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In a green park of 3000 m².
A wide variety of plants from all origin.
Calm to take a rest. . .
In the center of Entraygues-sur-Truyère.
Actualités en Aveyron
LE CAUSSE DU LARZAC, PAYS TEMPLIER ET HOSPITALIER
Nature
Le causse du Larzac est un haut plateau karstique français du sud du Massif central qui s'étend entre Millau dans l'Aveyron et Lodève dans l'Hérault. L'ensemble (relief, architecture, occupation du sol) est assez original pour avoir incité à la création du Parc naturel régional des Grands Causses et justifié une demande d'inscription au patrimoine mondial de l'UNESCO.
Géographie
Le Larzac est le plus vaste et le plus méridional de tous les causses. Il matérialise une fraction Sud du Massif central et se situe principalement dans le département de l'Aveyron. Son altitude est comprise entre 600 mètres et 900 mètres environ. Ses limites naturelles sont souvent nettes et sont représentées par des cours d'eau qui contribuent à son érosion. Il s'étend au Nord-Est bordé par la rivière Dourbie qui le sépare du causse Noir, puis est, au Nord-Ouest, bordé par la rivière Tarn qui le sépare du Causse Rouge. À l'ouest, il atteint la dépression de Roquefort.
Géologie
Le Larzac est un vaste plateau de calcaire datant de l'ère jurassique approximativement nivelé par l'érosion et séparé des autres causses par des rivières coulant au fond de gorges et de vallées profondes. Les sols sont en général très superficiels et secs mais on y rencontre des dolines qui sont des dépressions concentrant le résultat de l'érosion donc avec des sols profonds, rouges et décarbonatés. Les roches sont constituées de calcaires : carbonate de calcium (CaCO3) ou de dolomie : carbonate double de calcium et magnésium (CaMg(CO3)2). Le second est moins soluble que le premier et se désengraine plus qu'il ne se solubilise, donnant des reliefs irréguliers et en particulier des tourelles. Des falaises blanches et massives appartenant aux étages géologiques bajocien, bathonien ou à la superposition des deux amorcent la descente vers les frontières de ce causse. Sous le causse, comme dans les autres régions karstiques,. . .
LE MILAN ROYAL, L'EMBLEME DES GORGES DE LA TRUYERE
Nature
D'une envergure de 145 à 165 cm, le Milan Royal est l'emblème de la Truyère. Ce sont 15 couples qui viennent nicher dans les gorges de la Truyère dans le nord Aveyron. Ce rapace se reconnaît à sa longue queue rousse triangulaire et profondément échancrée, typique de l'espèce, sa tête blanchâtre, son plumage brun-roux et deux taches blanches situées au niveau des poignets, sur la face inférieure, caractéristiques de l'espèce. Le corps du Milan Royal est gracile, les ailes étroites, la queue profondément échancrée. La femelle est un peu plus claire. Le dessus est brun noir roussâtre prolongé par deux longues ailes étroites dont les extrémités digitées sont noires. Vu d'en dessous, la milan royal présente une « main » blanche sous les ailes. La queue rousse et très échancrée permet de grandes qualités dans la navigation et les changements de direction. La poitrine et l'abdomen brun-roux sont finement rayés de noir. La base du bec et le tour des yeux sont jaunes, ainsi que les pattes. Les iris sont ambrés et procurent une vue excellente, près de huit fois supérieure à la moyenne humaine. Le Milan Royal, excellent planeur au vol léger et lent, doté d’une longue queue fourchue, d’un plumage roux vif et d’une large fenêtre blanche ornant le dessous de son aile, est considéré comme l’un des plus beaux rapaces d’Europe. Il voit ses effectifs diminuer et son aire de répartition se réduire inexorablement. Après l’Allemagne, la France accueille la deuxième population mondiale. Le Massif central concentre 40 % de la population nicheuse nationale et près de 30 % des effectifs hivernants français (1 000 à 2 000 individus par hiver dans le Massif Central). Le Milan royal, une des deux seules espèces de rapaces endémiques de l’Europe, est aujourd’hui largement menacé. Sa distribution est extrêmement sporadique comportant des populations souvent très réduites.. . .
