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In a green park of 3000 m².
A wide variety of plants from all origin.
Calm to take a rest. . .
In the center of Entraygues-sur-Truyère.
Actualités en Aveyron
FESTIRANDO : LE FESTIVAL DE LA RANDONNEE PLEINE NATURE
Sports
Le Festival de la Randonnée Pleine Nature est organisé chaque année dans le pays Haut Rouergue en Aveyron sur une dizaine de cantons. Du 15 juillet au 15 aout, Festirando vous invite à parcourir le nord Aveyron , à pied, en VTT , en canoë , à cheval , etc, les Causses , les Gorges du Lot , Viadène, le Carladez et le plateau de l’Aubrac. Un programme sur mesure pour la famille, entre amis, s'étalant sur les grands espaces du Haut-Rouergue avec des activités pour tous : randonnée pédestres, équestres , VTT , randonnée découverte de la ferme et produits du terroir, canoë , escalade, trottinette de montagne, canyoning, via ferrata, orientation pêche, géomorphologie, faune, flore... des soirées diaporama... et diverses visites en rappport avec la nature. De magnifiques paysages et chemins par lesquels on se hisse vers des lieux chargés de mystères, de beauté. Vous marcherez sur des sentiers oubliés, parfois hors-pistes pour aller à la rencontre des produits de notre terroir, de curiosités géologiques, de fleurs rares, de l’aigle-botté et autres merveilles. Vous naviguerez sur nos rivières sauvages ou pédalerez à votre niveau sur de belles descentes, sous la voûte d’azur et dans l’air pur. Toutes les randonnées proposent une multitude de thèmes parfois sur un même itinéraire : patrimoine, paysages, ou vues exceptionnelles, sentiers hors balise, flore... avec des accompagnateurs passionnés.
LES LIEUX
Bozouls
Entraygues-sur-Truyère
Espalion
Estaing
Laguiole
Mur de Barrez
St Amans des Cots
St Chély d'Aubrac
Ste Geneviève sur Argence
St Geniez d'Olt
LES ACTIVITES
VTT
Equitation
Canoë
Randonnée pedestre
Escalade
Trottinette. . .
LA CASCADE DU DEROC SUR LA COMMUNE DE NASBINALS
Nature
La cascade du Déroc est une chute d'eau du département de la Lozère et constitue l'un des sites naturels les plus remarquables de l'Aubrac. Elle est formée par l'exutoire du lac des Salhiens qui se précipite du haut d'une falaise basaltique (correspondant à une ancienne coulée de lave) et retombe 32 m plus bas. La cascade cache une petite grotte dont le plafond est formé de prismes basaltiques (ou orgues basaltiques). La cascade du Déroc domine de 30 mètres la petite vallée glaciaire du ruisseau de Gambaïse : points de vue imprenables sur la région de Marchastel avec, en arrière plan, les vastes étendues de l'Aubrac granitique lozérien. La chute d'eau se visite par un chemin pédestre qui part de la route D52 ou «route des lacs» et qui aboutit au sommet de la falaise. Le site n'étant pas sécurisé, le risque de chute du haut de la falaise est réel et il convient donc d'être particulièrement prudent. On peut cependant accéder au pied de la chute d'eau par un sentier très accidenté qui contourne la falaise par la gauche en arrivant. On accède à la cascade de Déroc depuis un petit chemin qui part de la commune de Nasbinals aux confins du département entre Aveyron et Cantal. Suivant le ruisseau, on arrive au bord du ravin. Là , l'affluent du Bès et les eaux du lac de Salhiens se précipitent depuis le rebord de basalte sous laquelle s'est formée une grotte ... Ne restez pas en haut, contournez par la gauche pour apprécier les 32 mètres de chutes d'eau... Malgré le bruit de l'eau, toujours envoûtant, la beauté du lieu inspire calme et sérénité... Sous la cascade, vous pourrez découvrir un important abri sous roche. Cette grotte découverte par le docteur Prunière devait servir de refuge aux brigands de grands chemins. Son plafond est constitué de gros prismes basaltiques remarquables par leur géométrie... Evidemment, on est un peu mouillé... ce qui en été est bienvenu,. . .
