Contacts / Réservations


FERMETURE ANNUELLE - Réouverture courant mai 2026

Meilleur Prix Garanti en réservant en direct :

Nous avons un très grand choix de chambres et de studios. Pour connaitre toutes nos disponibilités, vous pouvez utliser notre formulaire de réservation en ligne ci-dessous ou nous téléphoner directement.

E-mail : hotel.lion.or@free.fr

Téléphone : 05 65 44 50 01


Mr et Mme OTT/BRUYERE
Hôtel du lion d'or
6, tour de ville
12140 ENTRAYGUES-SUR-TRUYERE
Tél : 05 65 44 50 01
Fax : 05 65 44 55 43

www.hotel-lion-or.com
E-mail : hotel.lion.or@free.fr
Office du tourisme de l'Aveyron
17 rue Aristide Briand - BP831
12008 RODEZ CEDEX
Tél : 05 65 75 55 75
Fax : 05 65 75 55 71
www.tourisme-aveyron.com

 
 
 
 
Actualités en Aveyron
APPRENDRE A LIRE A L'ECOLE AUX EDITIONS RETZ PARISArt et Littérature
Si comme nous, vous avez un enfant qui rentre au CP ou si vous souhaitez enfin avoir un éclaicissement sur les différentes méthodes et approches de la lecture et être ainsi en mesure de pouvoir aider vos enfants, alors ce livre est pour vous. Ce livre, s'il tend à réconcilier parents et enseignants en améliorant la compréhension des pratiques pédagogiques, est avant et surtout un formidable outil pour les parents souhaitant accompagner leurs enfants dans cette formidable aventure qu'est la découverte et l'apprentissage de la lecture. Roland Goigoux, professeur des universités à l'IUFM d'Auvergne où il dirige un laboratoire de recherche sur l'enseignement; Sylvie Cèbe, maître de conférences à l'IUFM de l'académie de Lyon dont elle est directrice adjointe; Nos deux auteurs, chercheurs et pédagogues, sont des spécialistes de la lecture. Nous tenons à remercier Mr Goigoux et Mme Cèbe de nous avoir gentiment envoyé un exemplaire de leur bel ouvrage en souvenir de leur séjour studieux en nos murs. Hélène et Olivier OTT L'ouvrage peut être commandé sur internet (Amazon, etc.) ou chez votre libraire (il ne vaut que 3,9 euros ... et les droits d'auteur sont reversés à une ONG qui s'occupe de préscolarisation à Madagascar). L'éditeur est Retz, à Paris.
L'ETE PICASSO AU MUSEE SOULAGES DE RODEZCulturel
Inaugurée ce 10 juin 2016 en présence de Pierre Soulages , l'exposition consacrée au peintre, dessinateur et sculpteur espagnol se prolongera jusqu'au 25 septembre 2016 au musée Soulages de Rodez. Pour la plus importante des monographies consacrées au peintre, dessinateur et sculpteur espagnol depuis l'exposition du musée des Augustins en 1965, quatre-vingt-quinze oeuvres, des portraits, des dessins cubistes, des vues d'atelier, des nus, des natures mortes et une trentaine de clichés pris dans l'intimité de l'artiste par les photographes Michel Sima et David Douglas Duncan. L'ensemble qui donne à voir largement la carrière de l'artiste provenant, hormis les peintures d'Antibes, est tiré du fonds que l'artiste avait prévu de transmettre à ses héritiers après sa mort en 1973 et dont une partie est à l'origine de la grande dation qui a fait naître le musée Picasso en 1985. A Rodez , les deux géants de la peinture cohabiteront jusqu'au 25 septembre : Pablo Picasso, l'un des artistes les plus prolifiques du XXe siècle et Pierre Soulages qui a souhaité que l'exposition n'ait pas le caractère conventionnel d'une exposition de musée. Je voulais déshabiller en quelque sorte l'exposition, ou la rhabiller, pour la départir de son caractère conventionnel.
L'EGLISE ROMANE DE PERSE A ESPALIONCulturel
