Pays d'Entraygues situé dans le Nord Aveyron - France
 
Balades sportives dans les sentiers et chemins de l'Aveyron
 
Une gastronomie aux saveurs de terroir - Aveyron
 
Entraygues, cité aux nombreux vestiges moyenâgeux - France
 
 
 
 
Actualités en Aveyron
CANTOBRE, NID D'AIGLE DANS LA VALLEE DE LA DOURBIEBeaux villages
Le village médiéval de Cantobre dans l'Aveyron est situé dans le Parc National des Grands Causses à 35 Kms au sud de Millau dans la vallée de la Dourbie. Bâti sur sa falaise, il fait parti des plus beaux villages de France. Cantobre, parfaitement restauré dans son ensemble, est perché sur un éperon rocheux qui domine de plus de 100 mètres les rivières de la Dourbie et du Trévézel. Il offre ainsi une vue magnifique sur les deux vallées. Cantobre est au confluent du Gard et de l’Hérault, aussi proche des Cévennes, que des Causses et du Larzac , sites naturels, sauvages et préservés. Une quinzaine d’habitants peuple le village, ainsi les différents commerces et services se trouvent à Nant (5km) Le Parc naturel régional des Grands Causses , créé en 1995, s’étend sur 97 communes, au nord-est de la région Midi-Pyrénées et au sud du département de l’Aveyron. D’une superficie de 327 070 ha, il est un des parcs les plus grands de France. Il regroupe 66 000 habitants. Le Parc naturel régional des Grands Causses par son authenticité et la générosité de sa nature, par ses paysages ouverts aux limites de l’imagination, par ses habitants avenants, vous donne l’irrésistible envie de tout découvrir. Des causses aux prairies du Lévezou , des Rougiers aux contreforts des Cévennes et de l’Aubrac , venez sentir battre le cœur du Parc naturel régional des Grands Causses. Le château de Cantobre était très ancien et apparaît dés 1050 où les frères Galtier prirent le nom de seigneurs de Cantobre. En 1213, c'est Arnaud de Roquefeuil qui reprit les droits sur Cantobre. Ce château s'élevait sur le gros rocher qui domine la Dourbie et le Trévézel. Son enceinte couvrait le rocher principal et d'autres tours étaient construites sur les autres rochers. Tout le village était donc dans l'enceinte intérieur du village. En 1569, il était une place forte huguenote. En. . .
STE EULALIE DE CERNON ET SA COMMANDERIE MEDIEVALE Beaux villages
Contrairement à ses dépendances, Sainte Eulalie n'est pas située sur le plateau du Larzac , mais dans une verdoyante vallée, celle du Cernon. Sainte Eulalie présente deux ensemble encore intacte : l'enceinte des murailles élevée par les hospitaliers au XVème siècle et le château des templiers construit par les hospitaliers (toujours au Xvème) qui a précédé la construction des fortifications de la ville. Les murailles de la ville mesurent entre onze et douze mètres de hauteur tandis que les tours ont elle une hauteur de vingt mètres et sont couronnées de mâchicoulis. Sur la place, à l'emplacement de l'ancien cimetière des templiers se tient la fontaine qui est l'œuvre du commandeur Jean de Bermouy-Villeneuve au milieu du XVIIème siècle. Intégrée au Parc Naturel Régional des Grands Causses , Sainte Eulalie de Cernon se niche sur les contreforts du plateau du Larzac. L’aridité du plateau calcaire fait place à une vallée où cohabitent une flore exceptionnelle et une faune variée. Le site est occupé depuis la Préhistoire, comme en témoignent les vestiges gallo-romains, le site archéologique du Puech ou encore le dolmen des Rafenes. Le village a connu son essor grâce à l'administration des Templiers (1152 - 1307), puis des Hospitaliers jusqu’en 1792. C’est à eux que l’on doit la construction de l’église, de la Commanderie, l’édification des remparts ou encore l’adduction d’eau… En plus de l’architecture du site, ces hommes ont marqué l'économie du village en favorisant l'élevage. Le pastoralisme joue toujours un rôle important avec la production de lait pour Roquefort. On compte pas moins de 6000 brebis pour environ 250 habitants sur 5000 ha. Le village clos de murailles a conservé ses ruelles étroites et de nombreux passages couverts. Sur la place, face à la commanderie, vous pourrez vous rafraîchir autour de la fontaine ombragée érigée au XVIIème siècle et découvrir. . .