LES GRANDS CAUSSES
Nature
Grands Causses est une appellation relativement récente pour désigner un ensemble de hauts plateaux calcaires constituant une partie sud du Massif central. Ils s'élèvent entre 700 et 1200 mètres d'altitude. Les Causses et Cévennes font désormais partie du patrimoine mondial de l’Humanité. Le périmètre du classement s'étend sur 3 000 km2 entre Aveyron, Lozère, Gard et Hérault.
Situation
Les Grands Causses sont délimités de la façon suivante :
Au nord par l'Aubrac et la Margeride
A l'est par les Cévennes et le Montpelliérais
Au sud par le Lodévois (Escandorgue)
A l'ouest par le Lévézou et le Saint-Affricain
Sous ensembles
Les Grands Causses sont formés de sept causses majeurs:
Le causse Comtal (Aveyron)
Le causse de Sévérac (Aveyron)
Le causse de Sauveterre (Lozère)
Le causse Méjean (Lozère)
Le causse Noir (Aveyron et Gard)
Le causse Rouge (Aveyron)
Le causse ou plateau du Larzac (Aveyron et Hérault)
et d'une grand nombre de petits causses périphériques (exemples : causse de Mende, causse de Blandas, causse de Changefège, causse-Bégon, etc)
L'histoire des Causses
Il y a 120 millions d'années, la Méditerranée était beaucoup plus vaste qu'aujourd'hui. Elle pénétrait largement à l'intérieur des terres de la France actuelle. La région des Causses était alors un vaste golfe dans lequel vivait une myriade de petits animaux marins. La sédimentation de leurs coquilles, mélangée à la terre et drainée par les rivières depuis les hauteurs environnantes, a formé le calcaire d'origine marine des plateaux caussenards. On dit aujourd'hui "les Causses" au pluriel, car les gorges, profondes entailles, délimitent très nettement plusieurs plateaux. En partant du nord, depuis Mende, dans les gorges du Lot, jusqu'à Millau , à la confluence du Tarn et. . .
MICROPOLIS OU LA CITE DES INSECTES
Nature
Micropolis est à proximité immédiate de St-Léons, village niché dans un écrin unique avec une vue d'ensemble sur la vallée de la Muse, entre monts et lacs, au cœur du Lévézou, pays d’eau et de bois qui annonce les grands causses du Sud Aveyron. Le projet Micropolis est né à la suite du film Microcosmos produit par Jacques Perrin. S’appuyant sur cet évident intérêt du public à l’égard des insectes et désireux de créer un centre d’écologie appliquée, dédié au célèbre entomologiste Aveyronnais Jean-Henri Fabre, Jean Puech et Jacques Perrin imaginèrent un lieu qui rassemblerait des insectes vivants. L’ouverture de Micropolis a eu lieu en juin 2000. Ce centre a été dédié à Jean-Henri FABRE, né le 21 Décembre 1823 à St Léons. Fabre est celui que Darwin appelle «l'observateur inimitable» par trois fois dans «l'Origine des espèces», oeuvre célèbre qui contredit les théories religieuses sur l'origine de l'Homme.
A la découverte du monde des insectes.
Les insectes ont un statut particulier dans le cadre des rapports qu’entretiennent les humains avec le monde qui les entoure : Ils sont très proches et très présents dans le quotidien de l’homme, et en même temps très mal connus et mystérieux. Par ailleurs, leur extraordinaire diversité, reflétée ne serait-ce que par le nombre incroyable d’espèces connues, est à la fois un atout et un handicap pour celui ayant pour mission de transmettre la part essentielle des savoirs entomologiques. Permettre d’accéder à ce monde et d’en comprendre les principes de base de son fonctionnement, lever un coin du voile des mystères et révéler à tous les éléments fondamentaux de la biologie et de l’écologie des insectes, tout cela figure parmi les objectifs pédagogiques premiers du projet Micropolis. Ces objectifs contribuent ainsi à ce qui peut être considéré comme la véritable mission du centre. . .