LE LEVEZOU, FASCINANT RESERVOIR HYDROELECTRIQUE
Nature
Aussi impressionnant que méconnu. Le système hydroélectrique du Lévézou, malgré sa puissance, reste plutôt ignoré de la population aveyronnaise. Et pourtant, avec une capacité productible de 540 000 MW / h, le réseau sud-aveyronnais est véritablement capital pour le Groupe d'exploitation hydraulique (GEH) Tarn-Agout, l'antenne régionale d'EDF qui en assure la gestion. Car 540 000 MW / h, mine de rien, c'est l'équivalent de la consommation d'une ville de 220 000 habitants. C'est aussi 120 000 Tonnes équivalent pétrole (TEP). Le tout fabriqué, à l'inverse des sources d'énergie fossile, sans créer une accélération de l'effet de serre. Et 450 millions de watts sont mobilisables en seulement quelques minutes : plutôt confortable en cas de coups durs. Cela, grâce principalement à la turbine hydraulique de la centrale du Pouget, qui est tout simplement la plus puissante de France. Après 460 mètres de chute dans une conduite forcée, l'eau y permet la création d'une puissance de 285 000 kilowatts, soit le tiers de la puissance d'une centrale nucléaire ou d'une centaine de grandes éoliennes. Frappant. Pour en arriver à de tels résultats, il aura fallu créer le réseau de toutes pièces dans les années 1950. Un réseau qui s'articule autour d'une succession de lacs artificiels reliés les uns aux autres par de gigantesques conduites souterraines. Celle qui associe le barrage de Bage (trois millions de mètres cubes d'eau) à celui de Pareloup (le plus vaste, 170 millions de mètres cubes). Plus en aval, 2,7 km de galerie permettent la liaison entre la retenue d'eau de Pont-de-Salars (15 millions de mètres cubes) et celle de Bage. Entre Pareloup et Villefranche-de-Panat , où est installée la centrale d'Alrance, c'est un boyau de 11 km de béton qui court en quasi ligne droite. Le Pouget n'est que l'ultime maillon de cette chaîne de plans d'eau que le baigneur fréquente l'été sans véritablement se. . .
LES CRISTAUX ET MINERAUX DU KAYMAR
Nature
Les filons du kaymard ont été exploités depuis l'Antiquité pour l'argent, le plomb... Ce n'est qu'au XXème siècle que la fluorine devint industriellement interessante. La morphologie du gisement, et sa paragenèse présente de nombreux points communs avec la mine de fluorine de Valzergues. Le site est actuellement mis en sécurité.
Histoire des mines de l'Aveyron
Les romains ont été les premiers à s'intéresser au minerai de fer du Rouergue. L'exploitation, à une toute autre echelle a repris, lors de la révolution industrielle, sous l'implusion du duc Decazes, pour fournir en minerai les fonderies construites dans ce qui va devenir le bassin sidérurgique de Decazeville. - Concession des mines de fer dans le terrain houiller d'Aubin (1725 hectares). Les carbonates de fer intercalés dans les series du houiller vont etre exploités dans le bassin. La puissance de la couche est de 0.25 à 12 m. Ce minerai mêlé à des schistes bitumineux contient assez de combustible pour être grillé seul, en tas. Apres grillage le minerai titrait en moyenne 42 % de Fe et 1,80 de Mn. Au début du siècle dernier la production était encore de 24 000t, concentrée sur le gisement de Combes. - Mines de fer de Solsac et Mondalazac (968 hectares 63). Production de 150 000 t au début du XXème siècle. A partir de 1911 un transporteur aérien achemine le minerai jusqu'au terminus de la ligne Decazeville-Marcillac. Une partie du minerai sera grillée sur place entre 1887 et 1902. A partir De 1902 un four de grillage de 550 t de capacité prends le relais sur le site de la Forézie. Apres des essais concluant deux autres fours seront construits par la suite. - Concession des mines de fer de Kaymar (299 hectares 97). L'exploitation a cessée en 1903 après l'introduction du minerai pyrénéen (Batère notamment). Le minerai aurait été également exploité à petite échelle en divers endroits : dans les sables éocène en bordure du Lot. . .
