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Un cadre verdoyant dans un parc de 3000 m².
Une grande variété de plantes de toutes origines.
Calme et repos assurés dans un cadre de verdure et d'exotisme.
Au coeur du village d'Entraygues-sur-Truyère.
Actualités en Aveyron
LA MAISON DES VAUTOURS DANS LE GORGES DE LA JONTE
Nature
Une visite pour changer d'idée sur les rapaces. Située dans les Gorges de la Jonte , entre Le Rozier et Meyrueis, la Maison des Vautours ne se limite pas à un simple belvédère. N'hésitez pas franchir les portes pour découvrir l'univers de cet animal à la réputation de croque-mort. Les vautours, ces oiseaux impressionnants et habitants traditionnels des causses , ont été réintroduits avec succès depuis 1970. Non sans mal, combattre les idées reçues négatives sur ces rapaces et démontrer leur utilité pour les habitants et l'ensemble de la chaîne écologique n’a pas été une mince affaire.
Historique
Les vautours sont présents dans les gorges de la Jonte depuis environ 70 000 ans. Ils ont servi de nettoyeurs durant toute la période médiévale de ces lieux, débarrassant les paysans des carcasses. Ils ont pacifiquement cohabité avec les hommes jusqu'au milieu du 19e siècle. Ils avaient progressivement disparus au XX° siècle. À la fin des années 1940 les derniers spécimens de vautours fauves disparaissent du ciel français. En 1970 une tentative est menée afin de le réintroduire dans les gorges de la Jonte et depuis 1976 tous les rapaces sont protégés par le Parc National des Cévennes. C'est ainsi que 4 spécimens d'origine espagnole sont relâchés. Un peu plus d'un an plus tard, ils manquent tous à l'appel. Un programme d'élevage en captivité est alors lancé. Une dizaine d'années plus tard la liberté est rendue aux captifs. En 2000, la fréquentation touristique de la Maison des Vautours et des gorges de la Jonte avoisinait les 26 000 personnes par an. Cette aventure a été conjointement menée par la LPO, le parc national des Cévennes. Une visite à la Maison des Vautours vous permettra de découvrir l'histoire locale de ces rapaces mais aussi de vous familiariser avec eux. Le belvédère est situé dans les Gorges de la Jonte , en Lozère, à proximité du village du Truel. Le site est. . .
AVEYRON, LA RIVIERE ET LA VALLEE
Nature
La rivière Aveyron prend sa source sur les hauteurs du causse de Sévérac-le-Château , presque en Lozère. Elle se dirige ensuite tout droit sur le sud-ouest jusqu'à sa confluence avec le Tarn, 290 kilomètres plus en aval, pas très loin de Montauban. Suivre sa vallée, en passant par Laissac, Rodez , Belcastel et Villefranche-de-Rouergue , c'est entrer dans l'histoire d'une rivière caractéristique du sud du Massif central qui roule ses hautes eaux en hiver et s'assèche en été. En amont, l'Aveyron traverse des contrées très agricoles avant de devenir plus sauvage une fois Rodez passé. Plus loin, une fois le Tarn-et-Garonne rejoint, l'Aveyron fut rendu navigable jusqu'à Montricoux en 1747 pour l'exploitation de la forêt de Grésigne qui trouvait ainsi son débouché jusqu'à la Garonne. En revanche, le projet totalement fou qui visait à rendre l'Aveyron navigable jusqu'à Villefranche-de-Rouergue , voire Rodez , n'a jamais vu le jour. Dans l'ouvrage illustré qu'il a consacré à la vallée (aux éditions Loubatières), Michel Lombard explique combien l'Aveyron constitue un témoin de l'histoire du Rouergue à travers ses diverses étapes : traces de la préhistoire à Gaillac ou à Roquemissou (près de Gages), les occupations successives (celte, romaine, croisades, guerre de Cent Ans…), développement agricole et industriel (dans le secteur de Bertholène et la faille de Villefranche-de-Rouergue).
