Pays d'Entraygues situé dans le Nord Aveyron - France
 
Balades sportives dans les sentiers et chemins de l'Aveyron
 
Une gastronomie aux saveurs de terroir - Aveyron
 
Entraygues, cité aux nombreux vestiges moyenâgeux - France
 
 
 
 
Actualités en Aveyron
SAINT AFFRIQUE, LA VILLE AUX SEPT COLLINESBeaux villages
Saint-Affrique est sur le tracé de la route D 999 (anciennement RN 99), à 80 km à l'est d' Albi, à 35 km à l'ouest de Millau et à 15 km de Roquefort-sur-Soulzon . La ville est traversée par la Sorgues, qui, avec ses affluents, a découpé 7 « montagnes » : des Anglais, de la Quille, de la Fous, de la Serre, des Cazes, de Nougayrolle et du Rocher de Caylus. Cinq ponts permettent la circulation, par ordre d'ancienneté : le pont Vieux, le pont Neuf, le pont du Centenaire (ou des Frères), le pont Ferroviaire et le pont de la Résistance. Saint-Affrique est le centre administratif, politique et commercial d'un territoire essentiellement rural aux contours flous appelé le Saint-Affricain. À la frontière de zones géologiques très différentes : * au nord-est les Grands Causses plateaux calcaires * au sud-est, le Rougier de Camarès schistes et argiles rouges * au sud-ouest les dernières retombées des monts de Lacaune * au nord-est les contreforts du Lévézou le Saint-Affricain présente des paysages, une flore, une faune et un patrimoine très diversifiés en bordure du Parc naturel régional des Grands Causses. Le climat, avec des contrastes importants entre la rudesse des altitudes et la douceur relative du fond des vallées est plutôt de type méditerranéen. Bien que dépendant administrativement de la région de Toulouse, les échanges et les relations se font surtout avec Montpellier, beaucoup plus proche. ECONOMIE Depuis le Moyen Âge la ville, au centre d'une zone essentiellement agricole, est un important centre commercial du sud Aveyron dont les marchés et foires actuels sont la survivance. Avec son statut d'ex-sous-préfecture c'est également un centre administratif et d'enseignement important. Tout au long du XIXe siècle, l'industrie du textile a dominé l'activité industrielle. Au XXe siècle, l'industrie agroalimentaire avec en particulier le. . .
ST GENIEZ D'OLT EN AVEYRONBeaux villages
Saint-Geniez d’Olt est une petite ville de 2000 habitants permanents dont la population quadruple en saison estivale. Sa situation privilégiée en bordure du Lot et à mi-chemin entre deux régions naturelles recherchées (les Causses au sud et le Plateau de l’Aubrac au nord) en fait un lieu de vie idéal dans un environnement préservé. L’autoroute A75 est à 15 mn, ramenant la côte méditerranéenne à moins deux heures de route. L’aéroport de Rodez est à moins d’1 heure. Le visiteur qui découvre Saint Geniez pour la première fois est frappé par la richesse architecturale de cette ville. L’homogénéité de son bâti se traduit par de grandes places, des églises et chapelles, des monuments classés, de nombreux hôtels particuliers, des vieux quartiers typiques ... Le Cloître Ce bâtiment, du XIV ème, abrite en partie les services administratifs et culturels, dont l'Hôtel de Ville. Vous pourrez y visiter la célèbre salle des Illustres, ornée de tableaux de personnalités qui ont marqué l’histoire de Saint-Geniez: l’Abbé Guillaume Raynal (philosophe du XVIIIè), l’Abbé Bonnaterre (étudia le comportement de l’enfant sauvage ), Pierre Thédenat (mathématicien), le Comte de Frayssinous... La Chapelle des Augustins, dite Eglise des Pénitents, renferme des reliquaires en bois doré, une pietà et surtout un très beau triptyque du XVI ème Siècle. La Chapelle des Pénitents Noirs possède un plafond peint sur bois daté de 1704 représentant les quatre évangélistes, des Ermites et diverses scènes bibliques. Ce bâtiment est le siège de l’Office de Tourisme. De son âge d’or (XVII et XVIII ème), Saint-Geniez a conservé trois hôtels particuliers: l’Hôtel de Ricard, l'Hôtel de Fajole et l’Hôtel du Grand Rivié (demeures privées). Ce dernier, classé Monument Historique, renferme un remarquable escalier intérieur à balustres de pierre. La statue des. . .