L'Eglise Romane de Perse ou chapelle Saint-Hilarian-Sainte-Foy, a été bâtie entre la fin du XIe siècle et le début du XIIe. L'église de Perse fut église paroissiale d'Espalion jusqu'à la construction, au XVIe siècle, de l'église Saint-Jean-Baptiste (actuellement Musées des Arts et Traditions populaires et du Scaphandre ) au centre du bourg fortifié. L'église de Perse était située sur l'un des chemins de Compostelle menant du Puy-en-Velay à Conques. Le portail, avec son archivolte monumentale et son tympan, est avec celui de Conques : un des deux seuls exemples de grande décoration sculptée que conserve le Rouergue de l'époque romane. Le tympan proprement dit illustre le thème de la Pentecôte : la Vierge Marie reçoit le Saint-Esprit sous la forme dune colombe et des langues de feu se dirigent vers les apôtres au nombre de dix. Au linteau monolithe se mêlent confusément les thèmes de la Pesée des âmes et du Jugement dernier : au centre, au-dessous des deux plateaux de la balance dont le fléau a disparu, un défunt est étendu sur sa couche, son âme est représentée par un corps nu que se disputent anges et démons. A droite, dans une mandorle, le Christ est entouré des symboles des quatre évangélistes : l'aigle pour Jean, le taureau pour Luc, le lion pour Marc et l'homme pour Mathieu. A gauche, un damné est précipité dans la gueule du Léviathan à l'entrée de l'Enfer où trône Satan. D'autres éléments sculptés attirent l'attention : l'Adoration des Rois mages en haut et à gauche du portail, une belle Vierge à l'enfant inspirée de l'école auvergnate, à droite au-dessus de la petite porte. On compte une couronne d'une quarantaine de modillons sous la corniche. Pour apprécier l'élégance du chevet polygonal, il faut l'observer, en contrebas, des bords du ruisseau. A l'intérieur, l'arc triomphal orné de chapiteaux sculptés ouvre sur un choeur terminé par une abside à cinq. . .
LE MUSEE ARCHEOLOGIQUE DE BANASSAC Culturel
Le Musée archéologique de Banassac nous rappelle le passé glorieux de ce village gallo-romain. La salle d’exposition a ouvert ses portes en 1989 à l’initiative de l’Association archéologique de Banassac, sous la direction de M. Gilbert Fages. C’est grâce à la production de poteries sigillées (signées), entre le Ier et le IIIe siècle après J.C., que le bourg devient un centre économique important, au sein de l’Empire romain : on a retrouvé des céramiques provenant de ses ateliers jusqu’en Hongrie et en Pologne. Banassac est encore un pôle majeur dans la Gaule mérovingienne, comme le prouve la présence d’un atelier monétaire royal des Francs d’Austrasie. Plusieurs centaines de pièces de monnaies (en or et en argent) issues de Banassac sont aujourd’hui conservées dans le monde. Présentation de la commune de Banassac : Banassac est située au confluent de l’Urugne et du Lot. Le village est bâti sur un vicus (petite agglomération Gallo-Romaine). La commune compte une vingtaine de hameaux, s’étendant de part et d’autre du Lot , et des ruisseaux de l’Urugne et le Saint Saturnin. Son territoire est une terre de contraste où se cotoient le calcaire du causse , le grés rouge de la vallée et le basalte des contreforts de l’Aubrac. D’origine gallo-romaine, Banassac était à cette époque un important centre de fabrication de céramiques sigillées. Banassac fut également, à l’époque mérovingienne, un centre de frappe de monnaie. Histoire de Banassac : Banaciacum, village de potiers L’époque romaine a laissé de nombreux vestiges dans le pays gabale, qui a d’ailleurs donné son nom au Gévaudan. Les trois sites majeurs du triangle gallo-romain sont Lanuéjols, Javols et Banassac (Banaciacum). La paix instaurée en Gaule durant les trois premiers siècles de notre ère a permis le fort développement. . .
LE MUSEE DENYS-PUECH DE RODEZCulturel