FESTIRANDO : LE FESTIVAL DE LA RANDONNEE PLEINE NATURE
Sports
Le Festival de la Randonnée Pleine Nature est organisé chaque année dans le pays Haut Rouergue en Aveyron sur une dizaine de cantons. Du 15 juillet au 15 aout, Festirando vous invite à parcourir le nord Aveyron , à pied, en VTT , en canoë , à cheval , etc, les Causses , les Gorges du Lot , Viadène, le Carladez et le plateau de l’Aubrac. Un programme sur mesure pour la famille, entre amis, s'étalant sur les grands espaces du Haut-Rouergue avec des activités pour tous : randonnée pédestres, équestres , VTT , randonnée découverte de la ferme et produits du terroir, canoë , escalade, trottinette de montagne, canyoning, via ferrata, orientation pêche, géomorphologie, faune, flore... des soirées diaporama... et diverses visites en rappport avec la nature. De magnifiques paysages et chemins par lesquels on se hisse vers des lieux chargés de mystères, de beauté. Vous marcherez sur des sentiers oubliés, parfois hors-pistes pour aller à la rencontre des produits de notre terroir, de curiosités géologiques, de fleurs rares, de l’aigle-botté et autres merveilles. Vous naviguerez sur nos rivières sauvages ou pédalerez à votre niveau sur de belles descentes, sous la voûte d’azur et dans l’air pur. Toutes les randonnées proposent une multitude de thèmes parfois sur un même itinéraire : patrimoine, paysages, ou vues exceptionnelles, sentiers hors balise, flore... avec des accompagnateurs passionnés.
LES LIEUX
Bozouls
Entraygues-sur-Truyère
Espalion
Estaing
Laguiole
Mur de Barrez
St Amans des Cots
St Chély d'Aubrac
Ste Geneviève sur Argence
St Geniez d'Olt
LES ACTIVITES
VTT
Equitation
Canoë
Randonnée pedestre
Escalade
Trottinette. . .
LA CASCADE DU DEROC SUR LA COMMUNE DE NASBINALS
Nature
La cascade du Déroc est une chute d'eau du département de la Lozère et constitue l'un des sites naturels les plus remarquables de l'Aubrac. Elle est formée par l'exutoire du lac des Salhiens qui se précipite du haut d'une falaise basaltique (correspondant à une ancienne coulée de lave) et retombe 32 m plus bas. La cascade cache une petite grotte dont le plafond est formé de prismes basaltiques (ou orgues basaltiques). La cascade du Déroc domine de 30 mètres la petite vallée glaciaire du ruisseau de Gambaïse : points de vue imprenables sur la région de Marchastel avec, en arrière plan, les vastes étendues de l'Aubrac granitique lozérien. La chute d'eau se visite par un chemin pédestre qui part de la route D52 ou «route des lacs» et qui aboutit au sommet de la falaise. Le site n'étant pas sécurisé, le risque de chute du haut de la falaise est réel et il convient donc d'être particulièrement prudent. On peut cependant accéder au pied de la chute d'eau par un sentier très accidenté qui contourne la falaise par la gauche en arrivant. On accède à la cascade de Déroc depuis un petit chemin qui part de la commune de Nasbinals aux confins du département entre Aveyron et Cantal. Suivant le ruisseau, on arrive au bord du ravin. Là , l'affluent du Bès et les eaux du lac de Salhiens se précipitent depuis le rebord de basalte sous laquelle s'est formée une grotte ... Ne restez pas en haut, contournez par la gauche pour apprécier les 32 mètres de chutes d'eau... Malgré le bruit de l'eau, toujours envoûtant, la beauté du lieu inspire calme et sérénité... Sous la cascade, vous pourrez découvrir un important abri sous roche. Cette grotte découverte par le docteur Prunière devait servir de refuge aux brigands de grands chemins. Son plafond est constitué de gros prismes basaltiques remarquables par leur géométrie... Evidemment, on est un peu mouillé... ce qui en été est bienvenu,. . .