Sévérac-le-Château, tête de réseau :
À plus de 800 m d'altitude, Sévérac-le-Château veille en sentinelle, à la fois sur les sources de l'Aveyron et sur l'autoroute A 75 qui s'est frayée un chemin à l'est. Et le bourg lui-même est surveillé par sa forteresse médiévale d'où dégringolent les calades bordées de maisons du XVe et XVIe siècles. Dans une histoire plus récente, Sévérac-le-Château accueillait des corridas, dans une arène que l'on construisait tous les ans pour. . .
LE SITE DES IGUES DE PY ET DE ROUFFIÉS
Nature
VISITE DU SITE DES IGUES DE PY ET DE ROUFFIÉS
A deux pas du village de Compolibat, on découvre un autre monde auquel le promeneur ne s'attend pas vraiment : les fameuses et presque uniques igues du Py et de Rouffiès. Ces étonnants phénomènes géologiques, ces étranges cheminées naturelles sculptées dans l'argile rouge, par le temps, l'eau et l'érosion, vous transportent dans un autre univers. Comme si l'on se retrouvait projeté, quelque part, au beau milieu d'une contrée sauvage et perdue de l'un des canyons de l'Ouest américain. Une balade aménagée d'une heure trente, avec des panneaux explicatifs, permet de parcourir en toute facilité ce site surprenant qui dévoile toute sa beauté à la lumière rasante de fin d'après-midi. Un ravissement pour les yeux et les amateurs de photos. Le type même de balade que l'on peut faire avec toute la famille. En évitant toutefois les grosses chaleurs. Le site des Igues de Py et de Rouffiés, situé à Compolibat près de Villefranche-de-Rouergue dans l'Aveyron, sont des abîmes naturels creusés dans l'argile rouge et provoqués par effondrement ou érosion. Ils sont plus connus sous le surnom de "chemin des fées". Ce phénomène géologique donne lieu à un sillon, appelé une igue d'environ 20 mètres de profondeur pour 40 à 50 mètres de large. La curiosité de ce travail géologique, unique en Rouergue, réside dans la décoration des parois des igues qui semblent sculptées de la main de l'homme. La formation des Igues provient de l'altération et de l'érosion des roches sédimentaires détritiques (ère tertiaire) et des sols préexistants, par les agents atmosphériques (pluie, vent, neige, gelée). Les roches tendres ont ainsi été, sans peine, attaquées, les roches les plus dures, qui elles ont résité, ont joué le rôle de parapluie ne protégeant les terrains du dessous. L'eau continue incessemment sont travail de sape sur les roches plus friables. . .
LES CRISTAUX ET MINERAUX DU KAYMAR
Nature
Les filons du kaymard ont été exploités depuis l'Antiquité pour l'argent, le plomb... Ce n'est qu'au XXème siècle que la fluorine devint industriellement interessante. La morphologie du gisement, et sa paragenèse présente de nombreux points communs avec la mine de fluorine de Valzergues. Le site est actuellement mis en sécurité.
Histoire des mines de l'Aveyron
Les romains ont été les premiers à s'intéresser au minerai de fer du Rouergue. L'exploitation, à une toute autre echelle a repris, lors de la révolution industrielle, sous l'implusion du duc Decazes, pour fournir en minerai les fonderies construites dans ce qui va devenir le bassin sidérurgique de Decazeville. - Concession des mines de fer dans le terrain houiller d'Aubin (1725 hectares). Les carbonates de fer intercalés dans les series du houiller vont etre exploités dans le bassin. La puissance de la couche est de 0.25 à 12 m. Ce minerai mêlé à des schistes bitumineux contient assez de combustible pour être grillé seul, en tas. Apres grillage le minerai titrait en moyenne 42 % de Fe et 1,80 de Mn. Au début du siècle dernier la production était encore de 24 000t, concentrée sur le gisement de Combes. - Mines de fer de Solsac et Mondalazac (968 hectares 63). Production de 150 000 t au début du XXème siècle. A partir de 1911 un transporteur aérien achemine le minerai jusqu'au terminus de la ligne Decazeville-Marcillac. Une partie du minerai sera grillée sur place entre 1887 et 1902. A partir De 1902 un four de grillage de 550 t de capacité prends le relais sur le site de la Forézie. Apres des essais concluant deux autres fours seront construits par la suite. - Concession des mines de fer de Kaymar (299 hectares 97). L'exploitation a cessée en 1903 après l'introduction du minerai pyrénéen (Batère notamment). Le minerai aurait été également exploité à petite échelle en divers endroits : dans les sables éocène en bordure du Lot. . .