ESPEYRAC SUR LE CHEMIN DE ST JACQUES DE COMPOSTELLE Beaux villages
Dernière étape avant Conques sur le chemin de Saint Jacques de Compostelle , Espeyrac reste un village authentique et préservé. Bâtie en amphithéâtre, Espeyrac comporte des rues pentues et des ruelles en escalier, sur un promontoire rocheux, face à la vallée, et possède de nombreuses forêts de châtaigniers. A 12 km d'Entraygues , Espeyrac est nommé dans le cartulaire de Conques dès le XIème siècle. Il devait donc dépendre de cette abbaye. Le village possédait deux châteaux. De celui des seigneurs d'Espeyrac, subsiste un bâtiment avec tourelle. L'église est sur l'emplacement de l'autre. Autrefois, comme maintenant, village étape sur le chemin de St Jacques de Compostelle en direction de Conques. Deux jolies croix de pierre aux entrées d'un village paisible. Site très agréable au creux de la pittoresque vallée de la Daze : rivière à truites qui rejoint le Lot à 5 km. A ses pieds, trois ruisseaux (appelés ici les 3 Dazes) nés sur les plateaux environnants se rejoignent : la Daze de Saint-Félix de Lunel, la Daze des Vernhettes venant de Campuac et la Daze de la Molinarie venant de Sénergues. Ils forment un joli cours d'eau serpentant dans les prés. Plus bas un barrage de micro centrale forme une retenue. La commune plonge enfin vers les rives du Lot mettant à deux pas visites et animations (Entraygues est à 12 km, Conques à 14 km, Estaing à 27 km) Le Bourg est situé au nord-ouest de Rodez (40 km). D'une latitude de 44°38' et d'une altitude de 340 m, entre Entraygues (12 km) et Conques (15 km), il surplombe la belle vallée de la Daze, entre les vallées du Lot et du Dourdou. Il est une halte sur la Départementale 42 et sur le chemin de Saint Jacques de Compostelle par le GR65 venant du Puy-en-Velay. Ses curiosités : Son église et sa place aménagée ; sa terrasse avec son buste de granit que la légende imaginaire attribue à son fondateur, un centurion Gallo-romain "Sparios ou Sparius". . .
VILLENEUVE D'AVEYRON, LA PURE SIMPLICITE D'UNE BASTIDE MEDIEVALEBeaux villages
Villeneuve - avec Najac , Villefranche-de-Rouergue , Sauveterre-de-Rouergue , et La Bastide-l'Évêque - est l'une des cinq bastides (des « villes neuves » médiévales caractérisées par un plan d’urbanisme novateur) du département, toutes situées à l'ouest, près du département voisin du Lot. Ces bastides furent construites aux XIIIe et XIVe siècles pour faire face à la forte croissance démographique dans la région du Sud-Ouest à cette époque (on en construisit 315 dans une période de 150 ans, entre 1229 et 1373). Histoire Villeneuve, en occitan : Vilanòva. Villeneuve doit sa naissance au pèlerinage sur les Lieux Saints, à Jérusalem, que fit le seigneur du lieu, Ozile de Morlhon, soucieux du salut de son âme et de celle de ses ancêtres, qui, dans un acte de donation rédigé à Jérusalem offrit au Patriarche Sophronius de construire, sur ses terres « rougeâtres » de l' Aveyron, près de Mauriac, un monastère fonctionnant sous la règle du Saint-Sépulcre et pour lequel le Patriarche recevrait tous les ans un bezan d’or. C’était en fait la fondation de ce qui allait devenir plus tard Villeneuve. En 1072, les Turcs ayant envahi Jérusalem et Ozile étant mort, son fils Raoul de Morlhon donna le monastère encore en construction à l’abbaye de Moissac, elle-même rattachée à Cluny. Le prieur Déodat, en accord avec l’évêque de Rodez Bérenger achevait la construction du monastère et les deux autorités s’accordèrent pour édifier l’église dédiée au Saint-Sépulcre. L’évêque de Rodez , agissant en seigneur du lieu allait y instituer un marché et créer une sauveté pour favoriser le développement du peuplement. Après les péripéties de la Croisade des Albigeois, Simon de Monfort dépouillait la famille de Morlhon de tous ses droits et donnait Villeneuve à l’évêque de Rodez. En 1231, Raymond VII, comte de Toulouse et de Rouergue, réussit, après échange, à reprendre le contrôle de ce fief,. . .