LES RASPES DU TARN : UNE DESTINATION PRESERVEE ET CONFIDENTIELLE.
Nature
Les Raspes constituent une fraction sud du Massif central et se situent dans le sud du département de l'Aveyron 20 Km en aval de la ville de Millau et à 10 Km de la ville de Saint Affrique et jusqu'à la limite entre les départements du Tarn et de l'Aveyron. Plus précisément entre le mas de la nauq sur la commune du Viala-du-Tarn et le bourg de Broquiès. Oubliées les falaises calcaires des Gorges du Tarn , à partir de Saint-Rome-de-Tarn , l'environnement de la rivière change. On pénètre dans les Raspes. Les Raspes sont des défilés encaissés et sauvages aux parois escarpées, couvertes de genets et de châtaigniers, où serpente le Tarn. Ils forment la limite sud du Lévézou et la limite nord du pays Saint-Affricain. Ce territoire très abrupt présente une faune et une flore exceptionnelle et est parcouru par une multitude de cascades et de ruisseaux. Un territoire d'une quarantaine de kilomètres, entre Saint-Rome-de-Tarn et Brousse-le-Château qui forme une frontière naturelle, tant géologique que culturelle et historique, entre les Causses et le plateau du Lévezou. Ici le Tarn serpente entre les roches métamorphiques : schiste, granit, que l'eau a façonné au fil du temps pour former des gorges abruptes. Le mot "Raspes" vient d'ailleurs de l'occitan raspar qui signifie "râper", comme l'action de la rivière sur les roches. Le changement est visible aussi au niveau de la végétation : châtaigniers (qui ont longtemps constitué la ressource principale) et genêts peuplent les coteaux. Près des villages, les cultures en terrasses, notamment la vigne, étaient légion. Certaines parcelles subsistent. A Broquiès, au domaine de Bourjac, un viticulteur produit ainsi un VDQS Côtes de Millau. Ce pays des Raspes est aussi chargé d'histoire. Châteaux, édifices religieux et sites patrimoniaux foisonnent. A Brousse, le château offre une immersion à l'époque médiévale. A Ayssènes, le promontoire du Roc Saint-Jean,. . .
RANDONNEES ET VTT A ENTRAYGUES - NORD AVEYRON
Sports
Entre Entraygues et Golinhac, un espace VTT "gorges du lot et truyère" labellisé par la Fédération Française de Cyclisme, propose 12 circuits balisés, soit 217 km au total. Voici les 5 itinéraires au départ d'Entraygues : 1) " Au départ des sources " 18 km avec 380m de dénivelé : rouge (difficile) 2) " Ruisseau des tours " 13 km avec 220m de dénivelé : rouge (difficile) 3) " Crestes et les 14 virages " 28 km avec 260 de dénivelé : noir (très difficile) 4) " Coteaux et coltades " 20 km avec 510m de dénivelé : noir (très difficile) 5) " Les Banhars déchaînés " 10 km avec 295m de dénivelé : bleu (facile) Possibilité de départ à banhars pour un circuit raccourci de 5 km. Randonnées : le GR de pays " Lo Camin d'Olt " Ce GR qui s'emprunte à pied, à cheval ou à VTT vous fera découvrir le Nord Aveyron. Le circuit 2 boucles balisées est à faire en 5 ou 6 jours et arpente la vallée du lot et les gorges de la truyère. Circuit 1 : 55 km ( 2 ou 3 jours ) Entraygues - Golinhac - Espeyrac - Vieillevie - Le Fel - Entraygues Circuit 2 : 62 km ( 3 jours ) Entraygues - Couesque - Saint Hippolyte - gorges de la truyère (Valon) - Campouriez - Entraygues. A ces circuits s'ajoutent 10 PR supplémentaires au départ des 5 communes du canton. Renseignements : Office du Tourisme d'Entraygues sur Truyère 05 65 44 56 10
AVEYRON, LA RIVIERE ET LA VALLEE
Nature
