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SON ET LUMIERE DE SEVERAC LE CHATEAU DU 26 JUILLET AU 2 AOUT 2024



BIENVENUE DANS LA COUR D’HONNEUR DU CHÂTEAU DE SÉVÉRAC LE CHÂTEAU
Les habitants du pays sévéragais sont heureux de vous proposer un spectacle qui présente 2000 ans d’histoire de leur région.

Un homme seul, sur un tabouret, Jean le Fol. Dans sa tête, de folles images se heurtent. Une plongée dans les siècles, dans les mémoires de Sévérac le Château, histoire d’une petite France.

Venez le suivre à la découverte du Sévérac d'hier à travers les méandres joyeux ou douloureux de l'histoire.


PRESENTATION
Le destin de Jean le Fol, un petit berger

«Je m'appelle Jean le Fol, depuis le jour où j'ai réveillé Bernard de Marseille, troubadour du XIIIème siècle victime d'un sortilège. Pour enfin gagner le repos éternel, il doit me conter les Mémoires de Sévérac. Moi, Jean le Fol, petit berger de l'Aveyron, je vous invite à partager les tragédies, les réjouissances et les liesses qui ont fait notre histoire».

Le déroulement du son et lumière

Dans la Cour d'Honneur du Château de Sévérac, les habitants du pays sévéragais offrent chaque été 1h40mn de spectacle qui met en scène l'histoire de leur région. Cette fresque historique se déroule autour de sept grands thèmes enchaînés, comportant chacun plusieurs scènes ou tableaux. Au total ce sont 25 scènes qui sont interprétées par 130 figurants, utilisant près de 300 costumes. Les acteurs évoluent sur une «bande son» ayant nécessité l'enregistrement de 40 voix. L'aire scénique se développe de part et d'autre des gradins ce qui permet aux spectateurs de se retrouver plongés au cœur même de l'action à quelques mètres des figurants.

33 000 spectateurs en 9 ans d'existence

Ce spectacle de qualité à la notoriété toujours croissante est un des temps forts des animations estivales en Aveyron.

Un spectacle qui a été revu à 25 % en 2005 pour sa dixième édition

«Jean le fol regarde le passé mais aussi l'avenir pour que vive ce petit bout de France dans le cœur de chacun». En raison des travaux de restauration qui ont été menés au-dessus de la chapelle du château, la configuration de l'aire scénique a été bouleversée. Par conséquent, un vent de nouveauté a donc soufflé sur la dixième édition, 25 % du scénario a été réécrit, réenregistré et des décors créés pour l'occasion. Plus qu'un lifting du spectacle, c'est un challenge qui a été relevé par les 170 bénévoles de l'association.


LE SPECTACLE
Introduction

Un homme, seul, sur un tabouret, Jean le Fol. Dans sa tête, de folles images se heurtent. Une plongée dans les siècles, dans les Mémoires de Séverac, histoire d'une petite France. «Je suis comme ces pierres car, comme elles, j'ai vu les bonheurs et les drames qui ont eu lieu sous ces murs fatigués. Acceptez de ne pas tout comprendre, car ce soir, le temps n'existe plus.» Et voilà, sorti d'un imaginaire malade ou d'une innocence d'enfant, un troubadour âgé de huit siècles, voix de la mémoire, il va nous guider dans les méandres joyeux ou douloureux du fleuve de l'histoire. «Suivez-moi à la découverte du Séverac d'hier pour que ce dernier rejoigne le Séverac d'aujourd'hui, et que transcendant les fils du temps, ils ne fassent plus qu'un.»

Ruthènes et Rome

Une lente mélopée s'élève sous les arbres centenaires. S'allument maintenant les torches du passé, jetant un éclat fantastique sur la défaite gauloise face aux légions romaines. «L'avenir des Ruthènes, s'il veut être radieux, se fera à l'ombre de l'aigle romain. La force et le droit ont désormais un nom : Rome.» La défaite a amené la paix. Sur la butte de Séverac, campe Séverius. Mais Gaulois et Romains se fondent en une harmonieuse civilisation, se nourrissant au sein de la paix romaine. Il n'est pas besoin de glaive et de légions. Le commerce prospère. C'est l'heure de la Graufesenque.

Germains et Francs

Mais les siècles de paix meurent trop vite. L'aigle romain repu de sa trop grande gloire, vacille sous les coups répétés de jeunes nations barbares, avides de terres et de richesses. «Ils portent la flamme de la mort sous le pas de leurs chevaux. Fuyez, fuyez devant les wisigoths !»