PEYRELEAU A LA CONFLUENCE DES VALLEES DU TARN ET DE LA JONTEBeaux villages
Petit village situé aux confins du Rouergue et du Gévaudan, Peyreleau, anciennement Petralevi, est construit autour d’un éperon rocheux, lui-même surmonté d’une tour (à l’emplacement de l’antique château aujourd’hui disparu), à la confluence des vallées du Tarn et de la Jonte , séparant la Lozère de l’Aveyron, dans un des lieux les plus touristiques des gorges et des causses. Entouré par les communes de Le Rozier, Saint-André-de-Vézines et Mostuéjouls, Peyreleau est situé à 15 km au Nord-Est de Millau la plus grande ville des environs. Situé à 440 mètres d'altitude, La rivière le tarn , la rivière la jonte , le Ruisseau des Arzioles sont les principaux cours d'eau qui traversent la commune de Peyreleau. Peyreleau est une commune du parc naturel régional des Grands Causses. C’est au terme d’un arrêté de Monsieur le Ministre Secrétaire d’état de l’éducation Nationale, inventaire des sites, en date à Paris du 14 février 1944, que la tour et l’ensemble du vieux village de Peyreleau ont été inscrits sur l’inventaire des sites dont la conservation présente un intérêt général. La chapelle octogonale et une partie des balustres et des arcades de la cour d’honneur du château du Triadou sont protégées au titre des monuments historiques (inscrits ISMH par décret du 12 mai 1944). LIEUX ET MONUMENTS Le château de Triadou Cette demeure fut construite à partir de 1470 et habitée dès juillet 1479 par Pierre II d'Albignac, seigneur de Triadou, et son épouse Flore de Capluc, fille de Guillaume de Capluc et sœur de Louis de Capluc par qui le jeune couple reçut en dotation la moitié des terres dont Peyreleau faisait partie. Le terrain choisi pour la construction du château était la propriété des moines du Rozier, de l'abbaye d'Aniane. Avant de s'installer à Peyreleau, c'est au château de Mostuéjouls que siégeaient. . .
LA BASTIDE L'EVEQUE, UNE DES 6 BASTIDES DU ROUERGUEBeaux villages
La Bastide-L'Evêque possède plusieurs hameaux comme Cabanes ou Le Rieu. On compte quatre paroisses sur cette commune : La Bastide l'Évêque, Teulières, Cabanes et Cadour. Il s'agit là du nom des principaux villages auxquels se rajoutent de très nombreux hameaux plus ou moins gros. La commune est délimitée au Nord par la rivière Aveyron et au Sud par la route départementale 911. Terre de granite et de schiste principalement, la commune se trouve au tout début du Ségala aveyronais lorsque l'on passe la faille de Villefranche-de-Rouergue en direction de Rodez. La commune est essentiellement rurale, on y trouve donc de nombreuses exploitations agricoles dont l'activité varie entre l'élevage bovin viande ou bovin lait mais également ovin. De nombreux artisans résident ou travaillent sur la commune de La Bastide. Un certain nombre d'habitants ont choisi simplement de s'y installer mais exercent leur activité professionnelle dans les agglomérations voisines comme Villefranche-de-Rouergue ou Rieupeyroux. Fondée en 1280 par l'évêque Raymond de Calmont, La Bastide l'Évêque est une des bastides du Rouergue Occidental, avec Najac , Sauveterre-de-Rouergue , Villeneuve d'Aveyron et Villefranche-de-Rouergue . Il s'agirait d'une fondation de l'Évêque de Rodez sur les dépouilles des Morlhon, faidits, pour contrer la création de Vilafranca (Villefranche-de-Rouergue). L'évêque lui octroya une charte en 1280. Lieux et monuments LA BASTIDE L'EVEQUE * L'Église romane du XIIIe-XVe siècle, au clocher porche s’inspirant de celui de Villefranche-de-Rouergue possède un chœur gothique flamboyant avec nef plafonnée et abrite deux retables anciens. Les deux chapelles latérales, celle de la Sainte Vierge et celle de St Dalmas (Evêque de Rodez) existaient au milieu du XVIe siècle. Les deux fenêtres de part et d’autre de l’autel furent ouvertes à la fin du XIXe. . .
