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Un cadre verdoyant dans un parc de 3000 m².
Une grande variété de plantes de toutes origines.
Calme et repos assurés dans un cadre de verdure et d'exotisme.
Au coeur du village d'Entraygues-sur-Truyère.
Actualités en Aveyron
LE JARDIN BOTANIQUE D'AUBRAC
Nature
Le Jardin Botanique de l'Aubrac - Espace de découverte dédié aux plantes sauvages de l'Aubrac et aux patrimoines naturel et culturel de l'Aubrac. Réaménagé en 2011 au pied de la Maison de l’Aubrac, le Jardin Botanique de l’Aubrac présente actuellement plus de 650 plantes sauvages du plateau de l’Aubrac. Seul, en famille ou en groupe (scolaires, randonneurs, associations…) nous vous proposons des formules adaptées. Visite couplée "Jardin Botanique et Maison de l'Aubrac" pour découvrir le patrimoine naturel et culturel de l'Aubrac. En intérieur et extérieur, au fil des saisons. Des centaines de plantes sauvages, une tourbière avec des plantes insectivores, une culture expérimentale du Thé d'Aubrac, un talus de présentation des roches, un circuit "plantes protégées", un circuit "plantes toxiques", un programme d'animations complet avec visites, diaporamas, dégustations...
Plus d'infos sur le site :
www.aubrac-jardin.org
GROTTE PREHISTORIQUE DE FOISSAC CLASSEE MONUMENT HISTORIQUE
Nature
La grotte préhistorique de Foissac, à 1,5 km au sud du village du même nom, est située entre Capdenac , Figeac et Rodez sur un plateau calcaire dominant la vallée du Lot. Ce plateau est jalonné par de nombreux vestiges, qui témoignent d'une vie préhistorique intense. La présence de traces de pas, d'animaux, de poteries et de sépultures ont donné lieu à une étude sur place par une équipe scientifique pluridisciplinaire. Les objets les plus importants ont été conservés sur le lieu de leur découverte. De plus dans un souci de pédagogie, un musée contenant des centaines d'objets relatifs à l'occupation de la grotte et ne pouvant être conservés in situ pour des raisons de conservation, à été aménagé à proximité, dans un parc qui présente également des reconstitutions de l'habitat et de l'environnement des hommes de l'âge du cuivre (2700 avant JC).
Présentation de la grotte
Depuis 4,5 milliards d'années, âge approximatif généralement admis pour notre planète, de nombreux bouleversements se sont produits. Des phénomènes géologiques, actuellement bien connus, mais très complexes, expliquent la formation de la grotte. Le creusement d'une cavité doit être considéré comme la dernière phase de la formation du karst, système hydrogéologique impliquant la fracturation et le creusement d' un terrain calcaire. Découverte en 1965 par le SpéléoClub de Capdenac , puis aménagée et ouverte au public en 1973 par la SORES, la grotte de Foissac constitue un remarquable musée naturel souterrain. Tête d'un réseau hydrogéologique actif exploré, à ce jour, sur plus de 7 km, la partie aménagée pour le tourisme est isolée des autres galeries par des éboulis impénétrables. La grotte de Foissac se trouve en bordure du causse du Quercy et la rivière que vous découvrirez pendant la visite retrouve l'air libre après plusieurs kilomètres de cheminement souterrain. . .
LES GORGES DE LA JONTE EN LOZERE
Nature
Moins célèbres et moins longues que les gorges du Tarn , les gorges de la Jonte n'en sont pas moins belles. la Jonte coule au creux d'un profond canyon sur un parcours de 21 kilomètres qui part de Meyrueis pour atteindre le Rozier, là où commencent les gorges du Tarn. La Jonte naît à 1 350 mètres d'altitude, dans le massif de l'Aigoual. Son parcours débute dans une vallée boisée des Cévennes puis se poursuit entre le Causse Méjean, vaste plateau aride, et le pays cévenol, couvert de pâturages et de châtaigniers. A partir de Meyrueis, les eaux vives de la rivière creusent un impressionnant canyon jusqu'au Rozier, entre des falaises abruptes, ponctuées de rochers ruiniformes façonnés par l'érosion. Moins prisées par les touristes, sans doute par manque d'eau, les gorges de la Jonte gardent ainsi une authenticité sauvage. Au fond, tout au fond, se dressent des cheminées de calcaire, aux formes étranges. Elles sont le refuge inaccessibles des vautours. Fauves, moines ou percnoptères ils planent majestueusement au dessus des gorges, leur ballet est un véritable spectacle. Nature préservée, grandes voies et engagement sont les mots qui viennent à l'esprit pour imaginer les gorges de la Jonte. Aux frontières de la Lozère et aux portes de Millau , elles forment un tryptique majeur pour le grimpeur moderne avec ses 2 comparses : gorges du Tarn voisines et de la Dourbie (rendues célèbres par les Roc Trip du Boffi) pour l'escalade sportive et grandes voies pour la Jonte. En voiture, pour bénéficier du meilleur panorama sur les gorges de la Jonte, empruntez la route dans le sens de la descente, partant de Meyrueis. En effet, le canyon devient de plus en plus impressionnant et spectaculaire à mesure que vous approchez le confluent avec le Tarn. Au début du parcours, l'érosion a sculpté sur les corniches calcaires des formes étranges. Deux d'entre-elles sont devenues célèbres : le "Vase de Sèvres" et. . .