La rivière Aveyron prend sa source sur les hauteurs du causse de Sévérac-le-Château , presque en Lozère. Elle se dirige ensuite tout droit sur le sud-ouest jusqu'à sa confluence avec le Tarn, 290 kilomètres plus en aval, pas très loin de Montauban. Suivre sa vallée, en passant par Laissac, Rodez , Belcastel et Villefranche-de-Rouergue , c'est entrer dans l'histoire d'une rivière caractéristique du sud du Massif central qui roule ses hautes eaux en hiver et s'assèche en été. En amont, l'Aveyron traverse des contrées très agricoles avant de devenir plus sauvage une fois Rodez passé. Plus loin, une fois le Tarn-et-Garonne rejoint, l'Aveyron fut rendu navigable jusqu'à Montricoux en 1747 pour l'exploitation de la forêt de Grésigne qui trouvait ainsi son débouché jusqu'à la Garonne. En revanche, le projet totalement fou qui visait à rendre l'Aveyron navigable jusqu'à Villefranche-de-Rouergue , voire Rodez , n'a jamais vu le jour. Dans l'ouvrage illustré qu'il a consacré à la vallée (aux éditions Loubatières), Michel Lombard explique combien l'Aveyron constitue un témoin de l'histoire du Rouergue à travers ses diverses étapes : traces de la préhistoire à Gaillac ou à Roquemissou (près de Gages), les occupations successives (celte, romaine, croisades, guerre de Cent Ans…), développement agricole et industriel (dans le secteur de Bertholène et la faille de Villefranche-de-Rouergue).
Sévérac-le-Château, tête de réseau :
À plus de 800 m d'altitude, Sévérac-le-Château veille en sentinelle, à la fois sur les sources de l'Aveyron et sur l'autoroute A 75 qui s'est frayée un chemin à l'est. Et le bourg lui-même est surveillé par sa forteresse médiévale d'où dégringolent les calades bordées de maisons du XVe et XVIe siècles. Dans une histoire plus récente, Sévérac-le-Château accueillait des corridas, dans une arène que l'on construisait tous les ans pour. . .
LA COULEE DE LAVE DE ROQUELAURE
Nature
Improprement nommée, la coulée de lave de Roquelaure est en fait un éboulis basaltique qui s'étend sur la colline dominant le village de Saint-Côme d'Olt et la Vallée du Lot au sud-est d'Espalion , à la limite méridionale du massif de l'Aubrac. Situé 800m avant le château de Roquelaure, cet impressionnant champ de pierres, appelé Clapas de Thubiès va se perdre dans une forêt de hêtres, chênes et châtaigniers. Située sur la commune de Lassouts, à proximité du hameau de Roquelaure, au bord de la D206, ce n'est pas "la coulée de lave de Roquelaure" que l'on peut observer ici mais deux gigantesques amas de blocs de basalte qui déchirent une forêt de hêtres, de chênes et de châtaigniers sur plusieurs kilomètres. Si la coulée de lave en question (qui a bel et bien existé) a disparu depuis longtemps (des traces seraient encore visibles en haut de la colline de Roquelaure), elle reste le phénomène géologique déclencheur qui explique l'aspect du site tel qu'il se présente aujourd'hui. En effet, il y a environ 7,7 millions d'années, un volcan surgit à Roquelaure : il entre en éruption et produit une coulée de lave. En se refroidissant et en se rétractant la lave donne naissance à des orgues basaltiques qui avec le phénomène d'inversion du relief se sont progressivement fragmentés sur des millions d'années pour donner naissance à ce chaos de blocs rocheux. Les sources d'eau (dont l'une d'elles est visible sur le site sous la voûte de pierres) en circulant sous l'éboulis, drainent les éléments les plus fins de l'éboulis et empêche la terre de s'accumuler : la formation d'un sol devient ainsi impossible tout comme le développement de la végétation. Seule la mousse peut recouvrir localement les pierres. La coulée de lave de Roquelaure est située approximativement entre 500 et 800 m d'altitude, en exposition nord. La forme est constituée de larges blocs anguleux agencés en structure. . .
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