A quelques pas du musée Fenaille, vous pourrez visiter le musée Denys-Puech. La sculpture est leur lien principal. Denys Puech, grand prix de Rome en 1884, fut un éminent statuaire dont l’œuvre est imprégnée d’un goût pour l’antique. Depuis 1989, ce musée est le relais de la création moderne et contemporaine à travers une programmation d’exposition et d’acquisitions qui comprend entre autres les œuvres de François Bouillon, Michel Cure, Martine Damas, Rolino Gaspari, Bernard Pagès, Carmen Perrin, etc... François Morellet a ainsi réalisé Intégration, une sculpture qui orne le pignon des façades nord et sud du musée. Le musée fut fondé en 1903 par le sculpteur Denys Puech (1854-1942), qui fut un des sculpteurs officiels de la Troisième République. Le bâtiment fut réalisé en 1910 par l'architecte A. Boyer. Il dessina un rez-de-chaussée à larges baies pour mettre en valeur la collection de sculptures. La collection permanente présente, outre les œuvres du fondateur, celles d'artistes originaires de la région, notamment le peintre orientaliste Maurice Bompard (1857-1935) et du graveur Eugène Viala (1858-1913). Depuis 1987, des œuvres contemporaines sont également proposées au public dans les expositions temporaires. La naissance du Musée Dès 1903, le sculpteur Denys Puech forme le projet de réaliser à Rodez "un sanctuaire de l'art Aveyronnais". Après avoir offert à la Ville un fonds important de sculptures et de dessins, il convainc ses amis, le peintre orientaliste Maurice Bompard (1857-1935) et le graveur Eugène Viala (1858-1913), de faire don de quelques-unes de leurs oeuvres pour constituer les collections du nouveau musée. Ces œuvres sont actuellement réunies au rez-de-chaussée du musée autour des sculptures de Denys Puech. Le Bâtiment Un écrin pour abriter la donation de l'artiste C’est. . .
LE MOULIN DE TERRAL SUR L'AUBRACCulturel
Le Moulin de Terral est l’un des 15 moulins connus à ce jour qui s’échelonnaient le long de la Boralde de Saint-Chély , boralde étant le nom générique des rivières de l’Aubrac qui alimentent la rive droite du Lot. L’acte de fondation de Terral remonte à 1312. Cette année-là, Hugues Cabrolié et sa femme Raymonde, habitants du château de Salgues, obtiennent du baron de Calmont, seigneur de cette région et maître des cours d’eau non navigables, l’autorisation de construire en ce lieu un moulin de 3 ou 4 meules. Le moulin, bien que propriété des Cabrolié, avait un caractère banal : les habitants des environs étaient tenus d’y faire moudre leurs grains. Au début, les meuniers ne logeaient pas sur place. Terral se développera particulièrement à partir de la seconde moitié du XVII° siècle, sous l’impulsion de la famille Bonal, alliée aux Cabrolié. On doit certainement à Pierre Bonal la construction de la maison d’habitation. À partir de cette époque les meuniers résident sur le site. En 1704, Jean, fils de Pierre, fait construire la grange-étable. Le moulin à huile verra le jour vers le milieu du XVIII° siècle. En 1765, l’implantation des bâtiments était celle que nous connaissons aujourd’hui. Sans enfants, les derniers Bonal vendirent Terral en 1764. La même famille avait tenu le moulin pendant 4 siècles et demi. C’en sera fini des grandes dynasties. Plusieurs meuniers se succéderont jusqu’en 1911, date d’abandon du moulin après le décès de son dernier occupant, Guillaume Bouldoire. Situé dans un environnement particulièrement humide, le moulin à huile va se délabrer peu à peu. Pendant la Seconde Guerre Mondiale, un feu mal maîtrisé embrase le moulin et détruit la toiture. Les murs ne tiennent plus et s’effondrent. Depuis 1998, l’association « Les Amis du Moulin de Terral » restaure le moulin. Ils ont déjà refait une partie des murs, reconstruit le toit, remis. . .