Fondation

«Ces moments-là sont flous et se devinent juste», mais le fer du glaive s'incline devant la croix. Le christianisme reprend le flambeau de la civilisation que Rome avait laissé choir à terre. Ce sont les siècles de fondation de la France.

Enterrement

Le pouvoir est assis en haut, sur la butte fortifiée qui domine Séverac. Le seigneur mort, c'est la sécurité qui chancelle. Mais l'espoir se lève avec l'adoubement du fils, portant le nom de son père, il en reprend l'épée «et deviendra par là-même apte à diriger le domaine».

Entraînements

Défilent les heures de l'enfance et le rude apprentissage du jeune seigneur. Le latin, l'art équestre, le maniement de l'arc, de l'épée, de la masse d'armes. Elle est rude l'éducation des hommes de fer que sont les chevaliers.

Adoubement

L'heure de la maturité enfin. Le genou fléchit, l'épée se pose sur la jeune et ferme épaule, les lances et heaumes brillent, reflétant la flamme des torches. L'écuyer se baisse, se lève le chevalier.

Les impôts

Les vassaux ont juré fidélité, et maintenant les paysans s'acquittent des redevances seigneuriales, prix de la sécurité et d'un pacte commun.

Le luth

Les soirs dans la grande salle seigneuriale sont marqués par les troubadours et jongleurs de passage, qui évoquent, dans des chansons enflammées, le sort des croisés en Terre Sainte et les thèmes de l'amour courtois. «La nuit venue, sur les remparts et les tours, les soldats veillent. Ils scrutent l'horizon pour y chercher un hypothétique danger. Mais ce soir-là, le vent est doux et il apporte l'air embaumé des champs[...]ce soir Jean, c'est un troubadour qui chante l'amour, la jeunesse et le printemps. Il est le représentant de l'amour courtois, image du pays d'Oc. Séverac est en paix.»

Déodat de Caylus et Simon de Montfort

Déodat de Caylus, seigneur de Séverac, dit le cathare. Par ses méfaits, il s'attire les foudres des barons du Nord guidés par Simon de Montfort. L'orgueil aveugle Déodat qui méprise l'envoyé des croisés. «Le ciel te pardonne, Déodat de Caylus, Montfort saura te faire plier le genoux».

Combat et Reddition

C'est le choc des armes, le tintement clair des épées, le râle des mourants. Séverac est attaqué, Séverac affamé se rend. «N'oublions pas de dire que par la reddition de ce vieux château, la paix et le repos furent ramenés dans tout le pays, ce dont Dieu doit être loué grandement».

La Lèpre

«Malheureusement, les croisés avaient rapporté d'orient le mal terrible de la lèpre, qui sévit de manière endémique en Rouergue». Retentit le bruit aigrelet des crécelles, le signe de la croix descend sur le pauvre corps défiguré. Les hôpitaux existent à Sévérac. Ils oeuvrent bien, tenus par les moines bénédictins.

Amaury de Sévérac

Entre Anglais et Français, la France est déchirée pour cent ans. A Séverac, un homme se lève, pour la postérité et la prospérité : Amaury de Séverac. «Si dans certains coins de France règnent la division, la peur et la famine, Séverac voit la création de grandes foires et marchés, grâce à son seigneur Amaury de Séverac. Regarde Jean ! Ce soir, le grand Amaury, Maréchal de France, donne une fête en son château à l'occasion de la Saint-Jean. Va petit, va mettre la vie à cette scène d'espérance.»

La vie laborieuse

Le château de Séverac passe de famille en famille, mais la vie ne change pas. On retrouve les moissons, les semailles mais aussi toute une vie commerçante, originalité de Séverac. «Recommencent les gestes perpétuels, signes de subsistance. Les prières montent vers les cieux alors que le regard tombe dans le sillon d'une terre qui toujours se mérite. La vie sans cesse donnée et reprise dans une unique offrande. C'est la vie de Séverac, de Lapanouse, deLaverhne et Recoules, de Buzeins et Saint-Grégoire, de Bellas et d'Altès, pour des siècles».

La lettre

Mais une bourrasque de haine soulève le pays. La religion est sortie de son lit et a emporté le pouvoir dans une lutte que l'on nomme guerres de religion. La femme est là, dans sa chambre vide. A la lumière d'une chandelle vacillante, elle écrit à son fils les sanglantes nouvelles. «le vent souffle fort depuis plusieurs jours. C'est comme s'il soufflait aussi dans les crânes et dans les âmes.»

Jean IV

A Séverac, c'est le temps de Jean IV. Sorti d'outre tombe, ruiné par le remords, ce triste sir nous raconte ses exploits et massacres de prêtres. «La mort, je marchais avec elle. J'étais son meilleur serviteur. Ils ont tous été exécutés, et leur souvenir hante encore ma mémoire.»

