Hébergement Aveyron : Chambres avec climatisation

A votre disposition, 36 chambres de 1 à 5 personnes. (3 chambres familiales)

Hébergement Aveyron : Chambres climatisées avec baignoire balnéo

Nous accueillons particuliers, familles et groupes.

Hébergement Aveyron : Chambres balnéo

Toutes nos chambres sont avec salle de bain, WC, TV écran plat et fenêtres double vitrage à isolation phonique.

Hébergement Aveyron : Chambres avec balcon terrasse

Certaines avec terrasse donnant sur le jardin, climatisation et salle de bain balnéo

Hébergement Aveyron : Chambres accessibles aux personnes handicapées

Ascenseur, parking extérieur gratuit, location de garages individuels sur demande.

Hébergement Aveyron : 35 chambres - accueil des groupes

Location de studios appart'hôtel tout équipés, 1 à 5 personnes à la semaine.
Accès gratuit aux activités de l'hôtel : Piscine, tennis, mini-golf, salle de gym.
Hébergement Aveyron : Chambres balnéo Chambres avec clim et terrasse
Acces WIFI gratuit aux clients de l'hôtel
Hébergement à Entraygues sur Truyère  Hébergement dans la vallée du Lot
8 studios appart'hôtel avec kitchenette
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L'Hôtel du Lion d'Or en plein centre d'Entraygues-sur-Truyère avec tous les commerces de proximité.

Hébergement Aveyron : 35 chambres - accueil des groupes
 
 
 