LA COUVERTOIRADE, LE ROYAUME DES TEMPLIERS Beaux villages
La Couvertoirade se situe dans le sud du département de l'Aveyron est classé parmi les « Plus beaux villages de France » que compte l'Aveyron. A une altitude de 800 mètres, cette commune de 6000 hectares, elle est peuplée de 173 habitants répartis sur le bourg et plusieurs hameaux. Dressée au cœur du plateau du Larzac , la cité vaut bien un petit détour pour se plonger dans l'ambiance de l'histoire. Parmi les différentes cités templières situées sur le causse du Larzac (La Cavalerie , Sainte-Eulalie-de-Cernon , Viala-du-Pas-de-Jaux , ...), La Couvertoirade est certainement la plus connue du fait de son état de conservation exceptionnel. Dans les pierres de La Couvertoirade se lit l'histoire des légendaires Templiers. Ces derniers occupèrent le Larzac du 12ème au 14ème siècle. Les moines soldats de cet ordre militaire n'étaient pas seulement des combattants. Ils furent aussi des bâtisseurs, des gestionnaires avisés, des rassembleurs de populations éparses, des producteurs de richesse agricole. Ils firent ainsi fructifier les terres du Larzac , essentiellement pour alimenter l'effort de guerre de leurs frères partis aux croisades. En 1312, Philippe le Bel déclara les Templiers hérétiques et abolit leur ordre. Sur le Larzac , ils furent remplacés par les Hospitaliers qui perpétuèrent leur œuvre jusqu'à la fin du 18ème siècle. Ponctuée de tours circulaires, parcourue d'un chemin de ronde, l'enceinte fortifiée de La Couvertoirade garde intacte la présence des chevaliers. Le château, construit en 1249, veille avec son donjon trapézoïdal sur le tissu serré des toits de lauze. Il faut prendre son temps pour voir toutes les vieilles maisons des 15ème, 16ème et surtout, 17ème siècles avec leurs escaliers extérieurs et leurs rez-de-chaussée dont les voûtes abritent aujourd'hui de nombreuses échoppes d'artisans. Ce village médiéval, reflétant la puissance militaire des Templiers et le. . .
SAINT PARTHEM: VILLAGE AU BORD DU LOTBeaux villages
Saint Parthem (455 habitants, altitude 204m) Le village s'étire dans une gorge étroite et pittoresque. C'est une région de cultures maraîchères, tabac, vigne. De belles maisons anciennes en font le charme ainsi que l'église à nef et bas-côtés romans, au chœur gothique, au portail renaissance de 1561 et au clocher du début XVIème. A découvrir : La Maison de la Rivière Olt : parcours-exposition consacré à la rivière Lot Port d'Agrès : Ancien port sur le Lot mentionné dès le XIIIième à l'époque des gabarres. Il fut un lieu de passage par bac. Il faut noter, au Vialenc en particulier, des maisons aux balcons de bois. L'église renferme des tableaux du XVIIIième. C'est le dernier village avant d'entrer dans les gorges du Lot, vallée resserrée aux pentes abruptes, couvertes de chênes et de châtaigniers où seules serpentent la route et la rivière. Château de Gironde : château (privé) et chapelle offrant un point de vue sur la vallée du Lot. Sa chapelle renferme une nef en bois du XIV° siècle et une série de grandes toiles représentant les scènes de la vie de la campagne rouergate. L'histoire du château de Gironde est presque aussi ancienne que les origines de cette famille de guerriers dont les premières traces remontent au IX e siècle. La première mention d'un seigneur de Gironde se trouve, elle, dans un cartulaire de Conques aux environs de l'an 1080. Depuis ces temps reculés, beaucoup d'eau a coulé dans la rivière et, malgré plusieurs incendies, la vénérable bâtisse, qui appartient aujourd'hui à l'écrivain Jean-Paul Desprat, continue à poser son regard protecteur sur la vallée et le village de Port-d'Agrès. Mais l'histoire du château de Gironde, c'est aussi celle des Panassié. Ruinées par la Révolution, les deux dernières comtesses de la famille Gironde vendent le domaine en 1907 à Louis Panassié. Cet ingénieur des mines decazevillois, né en 1860,. . .