LES CRISTAUX ET MINERAUX DU KAYMAR
Nature
Les filons du kaymard ont été exploités depuis l'Antiquité pour l'argent, le plomb... Ce n'est qu'au XXème siècle que la fluorine devint industriellement interessante. La morphologie du gisement, et sa paragenèse présente de nombreux points communs avec la mine de fluorine de Valzergues. Le site est actuellement mis en sécurité.
Histoire des mines de l'Aveyron
Les romains ont été les premiers à s'intéresser au minerai de fer du Rouergue. L'exploitation, à une toute autre echelle a repris, lors de la révolution industrielle, sous l'implusion du duc Decazes, pour fournir en minerai les fonderies construites dans ce qui va devenir le bassin sidérurgique de Decazeville. - Concession des mines de fer dans le terrain houiller d'Aubin (1725 hectares). Les carbonates de fer intercalés dans les series du houiller vont etre exploités dans le bassin. La puissance de la couche est de 0.25 à 12 m. Ce minerai mêlé à des schistes bitumineux contient assez de combustible pour être grillé seul, en tas. Apres grillage le minerai titrait en moyenne 42 % de Fe et 1,80 de Mn. Au début du siècle dernier la production était encore de 24 000t, concentrée sur le gisement de Combes. - Mines de fer de Solsac et Mondalazac (968 hectares 63). Production de 150 000 t au début du XXème siècle. A partir de 1911 un transporteur aérien achemine le minerai jusqu'au terminus de la ligne Decazeville-Marcillac. Une partie du minerai sera grillée sur place entre 1887 et 1902. A partir De 1902 un four de grillage de 550 t de capacité prends le relais sur le site de la Forézie. Apres des essais concluant deux autres fours seront construits par la suite. - Concession des mines de fer de Kaymar (299 hectares 97). L'exploitation a cessée en 1903 après l'introduction du minerai pyrénéen (Batère notamment). Le minerai aurait été également exploité à petite échelle en divers endroits : dans les sables éocène en bordure du Lot. . .
LE LEVEZOU, FASCINANT RESERVOIR HYDROELECTRIQUE
Nature
Aussi impressionnant que méconnu. Le système hydroélectrique du Lévézou, malgré sa puissance, reste plutôt ignoré de la population aveyronnaise. Et pourtant, avec une capacité productible de 540 000 MW / h, le réseau sud-aveyronnais est véritablement capital pour le Groupe d'exploitation hydraulique (GEH) Tarn-Agout, l'antenne régionale d'EDF qui en assure la gestion. Car 540 000 MW / h, mine de rien, c'est l'équivalent de la consommation d'une ville de 220 000 habitants. C'est aussi 120 000 Tonnes équivalent pétrole (TEP). Le tout fabriqué, à l'inverse des sources d'énergie fossile, sans créer une accélération de l'effet de serre. Et 450 millions de watts sont mobilisables en seulement quelques minutes : plutôt confortable en cas de coups durs. Cela, grâce principalement à la turbine hydraulique de la centrale du Pouget, qui est tout simplement la plus puissante de France. Après 460 mètres de chute dans une conduite forcée, l'eau y permet la création d'une puissance de 285 000 kilowatts, soit le tiers de la puissance d'une centrale nucléaire ou d'une centaine de grandes éoliennes. Frappant. Pour en arriver à de tels résultats, il aura fallu créer le réseau de toutes pièces dans les années 1950. Un réseau qui s'articule autour d'une succession de lacs artificiels reliés les uns aux autres par de gigantesques conduites souterraines. Celle qui associe le barrage de Bage (trois millions de mètres cubes d'eau) à celui de Pareloup (le plus vaste, 170 millions de mètres cubes). Plus en aval, 2,7 km de galerie permettent la liaison entre la retenue d'eau de Pont-de-Salars (15 millions de mètres cubes) et celle de Bage. Entre Pareloup et Villefranche-de-Panat , où est installée la centrale d'Alrance, c'est un boyau de 11 km de béton qui court en quasi ligne droite. Le Pouget n'est que l'ultime maillon de cette chaîne de plans d'eau que le baigneur fréquente l'été sans véritablement se. . .