Massacres

A Béziers, ce sont les catholiques qui sont massacrés. A Paris, ce sont les protestants. Une lumière aveuglante se porte sur ces victimes désarmées, poursuivies par les lames impitoyables.

La veillée

Ténue dans le foyer, la flamme se lève et éclaire la veillée. Scène mémorable des campagnes rouergates, la veillée, à Sévérac, dépasse les siècles. «Et là, autour de la braise flamboyante, ce sont les décennies qui s'effacent. Visages figés par le temps, visages rieurs des enfants».

Louis d'Arpajon

S'il est bien un personnage qui permet à Séverac d'allier l'histoire de France à l'histoire locale, de mêler histoire vraie et légende, c'est Louis d'Arpajon. Deux dames de la cour de France en discute avec un vicomte prétentieux, lequel porte ombrage à la réputation du duc d'Arpajon. Surgit alors de l'ombre un improbable personnage, héros littéraire et véritable écrivain, ce personnage au grand nez va défendre l'honneur bafoué de Louis d'Arpajon.

Le rêve

Mais, Louis d'Arpajon traîne une sombre macule. Réelle ou fabulée, elle est entrée dans les mémoires. "Lorsque la nuit tombe et que le sommeil apporte le repos au commun des mortels, il refait le même vilain songe. A travers la plainte lancinante du vent, il lui semble entendre une voix douce qui l'appelle. Alors, il voit une grande dame tout de blanc vêtue. Elle erre dans le château comme une âme en peine". C'est le spectre de sa première épouse, Gloriande de Thémines, qui hante ses nuits. Cette femme qu'on disait infidèle, il l'a fait assassiner.

Le meurtre

«Arrivée au cœur de la noire forêt, le cortège fait halte. Gloriande, doucement, se tourne vers Louis, et déjà, du regard lui pardonne. Lui, insensible, d'un geste, demande au chirurgien masqué, bourreau complice, d'accomplir son travail.»

L'incendie

«A partir de la mort de Louis d'Arpajon, les seigneurs de Séverac n'habitèrent plus au château. Seul y demeurait un personnel peu nombreux. Tu vois la faible lumière à la fenêtre ?Il ne reste q'une étincelle de vie. Sans les hommes, le château n'est qu'un corps sans âme. Par deux fois au dix-huitième siècle, la foudre a mis le feu à sa vieille charpente.»

La Révolution Française

Le royaume était sûr et les châteaux n'étaient plus que les vestiges inutiles des temps où leurs propriétaires protégeaient la population. La Révolution éclate dans un ciel plein d'espoir. Mais les sévéragais, comme les aveyronnais, sont attachés à leur foi. Si les premières mesures déclenchent la joie, les lois antireligieuses fondent le creuset d'une insurrection.

La bataille de Lapanouse

«Bientôt, les insurgés sont au nombre de quatre mille, mais ils sont mal armés. Un certain Unal se met à leur tête et ils veulent marcher sur Séverac. Huit cents hommes de Millau pour secourir la ville menacée. Se jugeant assez forts, avec des commissaires du département à leur tête, ils décident de passer à l'offensive. Nous sommes le 21 mars 1793.» Le roulement de tambour noue les gorges inquiètes mais résolues. Les troupes sont en place. Le tambour se tait. La clameur monte pour se donner du courage et le feu roulant s'ouvre, culbutant les corps laissés sans vie.

Unité

La Terreur est maintenant à l'ordre du jour. La spirale de la violence secoue tous les liens ancestraux. Mais «La vie de chaque homme apporte sa pierre à la mémoire collective. Trésor inestimable, c'est une histoire sacrée. Quel que soit leur camp, les morts de Séverac ont rejoint dans nos mémoires la grande cohorte des Séveragais qui ont fait l'Histoire ».

Conclusion

Le troubadour a transmis les mémoires de Séverac à Jean le Fol. Il peut se rendormir à jamais laissant aux spectateurs d'un soir un dernier conseil : «et vous gens d'Aveyron et d'ailleurs, merci d'être venus. Cherchez votre Séverac. Peut être y trouverez vous une flûte pour vous conter l'ancien temps. Car il y a toujours dans le passé des raisons d'espérer. Dans une dernière farandole, les sévéragais vont quitter la scène pour entrer dans l'Histoire».


Plus d'infos sur le site : Son et lumière de Sévérac le Château
Spectacle de son et lumière de Sévérac le Château
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Spectacle de son et lumière de Sévérac le Château
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