 
Actualités en Aveyron
LE CHATEAU D'ESTAING, DEMEURE DES COMTES D'ESTAINGChâteaux
Le château d’Estaing domine le confluent du Lot et de la Coussanne. Datant du XVe siècle, il a été acheté en 2005 par Valéry Giscard d'Estaing, ancien président de la République et son frère Olivier Giscard d'Estaing, ancien député des Alpes Maritimes, ancien maire d'Estaing. Le château d'Estaing est - avec l'église de Conques - un des monuments les plus connus et les plus rayonnants de l'Aveyron. Pendant la première République, il fut vendu par lots après la décapitation du dernier propriétaire de la lignée authentique, une personnalité pour qui cet édifice n'était qu'une possession lointaine et sans importance. En 1836, les religieuses de St. Joseph achetèrent le château pour en faire un couvent, une école et un lieu d'édification spirituelle. 164 ans plus tard, la congrégation décida de vendre le château. Pendant la période où Olivier Giscard d'Estaing était maire, les soeurs avait reçu une offre d'achat des deux frères Giscard d'Estaing, mais cette solution "ne plaisait pas" aux propriétaires et les soeurs ont finalement préféré vendre à la commune, qui avait - a l'insu de la congrégation - été contactée par l'ancien président et son frère afin de trouver un arrangement. Cette première vente se fit, comme la seconde cinq ans plus tard, sans appel d'offre, sans publicité et sans rechercher un profit maximal. La population du bourg était, comme le conseil municipal, favorable à l'accès des Giscard d'Estaing à cette propriété charismatique. Cependant, au moment de la vente, une pléiade de journaux européens de références ont exprimé leurs réticences. La question était de savoir si un ancien président peut chercher activement à acquérir des attributs de noblesse et s'il est "républicainement correct" de vouloir créer des racines d'historicité pour sa propre famille dans le berceau de la véritable famille d'Estaing éteinte depuis longtemps. Tous les villages ne peuvent. . .
LE CHATEAU DE PEYRELADE CONTROLE L'ENTREE DES GORGES DU TARNChâteaux
Le Château de Peyrelade est un château construit au xie siècle. Aujourd'hui en ruine, il est situé sur la commune de Rivière-sur-Tarn, dans le département de l'Aveyron. Grâce à sa position qui contrôle l'entrée des Gorges du Tarn, il constitue l'un des châteaux les plus importants de l'ancienne province du Rouergue. Il a été le théâtre d'incessantes batailles jusqu'à sa démolition en 1663, ordonnée par Richelieu. Les ruines donnent une bonne idée de l'organisation du château. Le mur d'enceinte fait plus de 250 m, pour 10 m de haut et jusqu'à 2,1 m d'épaisseur. Le château est dominé par une piton rocheux sur lequel s'appuie un donjon en bon état. Au Moyen Âge, une triple enceinte de murs l'entourait. On accédait à la première par deux portes; la seconde protégeait un corps de logis et une place d'armes; la troisième entourait le donjon haut de 50 mètres, auquel on accédait par un pont-levis et qui donnait sur une terrasse. Ce donjon renfermait un four, une citerne et un beffroi dont la cloche sonnait en cas de danger. Le château de Peyrelade fait partie d'un groupe de 23 châteaux en Aveyron qui se sont associés pour constituer le chemin touristique de la Route des Seigneurs du Rouergue. Il est ouvert aux visites de mi-juin à mi-septembre. Le château est inscrit à l'inventaire des monuments historiques depuis le 6 mars 19981. Le donjon est ouvert à la visite depuis 1992. Plus d'infos sur le site : www.ot-gorgesdutarn.com
LE CHATEAU DE CABRESPINESChâteaux
Le Château de Cabrespines est situé sur la commune de Coubisou, dans le département français de l'Aveyron. L'ancien château de Cabrespines, situé sur un promontoire appelé " Tourruol ", fut construit fin XIIe début XIIIe siècle. C'était un château de défense important pour permettre aux habitants du lieu et toute la vallée jusqu'à Anglars, de se protéger des invasions. Au XIIIe siècle, il devint l'une des résidences des Comtes de Rodez. En 1274. Gui d'Estaing qui en avait les droits s'en est dessaisi En 1628 le château fut démoli sur ordre du Prince de Condé. Le dernier Capitaine, Jean de Cambon reçu en compensation le titre de Seigneur de Cabrespines; avec l'autorisation de construite la partie occidentale du Château actuel avec les pierres de l'édifice féodal du Tourruol. Ce qu'il fit en 1643. Visite accompagnée du Château de Cabrespines Le château de Cabrespines est une propriété privée : composé de plusieurs bâtiments dont la construction s'étale sur plusieurs siècles. Il est inscrit à l'inventaire supplémentaire des Monuments Historiques depuis le 7 décembre 1987. Visite du rez-de-chaussée avec la propriétaire (sauf indisponibilité). Visite de groupes (10 personnes maximum par visite). Retrouvez toutes les infos sur le site : Page Facebook du Chateau de Cabrespines