LE SITE DES IGUES DE PY ET DE ROUFFIÉS
Nature
VISITE DU SITE DES IGUES DE PY ET DE ROUFFIÉS
A deux pas du village de Compolibat, on découvre un autre monde auquel le promeneur ne s'attend pas vraiment : les fameuses et presque uniques igues du Py et de Rouffiès. Ces étonnants phénomènes géologiques, ces étranges cheminées naturelles sculptées dans l'argile rouge, par le temps, l'eau et l'érosion, vous transportent dans un autre univers. Comme si l'on se retrouvait projeté, quelque part, au beau milieu d'une contrée sauvage et perdue de l'un des canyons de l'Ouest américain. Une balade aménagée d'une heure trente, avec des panneaux explicatifs, permet de parcourir en toute facilité ce site surprenant qui dévoile toute sa beauté à la lumière rasante de fin d'après-midi. Un ravissement pour les yeux et les amateurs de photos. Le type même de balade que l'on peut faire avec toute la famille. En évitant toutefois les grosses chaleurs. Le site des Igues de Py et de Rouffiés, situé à Compolibat près de Villefranche-de-Rouergue dans l'Aveyron, sont des abîmes naturels creusés dans l'argile rouge et provoqués par effondrement ou érosion. Ils sont plus connus sous le surnom de "chemin des fées". Ce phénomène géologique donne lieu à un sillon, appelé une igue d'environ 20 mètres de profondeur pour 40 à 50 mètres de large. La curiosité de ce travail géologique, unique en Rouergue, réside dans la décoration des parois des igues qui semblent sculptées de la main de l'homme. La formation des Igues provient de l'altération et de l'érosion des roches sédimentaires détritiques (ère tertiaire) et des sols préexistants, par les agents atmosphériques (pluie, vent, neige, gelée). Les roches tendres ont ainsi été, sans peine, attaquées, les roches les plus dures, qui elles ont résité, ont joué le rôle de parapluie ne protégeant les terrains du dessous. L'eau continue incessemment sont travail de sape sur les roches plus friables. . .
LE CIRQUE DE TOURNEMIRE
Nature
Pas loin de Roquefort sur Soulzon et au pied du Causse du Larzac , le cirque de Tournemire (de son vrai nom cirque du Prias) se trouve juste derrière le village du même nom. Un chemin, qui devient rapidement un sympatique sentier, permet de grimper sur le plateau, et de profiter de la très belle vue plongeante sur le cirque. En sortant de la Tour du Viala , une petite balade au cœur de la nature s’impose. À gauche de l’espace d’accueil, il faut emprunter une petite route qui s’enfuit vers le nord. Deux cent mètres à pied suffisent pour tomber sur un calvaire. Obliquez vers la gauche et suivez un chemin d’exploitation qui débouche, 1 km plus loin, sur la Grande Passade. Au milieu des buis, genévriers et pâtures, on rejoint la jonction avec le GR qui borde les falaises du cirque de Tournemire. Il faut être attentif au balisage et descendre vers le sud jusqu’à la croix de Gréponac pour apprécier un panorama assez exceptionnel. Après en avoir pris plein les yeux, il faut reprendre le chemin qui conduit au parking. On tombe sur la D 23 qu’on emprunte, direction le Viala , sur 800 m environ. Il faut ensuite prendre un chemin sur la gauche qui mène vers la Croix du Plo et une lavogne encore utilisée par les troupeaux. On peut ensuite rejoindre le village de Tournemire à travers bois ou directement par la D 23. Entouré par les communes de Viala-du-Pas-de-Jaux , Roquefort-sur-Soulzon et Saint-Jean-d'Alcapiès, Tournemire est situé à 15 km au Sud-Ouest de Millau la plus grande ville aux alentours. Situé à 501 mètres d'altitude, La rivière le soulzon est le principal cours d'eau qui traverse la commune de Tournemire. Tournemire est une commune du parc naturel régional des Grands Causses.