LES RASPES DU TARN : UNE DESTINATION PRESERVEE ET CONFIDENTIELLE.
Nature
Les Raspes constituent une fraction sud du Massif central et se situent dans le sud du département de l'Aveyron 20 Km en aval de la ville de Millau et à 10 Km de la ville de Saint Affrique et jusqu'à la limite entre les départements du Tarn et de l'Aveyron. Plus précisément entre le mas de la nauq sur la commune du Viala-du-Tarn et le bourg de Broquiès. Oubliées les falaises calcaires des Gorges du Tarn , à partir de Saint-Rome-de-Tarn , l'environnement de la rivière change. On pénètre dans les Raspes. Les Raspes sont des défilés encaissés et sauvages aux parois escarpées, couvertes de genets et de châtaigniers, où serpente le Tarn. Ils forment la limite sud du Lévézou et la limite nord du pays Saint-Affricain. Ce territoire très abrupt présente une faune et une flore exceptionnelle et est parcouru par une multitude de cascades et de ruisseaux. Un territoire d'une quarantaine de kilomètres, entre Saint-Rome-de-Tarn et Brousse-le-Château qui forme une frontière naturelle, tant géologique que culturelle et historique, entre les Causses et le plateau du Lévezou. Ici le Tarn serpente entre les roches métamorphiques : schiste, granit, que l'eau a façonné au fil du temps pour former des gorges abruptes. Le mot "Raspes" vient d'ailleurs de l'occitan raspar qui signifie "râper", comme l'action de la rivière sur les roches. Le changement est visible aussi au niveau de la végétation : châtaigniers (qui ont longtemps constitué la ressource principale) et genêts peuplent les coteaux. Près des villages, les cultures en terrasses, notamment la vigne, étaient légion. Certaines parcelles subsistent. A Broquiès, au domaine de Bourjac, un viticulteur produit ainsi un VDQS Côtes de Millau. Ce pays des Raspes est aussi chargé d'histoire. Châteaux, édifices religieux et sites patrimoniaux foisonnent. A Brousse, le château offre une immersion à l'époque médiévale. A Ayssènes, le promontoire du Roc Saint-Jean,. . .
LE CAUSSE DU LARZAC, PAYS TEMPLIER ET HOSPITALIER
Nature
Le causse du Larzac est un haut plateau karstique français du sud du Massif central qui s'étend entre Millau dans l'Aveyron et Lodève dans l'Hérault. L'ensemble (relief, architecture, occupation du sol) est assez original pour avoir incité à la création du Parc naturel régional des Grands Causses et justifié une demande d'inscription au patrimoine mondial de l'UNESCO.
Géographie
Le Larzac est le plus vaste et le plus méridional de tous les causses. Il matérialise une fraction Sud du Massif central et se situe principalement dans le département de l'Aveyron. Son altitude est comprise entre 600 mètres et 900 mètres environ. Ses limites naturelles sont souvent nettes et sont représentées par des cours d'eau qui contribuent à son érosion. Il s'étend au Nord-Est bordé par la rivière Dourbie qui le sépare du causse Noir, puis est, au Nord-Ouest, bordé par la rivière Tarn qui le sépare du Causse Rouge. À l'ouest, il atteint la dépression de Roquefort.
Géologie
Le Larzac est un vaste plateau de calcaire datant de l'ère jurassique approximativement nivelé par l'érosion et séparé des autres causses par des rivières coulant au fond de gorges et de vallées profondes. Les sols sont en général très superficiels et secs mais on y rencontre des dolines qui sont des dépressions concentrant le résultat de l'érosion donc avec des sols profonds, rouges et décarbonatés. Les roches sont constituées de calcaires : carbonate de calcium (CaCO3) ou de dolomie : carbonate double de calcium et magnésium (CaMg(CO3)2). Le second est moins soluble que le premier et se désengraine plus qu'il ne se solubilise, donnant des reliefs irréguliers et en particulier des tourelles. Des falaises blanches et massives appartenant aux étages géologiques bajocien, bathonien ou à la superposition des deux amorcent la descente vers les frontières de ce causse. Sous le causse, comme dans les autres régions karstiques,. . .
LE PARC ANIMALIER DE LA VALLEE DES DAIMS
Nature
C'est au cœur de la châtaigneraie, qu'évolue depuis 1989 une curieuse vallée, celle des Daims. Arrivée fulgurante en février 1989, avec au départ 35 femelles introduites sur une surface de 35 hectares. Il faudra attendre 1992 pour que le parc soit ouvert aux visiteurs. En 1996, le petit train fait son entrée à la Vallée. Il devient un amusement pour les petits comme pour les grands.