LE CHATEAU DE COUPIAC, BATI SUR UN ROCHER A L'EPREUVE DES SIECLESChâteaux
Le Château de Coupiac se trouve au sud de l'Aveyron , non loin de la vallée du Tarn et des châteaux de Brousse et de Saint-Izaire. Il serait déjà mentionné dans des chartes du IXème siècle, comme nous le rapporte M. De Gaujal, historien du Rouergue. Du Xe au XIIIe, le château va être possession commune des Comtes et de l’évêque de Rodez. En 1238, il passe dans les mains des vicomtes de Panat. Cependant, cette famille qui possède d’autres propriétés, et notamment le château de Peyrebrune , leur résidence principale, près de Villefranche de Panat , ne va pas venir y habiter. Le château tel qu’on le connaît aujourd’hui daterait de la fin du XVe, quand Louis de Panat, ayant abandonné Peyrebrune , vient y habiter définitivement. Il va reconstruire le château pour en faire une habitation plus confortable, dans un climat plus doux et terminer la construction de l’enceinte du village. Le château est resté dans la famille des Panat, puis Castelpers-Panat jusqu’à la fin du XVIIIe siècle. Izarn de Méjanel, gouverneur de Saint–Sernin, achète le château en 1778 et entreprend de nombreuses modifications afin de l’habiter : il refait les toitures, démonte le chemin de ronde, les mâchicoulis, la galerie, agrandit les fenêtres, construit la façade XVIIIe. C’est l’état actuel. Le château n’a pas été détruit à la Révolution, seuls des blasons ont été martelés, comme le blason de la porte d’entrée. En 1872, il est acheté par un abbé qui veut y faire une école privée, puis il va devenir propriété de la paroisse. Il est mis en vente en 1981, la commune le rachète et il est géré depuis 1982 par une association « Los Amics del Castel de Copiac » qui a pour but la restauration et l’animation de l’édifice. L'association a aménagé les salles du château et présente toute l'année des expositions sur la vie quotidienne au Moyen Âge. Des animations ont aussi lieu et permettent. . .
LA COMMANDERIE HOSPITALIERE DE LUGANChâteaux
Commanderie du XIIème siècle, édifiée par l'ordre des Hospitaliers de Saint Jean de Jérusalem, actuellement Ordre de Malte. C'était à l'origine un corps de logis carré flanqué de quatre tours rondes - une partie abrite un foyer, logement pour personnes âgées et perpétue ainsi sa vocation Hospitalière. L'église a été insérée dans le bâtiment dont elle forme le front sud ouest - le choeur du XIIième siècle a un chevet de plan rectangulaire avec une abside intérieure en cul de four (peu commun en rouergue et unique dans l'ordre de Saint Jean de Jérusalem). Le clocher octogonal date de 1848 possède un escalier a vis en bois. Une exposition avec vidéo qui propose l'histoire des hospitaliers, est présentée dans une magnifique salle voutée qui était la citerne de la commanderie. Une commanderie rurale au XIIème siècle : Nous sommes en l’an 1180, les chevaliers de l’Ordre de l’Hôpital de Saint Jean de Jérusalem accompagnés de Guilhem de Montalègre (grand maître de l’Ordre pour le Rouergue) viennent prendre possession des terres données par Baldois de Lugan. L’emplacement de la future commanderie de Lugan est choisi ; bientôt les coups de pioche résonnent. Pendant 428 ans, la commanderie fût rattachée à celle d’Auzits. A partir de 1623, elle eut ses propres commandeurs dont certains portaient de grands noms de France comme Annibal de Castellane d’Aluys (1639-1667). La Révolution Française éclate. Tous les biens de l’Ordre sont considérés comme biens nationaux. La commanderie est vendue le 13 thermidor de l’an III (1er juillet 1795) et devient la propriété d’un luganais Jean-Pierre Amouroux du village de la Joulinie. En 1886, celle qui est devenue Sainte Émilie de Rodat y fonde sa cinquième école de filles dans le bâtiment. En 1960, les religieuses de la Sainte famille ferment l’école et abandonnent la bâtisse. En 1962, deux religieuses franciscaines. . .