LES GORGES DE LA TRUYERE DU CANTAL A L'AVEYRON
Nature
La Truyère , dans son périple vers le sud où elle se jette dans le Lot , a creusé des gorges profondes entre Monts du Cantal et plateau de l'Aubrac , dessinant des paysages grandioses et sauvages, à couper le souffle. La visite de ces extraordinaires gorges sauvages peut s'effectuer en voiture par des routes touristiques très étroites, mais pour profiter pleinement du paysage, il importe de s'approcher des falaises en marchant à pied à travers champs ou par les rares chemins. Creusées dans les plateaux granitiques de la Haute Auvergne, les gorges de la Truyère offrent un environnement d'une infinie richesse, préservé et accueillant... Organiser son itinéraire à partir des cartes routières ; l'aller et le retour pouvant s'effectuer par la rive droite sur le versant de Mur-de-Barrez ou par la rive gauche par Sainte-Geneviève et Montézic. La Truyère se jette ensuite dans la retenue de Couesque , puis de Cambeyrac (où elle est rejointe par le goul et la selves), et fait sa jonction avec le lot dans la ville d'Entraygues sur Truyère. A voir : paysages grandioses, les gorges de la truyère, panoramas sur les hauteurs, points de vue aménagés, barrage de Cambeyrac, barrage de Couesque , barrage de La Barthe, barrage de Sarrans , site du Brézou, grands travaux d'EDF, site de Bénaven, cascade du saut-du-chien , routes touristiques et typiques, villes de Mur-de-Barrez , Sainte-Geneviève, Entraygues sur Truyère , site et château de Valon , villages typiques de la montagne, lac de Saint-Gervais, réservoir de Montézic.
A voir également, ce reportage tourner en 2015 :
LES BARRAGES DE LA TRUYERE
A voir également :
NORD AVEYRON, SUR LE TOIT DU ROUERGUE
LES GORGES DE LA JONTE EN LOZERE
Nature
Moins célèbres et moins longues que les gorges du Tarn , les gorges de la Jonte n'en sont pas moins belles. la Jonte coule au creux d'un profond canyon sur un parcours de 21 kilomètres qui part de Meyrueis pour atteindre le Rozier, là où commencent les gorges du Tarn. La Jonte naît à 1 350 mètres d'altitude, dans le massif de l'Aigoual. Son parcours débute dans une vallée boisée des Cévennes puis se poursuit entre le Causse Méjean, vaste plateau aride, et le pays cévenol, couvert de pâturages et de châtaigniers. A partir de Meyrueis, les eaux vives de la rivière creusent un impressionnant canyon jusqu'au Rozier, entre des falaises abruptes, ponctuées de rochers ruiniformes façonnés par l'érosion. Moins prisées par les touristes, sans doute par manque d'eau, les gorges de la Jonte gardent ainsi une authenticité sauvage. Au fond, tout au fond, se dressent des cheminées de calcaire, aux formes étranges. Elles sont le refuge inaccessibles des vautours. Fauves, moines ou percnoptères ils planent majestueusement au dessus des gorges, leur ballet est un véritable spectacle. Nature préservée, grandes voies et engagement sont les mots qui viennent à l'esprit pour imaginer les gorges de la Jonte. Aux frontières de la Lozère et aux portes de Millau , elles forment un tryptique majeur pour le grimpeur moderne avec ses 2 comparses : gorges du Tarn voisines et de la Dourbie (rendues célèbres par les Roc Trip du Boffi) pour l'escalade sportive et grandes voies pour la Jonte. En voiture, pour bénéficier du meilleur panorama sur les gorges de la Jonte, empruntez la route dans le sens de la descente, partant de Meyrueis. En effet, le canyon devient de plus en plus impressionnant et spectaculaire à mesure que vous approchez le confluent avec le Tarn. Au début du parcours, l'érosion a sculpté sur les corniches calcaires des formes étranges. Deux d'entre-elles sont devenues célèbres : le "Vase de Sèvres" et. . .