COUPIAC, LA VIE QUOTIDIENNE AU MOYEN AGE... DANS LE SUD AVEYRON Beaux villages
Coupiac se trouve dans le sud Aveyron à 50 kilomètres d'Albi et à 65 kms de Millau , de Rodez et à quelques minutes de la vallée du Tarn. Ce petit bourg (population environ 350 habitants) est le chef-lieu de la Communauté de Communes des Sept Vallons, région de production du lait de brebis pour la fabrication du Roquefort dont les caves se trouvent à une cinquantaine de kilomêtres. Les points forts de ce petit coin de la France profonde est sa verdure, sa tranquillité, ses activités touristiques et... Le Château ! Ce village médiéval est dominé par son puissant Château inscrit des XIVe, XVe et XVIe siècles. A ne pas manquer non plus dans ce site dominant la vallée du Mousse, l'église Notre Dame de l'Assomption avec son tympan roman du XIe siècle. La chapelle Notre Dame du St Voile du XIXe siècle avec sa relique du voile de la vierge, le musée rural du bois et le lavoir du Telon, sont aussi des richesses architecturales rurales à découvrir. L'histoire de Coupiac se confond avec celle de son Château (14è siècle), ancienne possession des Comtes d'Armagnac. Gothique flamboyant dans son ensemble, le Château, imposant par ses dimensions, s'élève sur un roc au centre du village. Vous pourrez le découvrir au cours d'une visite guidée, assister aux animations et visiter les expositions du moment. Hébergeant le Syndicat d'Initiatives des 7 Vallons, le Château est le point de départ de la découverte de la commune. guidé par les hôtesses, vous pourrez visiter l'église, connaître l'histoire du tympan, découvrir la chapelle du Saint Voile et sa légende (ancienne chapelle du château décorée par les fresques Néobyzantines de Nicolas Greschny). En flânant au travers des ruelles du bourg, sur la place du centre, en longeant la façade de la maison Marty, le lavoir du Telon vous émerveillera. Plus loin, le Musée de la Marionnette vous émerveilera par son incroyable collection. A quelques 300 mètres. . .
VILLEFRANCHE DE ROUERGUE: ERE DES BASTIDES MEDIEVALESBeaux villages
Bastide fondée en 1252 par Alphonse de Poitiers, frère du roi Saint-Louis (Louis IX) , Villefranche-de-Rouergue est situé au confluent de deux rivières, l'Alzou et l'Aveyron. Elle devient rapidement une importante place d'échanges commerciaux et le restera malgré le grand incendie de 1497 qui détruit une grande partie de la ville, et la grande épidémie de peste de 1628. Une bastide (de l'occitan bastida) est l'une des quelques 350 à 400 villes ou villages neufs fondés dans le sud-ouest de la France entre 1229 et 1373 et répondant à un certain nombre de caractéristiques. F. de Verneilh définit les bastides comme : « des villes neuves bâties tout d'un coup, en une seule fois, sous l'empire d'une seule volonté ». Les bastides sont l'expression d'une volonté médiévale d'aménagement du territoire. Histoire de la création de Villefranche de Rouergue Lorsque les capétiens prirent le pouvoir sur le comté de Toulouse par le mariage d'Alphonse de Poitiers avec l'héritière du comté Jeanne de Toulouse, fille du dernier comte Raymond VII, l'ancienne capitale administrative du Rouergue, Najac , siège de la sénéchaussée de Rouergue, fut jugée trop fidèle à l'ancienne dynastie raymondine. Alphonse de Poitiers décida de créer ex-nihilo une ville nouvelle à quelques kilomètres de là et d'y transferrer le siège de son administration, afin de casser les anciennes allégeances. Il fonda donc en 1252 Villefranche-de-Rouergue, et la dota d'exemptions fiscales pour assurer le succès de l'entreprise, d'où le nom de la ville. Ville nouvelle créée de toute pièce, elle fut dessinée sur un plan quadrillé ou en damier, selon les règles d'urbanisme de la Rome antique. Très caractéristique des bastides, ce plan est très régulier avec des rues se coupant à angles droits convergeant vers la place centrale bordées de couverts, lieu. . .