NAJAC ET SON CHATEAU EN AVEYRONBeaux villages
Un des plus beaux villages de l'Aveyron. La forteresse royale de Najac fut construite en 1253 par Alphonse de Poitiers, frère de Saint Louis, sur les bases d'un ancien château (tour carrée) construit en 1100 par Bertrand de Saint-Gilles, fils de Raymond IV, comte de Toulouse. A cette époque, le village, un bourg castral, se blottit au pied du château qui assure la défense de la vallée. Le mariage des deux châteaux en fait un chef-d'œuvre de l'architecture militaire du XIIIe siècle. Les archères de 6,80 m, uniques au monde permettent le tir de trois archers à la fois. Un couloir secret allait même jusqu'à relier la tour romane à la chapelle du donjon. On comprend alors qu'avec un donjon dominant de 200 m la boucle de l'Aveyron , détenir Najac équivalait à détenir la clé de tout le pays. Son passé prestigieux côtoie les grands moments de l'Histoire : la première occupation anglaise, la campagne contre les Albigeois, la guerre de Cent ans, l'emprisonnement des Templiers, la révolte des Croquants, sans oublier la Révolution française. Après avoir été transformé en carrière de pierre au XIXe siècle, il a été sauvé de la ruine par la famille Cibiel et est aujourd'hui ouvert à la visite. Vidéo diffusée par : Cap Sud Ouest
SAUVETERRE DE ROUERGUE, UNE BASTIDE ROYALE DU XIII° SIECLEBeaux villages
Sauveterre est une commune rurale au cœur d'un terroir préservé, le Ségala, à l'ouest du département de l'Aveyron , dans la région Midi-Pyrénées. Les villages de Sauveterre, Jouels et Albagnac ainsi qu'une vingtaine de hameaux et fermes isolées composent une commune de 2343 ha, de 850 habitants, qui s'intègre dans le canton de Baraqueville-Sauveterre (10 communes), dans la Communauté de Communes du même nom et dans le Pays Ruthénois. Les sentiers buissonniers sillonnant la commune vous mèneront à la rencontre de paysages divers et variés, de la Place des Arcades au sein de la bastide médiévale aux ruisseaux coulant au fond des châtaigneraies, ou aux plateaux peuplés de troupeaux de bovins, de blé ou d'orge. Entourée de collines verdoyantes, de vallées traversées de nombreux cours d'eau, la bastide de Sauveterre est située sur un plateau à l'altitude moyenne de 460 mètres. La polyculture céréalière et l'élevage bovin (label Veau d'Aveyron et du Ségala) représentent l'essentiel des productions de la quarantaine d'exploitations agricoles implantées sur la commune. Longtemps marqué par la pauvreté de ses sols, de ses récoltes et, par conséquent, de ses habitants, le Ségala a amorcé à partir du début du 20ème siècle une transformation profonde grâce à l'arrivée des engrais. Symbole de la réussite et de la rapidité de cette évolution, la Foire annuelle de Baraqueville. Le monde agricole suit et s'adapte aux évolutions du monde contemporain et manifeste toujours aussi fortement sa force dans les liens de solidarité qui l'animent. La commune comporte un tissu artisanal et commerçant important, la bastide concentrant à cause de la fréquentation touristique – 30 000 contacts recensés Office de Tourisme par an - l'essentiel des commerces. Boulangerie, boucherie, tabac-presse, mais aussi pharmacie, médecin, école maternelle et primaire ou encore station-service constituent un faire-valoir incontestable. . .