LA TOUR DE PEYREBRUNEChâteaux
La tour rectangulaire du XIVe siècle s’élève sur un sommet granitique, elle témoigne de la présence passée du Château des Seigneurs de Panat (XIe-XVe siècles). De plan rectangulaire, elle est possède 5 étages voûtés. Au XVIIe siècle, le Cardinal Richelieu fit détruire murailles et châteaux forts du Midi afin de châtier les chefs calvinistes. Peyrebrune ne fut pas épargnée. Les Seigneurs de Peyrebrune devenus protestants avaient combattu aux côtés des Calvinistes, seul le donjon de la forteresse fut préservé. En 1848, la tour fut endommagée par un groupe, probablement exalté par des idées révolutionnaires. En 1898, l’abbé Hippolyte Amouroux acquit l’édifice, érigea une chapelle, un escalier et monta une statue de la Vierge à son sommet. Il instaura également un pèlerinage annuel fin août, l’événement est toujours organisé ! Suscitant une singulière passion chez deux personnages de la région, une confrérie de cavaliers fut crée en l’honneur de la tour, l’Ordre des chevaliers de Peyrebrune. Depuis 1968, ces chevaliers se réunissent une fois par an et procède à l’intronisation de grands cavaliers de tout le pays. La tour millénaire domine encore fièrement du haut de son puech (913 m) la Vallée de l'Alrance et son lac. Site de 31 ha avec nombreuses tables de pique-nique, circuits de randonnées, manège chevaux... Siège de la Seigneurie de Peyrebrune, cette tour millénaire domine encore fièrement du haut de son puech (913 m) la Vallée de l'Alrance et son lac. Restaurée récemment et mise en valeur par les bénévoles de l'association des "Amis de Peyrebrune" d'Alrance, sa visite débutant par la projection d'une vidéo vous plongera directement au coeur de l'histoire locale. Vous apprécierez ensuite son architecture en gravissant ses marches pour atteindre son sommet. Un panorama exceptionnel sur le Lévézou et sur les Pyrénées s'ouvrira à. . .
LE CHATEAU DE PRUINESChâteaux
Construit en grès rose au XVème, XVIIème, XVIIIème siècle, le château qui s'ouvre sur un escalier Renaissance conserve de belles cuisines, des plafonds XVIIème et dévoile dans ses pièces meublées et décorées une collection de 600 poteries populaires et objets régionnaux du XVIIème siècle à nos jours. Au XVIème siècle des travaux d'aménagement intérieurs furent entrepris. Le plafond peint, datant du XVIIème siècle, possède un décor peint et sculpté très coloré; il est actuellement visible dans une pièce du premier étage de la tour. C'est une curiosité rare en Rouergue qui mérite le détour. Appartenant à la famille Arjac-Solages au XVème siècle puis aux Bancalis au XVIIème siècle, le château est vendu à la municipalité qui en a fait la mairie ainsi que l'école publique de 1917 à 1954. Aujourd'hui propriété de personnes privées, le château de Pruines, a été restauré et meublé dans un ameublement d'époque. Autre curiosité sur le domaine de la commune de Pruines : le pic du Kaymar (707 m). C'est en quittant le village et en montant jusqu'au lieu appelé "le Kaymar " que l'on peut apercevoir la splendide vallée du Dourdou, le village de Pruines et même le clocher de la cathédrale de Rodez. Renseignements et réservations Tel : 05 65 72 91 64 Fax : 05 65 72 91 64 email : château.de.pruines@wanadoo.fr
CHATEAU DE BROUSSE, CHATEAU-FORT DU IXe SIECLEChâteaux
Campé sur un promontoire rocheux dominant les eaux du Tarn et de l'Alrance, le château de Brousse est impressionnant de majestuosité. L'architecture fortifiée du Moyen-âge se marie harmonieusement avec les maisons du village classé. Ce château appartenait aux comtes du Rouergue, et par la suite à la famille d'Arpajon. Perché sur un éperon rocheux, le château-fort fur bâti au IXeme siècle et remanié jusqu'au XVIIeme. Il fut la propriété des seigneurs d'Arpajon durant 500 ans. Monument historique, il protège un des "Plus beaux villages de France ". Du Moyen-Age, il a conservé son enceinte fortifiée, son chemin de ronde ainsi que cinq tours de défense. On peut parcourir le rempart, visiter les tours et les appartements du seigneur datés de la Renaissance. Tours, logis des officiers, résidence seigneuriale, four à pain, pigeonnier, puits-citerne, meurtrières, prison, latrines, mâchicoulis... du Moyen Age à la Renaissance c'est un véritable voyage à travers le temps architectural qui attend le visiteur. Propriété des Comtes de Rouergue puis de la puissante famille d'Arpajon pendant près de 500 ans, c'est aujourd'hui le Foyer-Rural de Brousse-le-Château qui en assure la gestion et l'animation (exposition de peintures, tapisseries, photos, outils anciens).