DECAZEVILLE : ANCIENNE INDUSTRIE EN BASSIN HOUILLERBeaux villages
Pôle industriel dans un département vert, Decazeville est un passage obligé pour tous les passionnés de tourisme industriel. Ville récente d'environ 170 ans, elle a été créée par le Duc Decazes (1788-1860) pour exploiter la houille et mettre en place l'industrie sidérurgique. C'est l'une des premières villes bâties autour et à cause de l'industrie. A l'origine, des marécages se trouvaient sur ces terres. Decazeville connaît de grands jours et est en pleine expansion jusqu'en 1855, date à laquelle le traité de libre échange signé avec l'Angleterre provoque une très longue crise métallurgique nationale. Il faut attendre 1914 pour voir une nette reprise, mais la métallurgie décline peu à peu, après la guerre. Les mines souterraines ont été abandonnées en 1966. La concentration des efforts s'est donc effectuée sur la mine à ciel ouvert, "la découverte" qui est devenue la plus grande exploitation de ce type en France (3,7 km de long, 2,5 km de large, 250 m de profondeur). Aujourd'hui, l'activité est définitivement arrêtée depuis 2001, mais la ville reste très empreinte de son passé minier. Le site de la "Découverte" est en cours de réhabilitation. A voir : - La Découverte : ancienne mine de charbon à ciel ouvert - Musée de Géologie Pierre Vetter - Eglise Notre Dame du XIXe - Chemin de Croix de Gustave Moreau (monument historique) - Monument aux morts d'André Galtier - Mausolée Cabrol
LE FEL: VILLAGE DOMINANT LA VALLEE DU LOTBeaux villages
Ce petit village traditionnel est construit sur une crête étroite dominant la vallée du Lot. Le Fel est un petit village typique et magnifiquement restauré avec ses maisons de schiste ocre et ses toits de Lauzes. Un panorama sublime de la vallée du Lot, au cœur du village pittoresque, entouré de vignes cultivées en terrasse. L'église de Roussy située à 900 m du Fel est édifiée au sommet d'un piton. Elle est dite "des horizons" grâce au beau point de vue qu'elle offre sur la vallée. A voir également la Chapelle de Crestes datée de 1636. Bref Historique de la commune L'actuelle commune du Fel est l'aboutissement de la séparation en 1851 des paroisses de Roussy et de Ginolhac de la commune d'Entraygues , qui a alors donnée naissance à celle d'Enguialès. Ce hameau, de part sa position centrale a été choisi comme chef lieu. En 1946, Ginolhac a finalement été rattaché à la commune d'Entraygues. Le village du Fel, le plus important démographiquement, est alors devenu naturellement le nouveau chef lieu, dont l'appellation n'a officiellement changé qu'en 1996. Du tungstène a été extrait du sous-sol communal durant la décennie 1969-1979, au nord du hameau d'Enguialès, où les traces de cette activité minière vont sans doute encore longtemps marquer le paysage. Le Fel est historiquement et géographiquement lié au siège paroissial, Roussy, distant d'environ 500 mètres seulement. Ils reposent tous deux sur une crête globalement parallèle à la rivière du Lot, Roussy étant au sommet, à l'Est du Fel. Voir aussi notre article : VINS D'ENTRAYGUES ET DU FEL
 
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Hôtel du Lion d'Or - 12140 Entraygues-sur-Truyère
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