LA COUTELLERIE DE LAGUIOLEArtisanat
Avec plus de 15 couteliers, dont plusieurs ont été primés, la Coutellerie de Laguiole, entreprise familiale, est aujourd'hui le premier fabricant artisanal de couteaux de laguiole à Laguiole. L'entreprise Durand, c'est une histoire familiale, la passion du couteau : forge d'acier Damas, ciselage au burin, gravure Scrimshaw, sculpture des manches, abeilles forgées dans la masse comme autrefois, ... De par son expérience récompensée, notre atelier de Fabrication Artisanale vous propose des modèles classiques de prestige respectant l'histoire, les légendes et traditions de l'Aubrac. Les visites des ateliers guidées et commentées sont gratuites. Le Coutelier fabrique son couteau de A à Z et cela entièrement à la main. "Laguiole", un nom, une origine, une tradition non protégés. Le modèle de couteau Laguiole ainsi que le nom constituent un fabuleux héritage de nos ancêtres. Malheureusement, ces derniers ont oublié de le breveter dans les délais légaux. Au bout de 20 ans, tout produit tombe dans le domaine public. Le délai légal de protection est dépassé. Ce produit n'est plus protégeable. De ce fait n'importe qui peut marquer Laguiole sur n'importe quoi. De nos jours, c'est l'invasion par une multitude de produits très bas de gamme, marqués Laguiole, comportant l'abeille et tous plus authentiques les uns que les autres. De tous ces produits TRES BAS DE GAMME, aucun n'est fabriqué à Laguiole. Exigez l'authenticité et sachez que votre véritable couteau Laguiole doit être vendu avec son Certificat d'Authenticité et son Bon de Garantie sur lequel figurent : le nom, l'adresse et le téléphone du FABRICANT. A voir également : L'HISTOIRE DU COUTEAU DE LAGUIOLE LE MUSEE DU COUTEAU DE LAGUIOLE L'AUBRAC, UNE TERRE DE RENCONTRES Pour en savoir plus, nous vous proposons la visite du site officiel des couteaux de Laguiole. . .
EXPOSITION D'AURELE AU MUSEE DENYS PUECH DE RODEZCulturel
L’ART, C’EST LES AUTRES Cet été, la Ville de Rodez accueille l’artiste-plasticien Aurèle pour une exposition/intervention inédite et exceptionnelle. Du 25 juin au 30 septembre, sous l’impulsion du Musée des Beaux-Arts Denys-Puech et des services culturels de la Ville, Aurèle signe une oeuvre ouverte, participative et collaborative aux dimensions monumentales intitulée « L’Art, c’est les Autres ». L’exposition consiste en l’installation, la transformation en direct et l’exposition-parcours éphémère dans l’espace public de quatre sculptures – GiantLostDog – acheminées par bateau de Shanghai pour l’occasion. EXPOSITION DU 25 JUIN AU 30 SEPTEMBRE 2012 Vernissage le 13 juillet 2012 « L’Art, c’est les Autres » se déroule en deux phases : l’une participative, l’autre collaborative. Dans le cadre de la phase « participative » de ce projet, plusieurs dispositifs ont été mis en place. Ils ont pour but de faire participer l’ensemble de la communauté autour d’une question unique, chère à l’artiste, qui est: «Et vous, que voulez-vous transmettre aux générations futures?» Ces dispositifs sont les suivants : - l’ouverture d’une page Facebook et d’un flux Twitter où chacun est invité à déposer sa réponse à la question. - la création de «boîtes aux lettres» («LostDogBox») disposées un peu partout dans la ville de Rodez. - la réalisation d’un «micro-trottoir» («LostDogSideWalk») par un groupe de jeunes ruthénois où tout un chacun est invité à répondre à la question d’Aurèle. - l’affichage à travers la ville de posters représentant l’affiche originale du chien perdu d’Aurèle complétée par les messages de la communauté récoltés au cours de l’opération. - L’installation d’un micro-musée permettra de recueillir en direct les réponses des visiteurs à la question «. . .