LE CHAOS DE MONTPELLIER LE VIEUX
Nature
Dès les temps les plus reculés, les rochers de Montpellier-le-Vieux ont servi d'abris naturels aux animaux et l'homme y a trouvé asile. Les GRANDS CAUSSES ou CAUSSES MAJEURS , comme les appelait E.A. MARTEL, dessinent au sud du Massif Central un arc de hauts plateaux calcaires. Ils constituent de vastes étendues tabulaires à la surface relativement peu accidentée, dont l'altitude avoisine 1000 mètres. Dans ces plateaux les rivières, le Tarn , la Jonte et la Dourbie, ont creusé de profonds canyons aux parois abruptes et aux crêtes déchiquetées.
Découverte du site
C'est seulement en 1883 que M. de Barbeyrac "déniche" le site et en parle à M. de Malafosse, alors président de la Société de Géographie de Toulouse, qui la révèle à cette savante assemblée sous le nom de MONTPELLIER-LE-VIEUX. Edouard-Alfred MARTEL, incontestable savant, un an plus tard, entrepris l'exploration des Gorges du Tarn et des Causses , alors totalement inconnus. Ses découvertes sont toutes célèbres, après les Gorges du Tarn et MONTPELLIER-LE-VIEUX, ce sont la rivière souterraine de Bramabiau, la grotte de Dargilan et enfin, couronnement de sa carrière, l'AVEN ARMAND.
Archéologie
Au XIXe siècle, des ossements humains d'âge indéterminé ont été découverts à plusieurs reprises, mais aucun élément archéologique ne permettait de conclure à la présence de l'homme préhistorique à Montpellier-le-Vieux. En revanche, nombreuses sont les traces de l'activité des Rutènes et de l'occupation gallo-romaine. Des tessons de céramiques, des anneaux de fer et de bronze, une aiguille et une lampe pourraient provenir d'habitations qui auraient abrité pasteurs et résiniers sur le site lui-même. Une relecture du passé archéologique du site est en cours, elle débouche sur des interprétations inédites. Citons parmi les découvertes, des traces de pastoralisme au néolothique ancien, une intense. . .
LES GRANDS CAUSSES
Nature
Grands Causses est une appellation relativement récente pour désigner un ensemble de hauts plateaux calcaires constituant une partie sud du Massif central. Ils s'élèvent entre 700 et 1200 mètres d'altitude. Les Causses et Cévennes font désormais partie du patrimoine mondial de l’Humanité. Le périmètre du classement s'étend sur 3 000 km2 entre Aveyron, Lozère, Gard et Hérault.
Situation
Les Grands Causses sont délimités de la façon suivante :
Au nord par l'Aubrac et la Margeride
A l'est par les Cévennes et le Montpelliérais
Au sud par le Lodévois (Escandorgue)
A l'ouest par le Lévézou et le Saint-Affricain
Sous ensembles
Les Grands Causses sont formés de sept causses majeurs:
Le causse Comtal (Aveyron)
Le causse de Sévérac (Aveyron)
Le causse de Sauveterre (Lozère)
Le causse Méjean (Lozère)
Le causse Noir (Aveyron et Gard)
Le causse Rouge (Aveyron)
Le causse ou plateau du Larzac (Aveyron et Hérault)
et d'une grand nombre de petits causses périphériques (exemples : causse de Mende, causse de Blandas, causse de Changefège, causse-Bégon, etc)
L'histoire des Causses
Il y a 120 millions d'années, la Méditerranée était beaucoup plus vaste qu'aujourd'hui. Elle pénétrait largement à l'intérieur des terres de la France actuelle. La région des Causses était alors un vaste golfe dans lequel vivait une myriade de petits animaux marins. La sédimentation de leurs coquilles, mélangée à la terre et drainée par les rivières depuis les hauteurs environnantes, a formé le calcaire d'origine marine des plateaux caussenards. On dit aujourd'hui "les Causses" au pluriel, car les gorges, profondes entailles, délimitent très nettement plusieurs plateaux. En partant du nord, depuis Mende, dans les gorges du Lot, jusqu'à Millau , à la confluence du Tarn et. . .