AVEYRON, ZOOM SUR LE PLUS GRAND PARC EOLIEN DE FRANCE
Nature
Construit par SIIF-Energies France, le nouveau parc éolien d'une puissance de 48MW en Aveyron est depuis fin 2008 le plus grand parc éolien de France. Les 29 éoliennes, d’une puissance de 3 mégawatts chacune et hautes de 125 m, sont implantées sur les hauteurs du village de Salles-Curan et des communes avoisinantes, situées à l’ouest de Millau , dominant le Lévézou. L’électricité ainsi fournie devrait être particulièrement destinée aux régions proches (l’Aveyron, le littoral méditerranéen voire l’agglomération toulousaine). Vingt-neuf éoliennes de 200 tonnes chacune, 125 mètres de haut, avec des pales de 90 mètres de diamètre . Elles tournent désormais à plein rendement, faisant du site aveyronnais de Salles-Curan la plus grande "ferme" éolienne de France. Contrairement à d'autres sites, elle est implantée sur une seule commune, avec un seul opérateur et un seul point de raccordement au réseau. Cette ferme de 87 mégawatts, lancée fin 2008, produira l'équivalent d'une consommation annuelle de 130 à 140 000 habitants. Soit 10 % des premières tranches nucléaires intallées en France (900 mégawatts) . La production électrique en Midi-Pyrénées vient en gros p our les 2/3 du nucléaire (centrale de Golfech) et pour 1/3 de l'hydraulique (Pyrénées et Massif central). L'éolien occupe désormais la troisième place avec 4 % (200 mégawatts installés). Le délégué régional d'EDF, Christian Poncet, est heureux : « Cette installation va dans le sens du Grenelle de l'Environnement. Elle tient une large place dans l'accroissement de la puissance installée du parc éolien français ». Avec 3 404 MW, la France occupe désormais le 4e rang européen pour cette énergie propre, derrière l'Allemagne, l'Espagne et l'Italie. « L'Aveyron s'est fortement équipé en éolien ces dernières années », rappelle David Augeix. Et le directeur régional de la filiale énergies renouvelables d'EDF ajoute : « Ce. . .
LA COULEE DE LAVE DE ROQUELAURE
Nature
Improprement nommée, la coulée de lave de Roquelaure est en fait un éboulis basaltique qui s'étend sur la colline dominant le village de Saint-Côme d'Olt et la Vallée du Lot au sud-est d'Espalion , à la limite méridionale du massif de l'Aubrac. Situé 800m avant le château de Roquelaure, cet impressionnant champ de pierres, appelé Clapas de Thubiès va se perdre dans une forêt de hêtres, chênes et châtaigniers. Située sur la commune de Lassouts, à proximité du hameau de Roquelaure, au bord de la D206, ce n'est pas "la coulée de lave de Roquelaure" que l'on peut observer ici mais deux gigantesques amas de blocs de basalte qui déchirent une forêt de hêtres, de chênes et de châtaigniers sur plusieurs kilomètres. Si la coulée de lave en question (qui a bel et bien existé) a disparu depuis longtemps (des traces seraient encore visibles en haut de la colline de Roquelaure), elle reste le phénomène géologique déclencheur qui explique l'aspect du site tel qu'il se présente aujourd'hui. En effet, il y a environ 7,7 millions d'années, un volcan surgit à Roquelaure : il entre en éruption et produit une coulée de lave. En se refroidissant et en se rétractant la lave donne naissance à des orgues basaltiques qui avec le phénomène d'inversion du relief se sont progressivement fragmentés sur des millions d'années pour donner naissance à ce chaos de blocs rocheux. Les sources d'eau (dont l'une d'elles est visible sur le site sous la voûte de pierres) en circulant sous l'éboulis, drainent les éléments les plus fins de l'éboulis et empêche la terre de s'accumuler : la formation d'un sol devient ainsi impossible tout comme le développement de la végétation. Seule la mousse peut recouvrir localement les pierres. La coulée de lave de Roquelaure est située approximativement entre 500 et 800 m d'altitude, en exposition nord. La forme est constituée de larges blocs anguleux agencés en structure. . .
