes d'eau) à celui de Pareloup (le plus vaste, 170 millions de mètres cubes). Plus en aval, 2,7 km de galerie permettent la liaison entre la retenue d'eau de Pont-de-Salars (15 millions de mètres cubes) et celle de Bage. Entre Pareloup et Villefranche-de-Panat , où est installée la centrale d'Alrance, c'est un boyau de 11 km de béton qui court en quasi ligne droite. Le Pouget n'est que l'ultime maillon de cette chaîne de plans d'eau que le baigneur fréquente l'été sans véritablement se. . .
LE PARC ANIMALIER DE PRADINASNature
Le Parc Animalier de Pradinas permet d'effectuer une agréable promenade dans un parc boisé et valonné d'une vingtaine d'hectares. Plus de 250 animaux aux moeurs et attitudes parfois étonnantes sont présentés : gnous, lamas, cerfs, daims, lynx, antilopes... La visite peut s'effectuer à pied avec un guide afin de voir les animaux de près. «La ferme des enfants» ravira petits et grands. Emerveillez-vous devant la relation unique entre un homme et ses ours, depuis l'âge de 20 ans JP Roman vit auprès des ours bruns, venez partagez sa passion. Venez aussi découvrir lors de nos animations, un spectacle de rapaces en vol libre : aigles, faucons, buses et autres rapaces voleront au dessus de vos têtes. Grâce à des commentaires pédagogiques et ludiques vous apprendrez à mieux connaître ces oiseaux et vous découvrirez le métier de passionné. Un film vidéo de 10 minutes ainsi qu'une exposition de ramures de cervidés et de cornes de bovidés complètent la visite. Dans une partie du parc certains animaux inoffensifs, tels que daims, lamas, biches disposent de 6 hectares. Ce lieu privilégié où les grillages n'existent plus permet observer les animaux librement. HISTOIRE Le parc animalier a pour origine un élevage de daims, de là est née l’idée, en 1989, d’ouvrir un parc animalier. Cette initiative revient à la municipalité et à Monsieur Roques Rogery. La commune décida donc de louer environ 7 ha afin d’y implanter le parc. Bien que lui appartenant, une telle structure était trop lourde à gérer pour une petite commune de 400 habitants. La municipalité a donc décidé en janvier 1997 de confier la gestion du Parc. Mr Roux va développer le parc sur 20 ha et développe la collection de cervidés. Suite à son décès la communauté de commune donne la gérance à deux ancien salariés jusqu’en 2009. Jean-Philippe Roman préparateur animalier détenteur de certificat de capacité de la faune. . .
LE SITE DES IGUES DE PY ET DE ROUFFIÉSNature
VISITE DU SITE DES IGUES DE PY ET DE ROUFFIÉS A deux pas du village de Compolibat, on découvre un autre monde auquel le promeneur ne s'attend pas vraiment : les fameuses et presque uniques igues du Py et de Rouffiès. Ces étonnants phénomènes géologiques, ces étranges cheminées naturelles sculptées dans l'argile rouge, par le temps, l'eau et l'érosion, vous transportent dans un autre univers. Comme si l'on se retrouvait projeté, quelque part, au beau milieu d'une contrée sauvage et perdue de l'un des canyons de l'Ouest américain. Une balade aménagée d'une heure trente, avec des panneaux explicatifs, permet de parcourir en toute facilité ce site surprenant qui dévoile toute sa beauté à la lumière rasante de fin d'après-midi. Un ravissement pour les yeux et les amateurs de photos. Le type même de balade que l'on peut faire avec toute la famille. En évitant toutefois les grosses chaleurs. Le site des Igues de Py et de Rouffiés, situé à Compolibat près de Villefranche-de-Rouergue dans l'Aveyron, sont des abîmes naturels creusés dans l'argile rouge et provoqués par effondrement ou érosion. Ils sont plus connus sous le surnom de "chemin des fées". Ce phénomène géologique donne lieu à un sillon, appelé une igue d'environ 20 mètres de profondeur pour 40 à 50 mètres de large. La curiosité de ce travail géologique, unique en Rouergue, réside dans la décoration des parois des igues qui semblent sculptées de la main de l'homme. La formation des Igues provient de l'altération et de l'érosion des roches sédimentaires détritiques (ère tertiaire) et des sols préexistants, par les agents atmosphériques (pluie, vent, neige, gelée). Les roches tendres ont ainsi été, sans peine, attaquées, les roches les plus dures, qui elles ont résité, ont joué le rôle de parapluie ne protégeant les terrains du dessous. L'eau continue incessemment sont travail de sape sur les roches plus friables. . .
 
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