MAISON DE LA PHOTO JEAN MARIE PÉRIER A VILLENEUVE D'AVEYRONCulturel
La Maison de la Photo présente l'exposition permanente Jean-Marie Périer. Environ 200 tirages originaux des années 60 et 70 sur un espace de 7 salles entièrement dédié à la photo dans une belle demeure médiévale de Villeneuve d'Aveyron. Découvrez les commentaires de l'auteur sur les prises de vues exposées, vous reconnaîtrez sans doute certaines de ces œuvres devenues classiques de l'âge d'or du rock. Le photographe Jean Marie Périer possède une maison sur le causse de Villeneuve. Il est un habitué de la place des Conques. Il y fait son marché, prend volontiers un verre ou un café en terrasse de bar, sous les arcades. Il apprécie l’authenticité des paysages, des gens qu’il rencontre ici et dont il fait le portrait, texte et photo, comme on a pu le découvrir dans ses publications du Villefranchois ou dans son livre «Loin de Paris» (édition Kéro), au milieu des clichés de stars. Il parle de ceux qu’il aime avec des images et des mots bien à lui. Et son langage photographique, appuyé sur la célébrité de ses modèles, a trouvé un écho international. Parce qu’il aime Villeneuve , Jean Marie Périer a pensé que ce serait une bonne chose d’exposer ses clichés signés dans le bâtiment laissé vide par la fermeture du Musée. La photo est un art puisque, avec une technique propre, elle fixe la vision d’un paysage, d’une scène ou d’un personnage et procure une émotion particulière. Mais Jean Marie réfute l’étiquette intimidante d’artiste : «Moi je pense que ça n'est pas de l'art, c'est du spectacle. Je refuse de prendre la posture artistique». Son spectacle, en tout cas, est largement apprécié: son expo récente à Toulouse a reçu 42000 visiteurs en deux mois et il est extrêmement sollicité par les médias. Les stars que Jean Marie Périer a photographiées durant des décennies ont connu un succès planétaire qui ne s’est pas démenti depuis 50 ans. Ils sont les témoins. . .
L'AVEYRON, LE DEPARTEMENT OU L'ON VIT LE MIEUX ?Culturel
Schématiquement, la France de la santé est coupée en deux : "surmortalité" au nord, où l'on meurt plus jeune et plus souvent de maladies liées à l'alcool et au tabac, et "sous-mortalité" au sud, notamment en Rhône-Alpes et dans le Sud-Ouest. Dans cette dernière région, "les traditions culturelles et les habitudes alimentaires se sont toujours traduites par de bons indicateurs de santé publique, analyse le Dr Françoise Cayla, directrice de l'Observatoire régional de la santé de Midi-Pyrénées. Et si les départements de l'Aveyron et de la Haute-Garonne obtiennent des résultats particulièrement remarquables, c'est parce qu'ils présentent les plus faibles taux de précarité sociale de la région". Une précarité synonyme de mauvaise santé. Pourtant, quatre départements franciliens, où la pauvreté côtoie la richesse (Val-de-Marne, Essonne, Yvelines et Hauts-de-Seine), parviennent à se hisser parmi les dix premiers de notre classement. Publié par L'Express le 18/06/2008 Les sources de L'Express : L'espérance de vie : en années, au 1er janvier 2002. Insee, 2008. La surmortalité : taux de mortalité liée aux comportements individuels (alcool, tabac, suicides et morts violentes), pour 100 000 habitants. Atlas de la santé en France, éd. John Libbey, 2000.
 
  Haut de page  
Hôtel du Lion d'Or - 12140 Entraygues-sur-Truyère
Tel : 05 65 44 50 01 - Fax : 05 65 44 55 43
E-mail : hotel.lion.or@free.fr
 
Copyright © HOTEL-LION-OR.COM 2025