FESTIRANDO : LE FESTIVAL DE LA RANDONNEE PLEINE NATURE
Sports
Le Festival de la Randonnée Pleine Nature est organisé chaque année dans le pays Haut Rouergue en Aveyron sur une dizaine de cantons. Du 15 juillet au 15 aout, Festirando vous invite à parcourir le nord Aveyron , à pied, en VTT , en canoë , à cheval , etc, les Causses , les Gorges du Lot , Viadène, le Carladez et le plateau de l’Aubrac. Un programme sur mesure pour la famille, entre amis, s'étalant sur les grands espaces du Haut-Rouergue avec des activités pour tous : randonnée pédestres, équestres , VTT , randonnée découverte de la ferme et produits du terroir, canoë , escalade, trottinette de montagne, canyoning, via ferrata, orientation pêche, géomorphologie, faune, flore... des soirées diaporama... et diverses visites en rappport avec la nature. De magnifiques paysages et chemins par lesquels on se hisse vers des lieux chargés de mystères, de beauté. Vous marcherez sur des sentiers oubliés, parfois hors-pistes pour aller à la rencontre des produits de notre terroir, de curiosités géologiques, de fleurs rares, de l’aigle-botté et autres merveilles. Vous naviguerez sur nos rivières sauvages ou pédalerez à votre niveau sur de belles descentes, sous la voûte d’azur et dans l’air pur. Toutes les randonnées proposent une multitude de thèmes parfois sur un même itinéraire : patrimoine, paysages, ou vues exceptionnelles, sentiers hors balise, flore... avec des accompagnateurs passionnés.
LES LIEUX
Bozouls
Entraygues-sur-Truyère
Espalion
Estaing
Laguiole
Mur de Barrez
St Amans des Cots
St Chély d'Aubrac
Ste Geneviève sur Argence
St Geniez d'Olt
LES ACTIVITES
VTT
Equitation
Canoë
Randonnée pedestre
Escalade
Trottinette. . .
LES RASPES DU TARN : UNE DESTINATION PRESERVEE ET CONFIDENTIELLE.
Nature
Les Raspes constituent une fraction sud du Massif central et se situent dans le sud du département de l'Aveyron 20 Km en aval de la ville de Millau et à 10 Km de la ville de Saint Affrique et jusqu'à la limite entre les départements du Tarn et de l'Aveyron. Plus précisément entre le mas de la nauq sur la commune du Viala-du-Tarn et le bourg de Broquiès. Oubliées les falaises calcaires des Gorges du Tarn , à partir de Saint-Rome-de-Tarn , l'environnement de la rivière change. On pénètre dans les Raspes. Les Raspes sont des défilés encaissés et sauvages aux parois escarpées, couvertes de genets et de châtaigniers, où serpente le Tarn. Ils forment la limite sud du Lévézou et la limite nord du pays Saint-Affricain. Ce territoire très abrupt présente une faune et une flore exceptionnelle et est parcouru par une multitude de cascades et de ruisseaux. Un territoire d'une quarantaine de kilomètres, entre Saint-Rome-de-Tarn et Brousse-le-Château qui forme une frontière naturelle, tant géologique que culturelle et historique, entre les Causses et le plateau du Lévezou. Ici le Tarn serpente entre les roches métamorphiques : schiste, granit, que l'eau a façonné au fil du temps pour former des gorges abruptes. Le mot "Raspes" vient d'ailleurs de l'occitan raspar qui signifie "râper", comme l'action de la rivière sur les roches. Le changement est visible aussi au niveau de la végétation : châtaigniers (qui ont longtemps constitué la ressource principale) et genêts peuplent les coteaux. Près des villages, les cultures en terrasses, notamment la vigne, étaient légion. Certaines parcelles subsistent. A Broquiès, au domaine de Bourjac, un viticulteur produit ainsi un VDQS Côtes de Millau. Ce pays des Raspes est aussi chargé d'histoire. Châteaux, édifices religieux et sites patrimoniaux foisonnent. A Brousse, le château offre une immersion à l'époque médiévale. A Ayssènes, le promontoire du Roc Saint-Jean,. . .
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