PEYRELEAU A LA CONFLUENCE DES VALLEES DU TARN ET DE LA JONTEBeaux villages
Petit village situé aux confins du Rouergue et du Gévaudan, Peyreleau, anciennement Petralevi, est construit autour d’un éperon rocheux, lui-même surmonté d’une tour (à l’emplacement de l’antique château aujourd’hui disparu), à la confluence des vallées du Tarn et de la Jonte , séparant la Lozère de l’Aveyron, dans un des lieux les plus touristiques des gorges et des causses. Entouré par les communes de Le Rozier, Saint-André-de-Vézines et Mostuéjouls, Peyreleau est situé à 15 km au Nord-Est de Millau la plus grande ville des environs. Situé à 440 mètres d'altitude, La rivière le tarn , la rivière la jonte , le Ruisseau des Arzioles sont les principaux cours d'eau qui traversent la commune de Peyreleau. Peyreleau est une commune du parc naturel régional des Grands Causses. C’est au terme d’un arrêté de Monsieur le Ministre Secrétaire d’état de l’éducation Nationale, inventaire des sites, en date à Paris du 14 février 1944, que la tour et l’ensemble du vieux village de Peyreleau ont été inscrits sur l’inventaire des sites dont la conservation présente un intérêt général. La chapelle octogonale et une partie des balustres et des arcades de la cour d’honneur du château du Triadou sont protégées au titre des monuments historiques (inscrits ISMH par décret du 12 mai 1944). LIEUX ET MONUMENTS Le château de Triadou Cette demeure fut construite à partir de 1470 et habitée dès juillet 1479 par Pierre II d'Albignac, seigneur de Triadou, et son épouse Flore de Capluc, fille de Guillaume de Capluc et sœur de Louis de Capluc par qui le jeune couple reçut en dotation la moitié des terres dont Peyreleau faisait partie. Le terrain choisi pour la construction du château était la propriété des moines du Rozier, de l'abbaye d'Aniane. Avant de s'installer à Peyreleau, c'est au château de Mostuéjouls que siégeaient. . .
LE FEL: VILLAGE DOMINANT LA VALLEE DU LOTBeaux villages
Ce petit village traditionnel est construit sur une crête étroite dominant la vallée du Lot. Le Fel est un petit village typique et magnifiquement restauré avec ses maisons de schiste ocre et ses toits de Lauzes. Un panorama sublime de la vallée du Lot, au cœur du village pittoresque, entouré de vignes cultivées en terrasse. L'église de Roussy située à 900 m du Fel est édifiée au sommet d'un piton. Elle est dite "des horizons" grâce au beau point de vue qu'elle offre sur la vallée. A voir également la Chapelle de Crestes datée de 1636. Bref Historique de la commune L'actuelle commune du Fel est l'aboutissement de la séparation en 1851 des paroisses de Roussy et de Ginolhac de la commune d'Entraygues , qui a alors donnée naissance à celle d'Enguialès. Ce hameau, de part sa position centrale a été choisi comme chef lieu. En 1946, Ginolhac a finalement été rattaché à la commune d'Entraygues. Le village du Fel, le plus important démographiquement, est alors devenu naturellement le nouveau chef lieu, dont l'appellation n'a officiellement changé qu'en 1996. Du tungstène a été extrait du sous-sol communal durant la décennie 1969-1979, au nord du hameau d'Enguialès, où les traces de cette activité minière vont sans doute encore longtemps marquer le paysage. Le Fel est historiquement et géographiquement lié au siège paroissial, Roussy, distant d'environ 500 mètres seulement. Ils reposent tous deux sur une crête globalement parallèle à la rivière du Lot, Roussy étant au sommet, à l'Est du Fel. Voir aussi notre article : VINS D'ENTRAYGUES ET DU FEL
ST CHELY D'AUBRAC: LES CHEMINS DE ST JACQUES DE COMPOSTELLEBeaux villages