LE MILAN ROYAL, L'EMBLEME DES GORGES DE LA TRUYERE
Nature
D'une envergure de 145 à 165 cm, le Milan Royal est l'emblème de la Truyère. Ce sont 15 couples qui viennent nicher dans les gorges de la Truyère dans le nord Aveyron. Ce rapace se reconnaît à sa longue queue rousse triangulaire et profondément échancrée, typique de l'espèce, sa tête blanchâtre, son plumage brun-roux et deux taches blanches situées au niveau des poignets, sur la face inférieure, caractéristiques de l'espèce. Le corps du Milan Royal est gracile, les ailes étroites, la queue profondément échancrée. La femelle est un peu plus claire. Le dessus est brun noir roussâtre prolongé par deux longues ailes étroites dont les extrémités digitées sont noires. Vu d'en dessous, la milan royal présente une « main » blanche sous les ailes. La queue rousse et très échancrée permet de grandes qualités dans la navigation et les changements de direction. La poitrine et l'abdomen brun-roux sont finement rayés de noir. La base du bec et le tour des yeux sont jaunes, ainsi que les pattes. Les iris sont ambrés et procurent une vue excellente, près de huit fois supérieure à la moyenne humaine. Le Milan Royal, excellent planeur au vol léger et lent, doté d’une longue queue fourchue, d’un plumage roux vif et d’une large fenêtre blanche ornant le dessous de son aile, est considéré comme l’un des plus beaux rapaces d’Europe. Il voit ses effectifs diminuer et son aire de répartition se réduire inexorablement. Après l’Allemagne, la France accueille la deuxième population mondiale. Le Massif central concentre 40 % de la population nicheuse nationale et près de 30 % des effectifs hivernants français (1 000 à 2 000 individus par hiver dans le Massif Central). Le Milan royal, une des deux seules espèces de rapaces endémiques de l’Europe, est aujourd’hui largement menacé. Sa distribution est extrêmement sporadique comportant des populations souvent très réduites.. . .
LA GROTTE DE DARGILAN
Nature
La grotte de Dargilan, (surnommée « la Grotte Rose ») est située en Lozère à proximité de Meyrueis sur le Causse Noir. Découverte à la fin de l'automne 1880 par Sahuquet, un jeune berger alors à la poursuite d'un renard, il fallut attendre 1888 pour que le spéléologue Édouard-Alfred Martel en fasse une exploration complète. Elle sera aménagée et ouverte au public dès 1890.
VISITE
La visite de la Grotte de Dargilan captive par ses dimensions impressionnantes et par la variété de ses concrétions aux couleurs naturelles très accentuées. L’entrée d’origine, découverte en 1880 par un berger qui poursuivait un renard, ne laisse pas soupçonner l’ampleur des salles qui attendent le visiteur. Ce dédale souterrain, révélé en 1888 par Edouard Alfred Martel et aménagé la première fois en 1890, fit de Dargilan la première grotte ouverte au public. Dargilan, c’est la diversité D’abord, une salle immense où un effondrement d’une épaisseur de 60 mètres de roches entrelacées laisse stupéfait. Ici et là , sur ce chaos, scintillent de nombreuses stalagmites de toutes tailles en cour d’édification. A la voûte pend une multitude de fistuleuses. Au sud, une salle de dimensions plus réduites mais richement décorée, abrite déjà une belle colonne. La visite se poursuit dans l’ancien lit d’une rivière souterraine avec une succession de salles aussi variées que concrétionnées. Ici, la goutte d’eau dépose patiemment son lot de calcite. Elle se fait sculpteur pour façonner d’impressionnantes colonnes dont le Clocher est la pièce maîtresse. Elle s’écoule le long des parois pour former d’imposantes ou délicates draperies (Oreille d’éléphant, Cascade pétrifiée). Dargilan, la grotte rose du Causse Noir. Une concentration particulière d’oxyde de fer ou de matières organiques dans cette partie du karst donne aux concrétions des teintes très variées. C’est. . .
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