LES DAIMS
Il y a maintenant quelques années, deux frères, Georges et Jean Marc CHAMPEIX se sont lancés le défi d'introduire des Daims dans cette belle région qu'est la Châtaigneraie. En février 1989, les premiers animaux sont importés de Hollande. Les 35 premières femelles sont introduites dans un environnement naturel recréé, d'une surface totale de 30 hectares. Ce paysage adapté au développement de l'animal est constitué d'une vaste partie boisée et de prairies. La Vallée des Daims héberge aujourd'hui, plus de 200 bêtes, mâles et femelles confondus, dispersées et divisées en plusieurs hardes. Pour garantir la sécurité des bêtes du parc, et les maintenir à l'intérieur de l'élevage, celui-ci est bordé d'une clôture spéciale cervidés.
Accès
A 18 km d'Entraygues-sur-Truyère , direction Montsalvy (D920), puis D19
Plus d'infos sur le site :
www.daims.net
BARRAGE DE SARRANS : LA VIDANGE TOTALE EN MAI 2014
Nature
Avec une vitesse d’abaissement de 10 cm par heure en moyenne, la vidange du lac du barrage de Sarrans - 8e plus grand de France avec 300 millions de m3 - attire déjà une foule de curieux. Des curieux certainement ravis d'apprendre qu'après la fin de la vidange prévue mi-mai 2014, EDF a prévu pas moins de 150 animations pendant la période dite d'à -sec pour que Sarrans et ses alentours deviennent l’un des "spots" de l'été en Aveyron. La vidange du lac barrage de Sarrans a débuté avec l’ouverture de la vanne de fond. Le débit de vidange est de 55 à 60 m3/s ce qui entraînera une baisse du niveau du lac d’environ 10cm/h. D’ailleurs, le niveau a déjà suffisamment baissé pour que l’on puisse déjà voir tous les vestiges aux alentours du Pont de Tréboul. A partir du barrage de Sarrans , ce sont les squelettes des arbres immergés qui l’on peut voir. Voilà une bonne idée de balade pour ce week-end. Dorénavant, et ce jusqu’à la fin des travaux, l’accès au lac est, pour des raisons de sécurité évidentes (risque de glissade, chute, enlisement) strictement interdit par arrêté préfectoral. Toutefois, afin de permettre aux personnes désireuses de s’approcher, 6 manifestations ont lieu au cours de l’été, pendant lesquelles l’accès sera encadré. La récupération des quelques 60 m3 de poissons peuplant le lac est également prévue. En amont du barrage où un filet sera tendu qui permettra de récupérer les poissons en bon état ; puis en aval pour éviter que les poissons ayant transité par la vanne de fond et blessés ne se retrouvent plus bas. Les poissons en bon état sanitaire seront vendus dans les villages limitrophes du lac.
REGARDEZ LE REPORTAGE DE TF1 SUR LA VIDANGE DU BARRAGE DE SARRANS
CAUSSES ET CEVENNES CLASSES A L'UNESCO
Nature
Le Grand Sud compte un neuvième site classé au patrimoine mondial de l'Unesco. Mais cette fois, le Comité a voulu sauvegarder les pratiques agropastorales au pays des drailles. Les vieilles pierres telles Carcassonne ou les citadelles Vauban, les sites naturels comme Gavarnie, les hauts lieux spirituels comme les Chemins de Saint-Jacques et la cathédrale d'Albi, et maintenant l'agropastoralisme… Hier, le Comité du patrimoine mondial de l'Unesco a annoncé l'inscription des Causses et Cévennes au patrimoine mondial. Le Larzac et les Monts de Lozère rejoignent ainsi le très distingué cercle des plus beaux joyaux reconnus par l'ONU. Les Causses et Cévennes auront fini par l'emporter après une âpre lutte conduite par les départements de l'Ardèche, de l'Aveyron , de l'Hérault, du Gard et de la Lozère, tous réunis au sein de l'Association de Valorisation Espace Causses et Cévennes (AVECC). Recalé une première fois en 2006, puis en 2009, le dossier avait échoué aux portes du classement au patrimoine mondial de l'Humanité. Si le comité reconnaissait bien « la valeur universelle » des Causses et Cévennes, il avait exigé un complément d'information portant sur une meilleure définition du périmètre et des activités agropastorales. Aujourd'hui, l'Unesco dépasse le seul concept du patrimoine bâti ou de patrimoine naturel pour s'attacher à pérenniser le travail des hommes qui ont vécu sur ces terres maigres et inhospitalières. L'agropastoralisme, à travers ses exploitations traditionnelles, a donc une fonction culturelle reconnue, en particulier l'élevage non-intensif des brebis qui donne le Roquefort , son emblème le plus vivant. Frédérique Nègre, directrice du parc naturel régional des Grands Causses , reconnaît que l'Unesco s'est posé une « grande interrogation » : un territoire aussi vaste a-t-il vraiment les moyens de conserver une valeur aussi exceptionnelle ? Les Grands Causses et les Cévennes restent. . .
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