Saint-Chély d'Aubrac est un village Halte sur le Chemin de St Jacques de Compostelle (GR65, voie du Puy-en-Velay ). Le tronçon Nasbinals , Aubrac , Saint-Chély d'Aubrac (17 km) et le Pont des Pèlerins à Saint-Chély, est inscrit au Patrimoine Mondial de l'Humanité (Chemin de Compostelle, voie du Puy-en-Velay, UNESCO, décembre 1998). Situé au Nord Est du département de l'Aveyron (nord est de la région Midi Pyrénées), le canton de Saint-Chély d'Aubrac est frontalier des départements du Cantal et de la Lozère, et donc des régions Auvergne et Languedoc Roussillon. La superficie du canton de Saint-Chély d'Aubrac est d'environ 125 km². Le point culminant du canton se situe aux Truques (1442 m) près du Buron de Canuc. Le sommet de l'Aubrac et de l'Aveyron se situe, quant à lui, au Mailhebiau à 1 471 m d'altitude. Sa population actuelle est d'un peu moins de mille habitants. Elle était au début du siècle de plus de deux mille et de plus de trois mille à la révolution. Cela s'explique, bien sûr, par la forte émigration à partir de la seconde moitié du 19ème siècle. Il est l'un des huit plus petits cantons de France par sa population (moins de mille habitants), mais il est parmi les plus grands par sa superficie (3 fois la ville de Lyon). Cas extrêmement rare, sinon unique en France, le canton est constitué de seulement deux communes : Condom d'Aubrac et Saint-Chély d'Aubrac. Ce dernier bourg abrite une brigade de gendarmerie de montagne, une poste, une école ainsi q'une maison de retraite médicalisée. Des artisans d'arts sont aussi présents sur le canton (ateliers de coutellerie, d'ébénisterie et de poteries) ainsi que des producteurs (conserverie, pain-pâtisserie, escargots, viande Aubrac, plantes médicinales...).
BROUSSE LE CHATEAU VILLAGE DE PIERRES ET DE FLEURSBeaux villages
En Aveyron , tout proche de Lincou et de Requista, Brousse le Château est l'un des "plus beau village de France ". Le village de Brousse-le-Château est situé sur un éperon rocheux entre la rivière du Tarn et la rivière de l'Alrance dans le département de l'Aveyron. Le village est situé dans les Raspes à 62 kilomètres de Rodez et à 60 kilomètres de Millau . Les toits en lauzes et les façades de grès, de gneiss ou de schiste des maisons du XVIIe et XVIIIe siècles près du pont gothique résument la richesse géologique de la région. Au croisement du Tarn et de l'Alrance, ce vieux bourg de pierre dominé par son imposant château médiéval . Brousse le Château, à la naissance des pentes pyrénéennes, attire l'oeil tout simplement par son exquise végétation verdoyante, qui coure sur le sol, alimente les jardins et grimpe le long des habitations. Bosquets, buissons, arbres, fleurs... ici la nature s'affiche sans pudeur et contraste avec les ruelles dallées et escarpées cheminant entre les maisons de caractère. Un panorama tout à fait princier, surveillé par le château, du haut de son piton rocheux. Ce dernier, avec son imposante tour carrée qui a conservé toute sa splendeur, accueille aujourd'hui un musée d'histoire locale ainsi que des expositions temporaires, Des balades en extérieur s'offre à vous, où vous pouvez parcourir le chemin de ronde et les sentiers alentours, bordant la rivière. Le pont roman et une église fortifiée datant du XVe siècle se cachent aussi au milieu de cette verdure chatoyante, qu'il fait bon parcourir. Tout près du village de Brousse-le-Château, se situe l'église Saint-Cirice qui surplombe les Raspes. L'église Saint-Cirice a été détruite pendant les guerres de religion puis reconstruite en 1640. Elle aurait appartenu aux Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem. On y venait en pèlerinage pour les maladies mentales. Le cimetière contient. . .
 
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