LE CHATEAU DE FAYET, UN BEAU CHATEAU DE PLAISANCE EN ROUERGUE Châteaux
Bâti sur un tertre, le château domine la vallée, position militaire en arrière du Rance et en contact direct avec l’Albigeois. La sortie des gorges était gardée par le château de Brusque, démoli en partie au XIIIème siècle, et qui formait un seul prieuré et une seule seigneurie avec Fayet. Une chapelle marquait à l’origine le confluent de la Nuéjouls et du Dourdou. Un bâtiment défensif, entouré de douves, la remplaça afin de surveiller ces rives dont la situation formait une ligne secondaire de défense. Le bâtiment actuel forme un parallélogramme régulier ponctué aux angles de tours, ainsi qu’une cinquième qui enferme la vis d’escalier, en pierre de taille. L’architecte italien qui conçoit ce château de plaisance à la Renaissance organisera, dès le départ, la voûte de feuillages, afin d’être à l’abri des regards indiscrets. Après avoir descendu la longue allée bordée de tilleuls et de marronniers, le château nous apparaît avec la belle vue sur la cour d’honneur, depuis que les grandes grilles ont remplacé le mur d’enceinte avec porte ogivale. Le dallage, en forme d’oeil, autour de la belle fontaine à double vasque, nous invite à écouter le bruit de l’eau et nous mène vers la porte d’entrée, de style troubadour, et enfin au puits majestueux, qui alimentait les besoins domestiques, classé M.H. depuis 1931. La margelle, en forme de marmite, est couronnée par un fronton sculpté et armorié supporté par deux piliers, qui fut bâti en 1564 par Guy de Castelnau-Bretenoux. HISTORIQUE Au préalable, les premiers seigneurs de Brusque et Fayet furent les vicomtes d’Albi, au XIème siècle, les vicomtes de Béziers et Carcassonne, au XIIème siècle, les comtes de Toulouse, au XIIIème siècle, et enfin les seigneurs de Castelnau-Bretenoux, au XIVème. Leur monogramme entrelacé et leur blason écartelé, soutenu par deux griffons ailés, sont sculptés dans la pierre, ainsi que. . .
SEVERAC-LE-CHATEAU, AUX SOURCES DE L'AVEYRONChâteaux
Sévérac-le-Château ou Severac del Castèl fait partie de l'ancienne province du Rouergue où l'on communique aussi grâce à une forme d'occitan: le dialecte rouergat. La butte de Sévérac, qui culmine à 817 m d'altitude a été occupée dès la préhistoire. En témoignent les dolmens que l'on trouve sur la route des dolmens en direction du village de Buzeins. Le territoire de la commune de Séverac-le-Château constitue une fraction sud du Massif central. Il est situé sur le plateau caussenard du même nom. Sa ville chef-lieu, place forte depuis l'Antiquité, se situe à la croisée de deux grandes voies de circulation (A75 - N88). Le territoire de cette commune constitue une partie du parc naturel régional des Grands Causses. Sévérac-le-Château, domine le bassin étroit alluvial formé par l'Aveyron qui prend sa source à l'Est de Sévérac. La ville se trouve sur les Causses et dans le Parc Naturel Régional des Grands Causses. Situé à une altitude de 740m, Sévérac a un climat continental adouci par les influences méditerranéennes. Historique de la ville Sévérac le Château est une agglomération double, formée de deux quartiers bien distincts qui illustrent des avantages tour à tour exploités : un site escarpé, facile à fortifier (le château) et une situation de carrefour favorable aux échanges (la gare). Sans doute utilisée dès l'époque romaine, la butte ne prit toute sa valeur qu'au Moyen Age lorsqu'elle devint le siège d'une puissante baronnie dont l'autorité s'étendait jusqu'aux gorges du Tarn. Ses seigneurs furent de toutes les luttes, de toutes les intrigues : croisade des Albigeois, guerre de Cent Ans, place forte protestante... Sans doute victime de cette tumultueuse histoire, la bourgade née au pied des remparts mit du temps à grandir. Il lui fallut attendre la création des grandes routes royales de l'Auvergne au Languedoc, puis de Rodez à Florac. A leur croisement, vin, bétail,. . .
 
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