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Actualités en Aveyron
AUBRAC, LE PARADIS DES MARCHEURS
Beaux villages
Aubrac, à 1350 m d’altitude, tire son nom de «Alto Braco», qui veut dire «lieu élevé». Malgré cette position que l’on pourrait croire peu favorable, son histoire est riche en rebondissements. A l’aube du XIIème siècle, le plateau de l’Aubrac était livré à une exploitation pastorale plus ou moins incontrôlée. La conséquence en était un appauvrissement général, se traduisant par la présence de landes relativement désertes. La légende dit que l’on y trouvait surtout des voleurs et bandits. Ceux-ci détroussaient les pèlerins venant du Puy-en-Velay et qui utilisaient l’ancienne voie romaine appelée Via Agrippa, menant Lyon à Bordeaux et Toulouse, en passant par Javols, en terre de Peyre, et Rodez , pour se rendre au sanctuaire de Saint-Jacques de Compostelle en Espagne. Ce pèlerinage avait pris un essor dès le Xème siècle. Les difficultés liées au climat et à l’insécurité de la traversée du plateau, conduisirent un dénommé Adalard d’origine flamande à fonder vers 1120, au voisinage le plus élevé, un monastère hôpital destiné à accueillir, servir et soigner toutes sortes de gens passant par là. Un puissant asile se développa rapidement. Les multiples aléas de l’histoire le déferont et le reconstruiront. La révolution française démantèlera cet ensemble colossal. L’ampleur de l’hospitalité permettait de distribuer jusqu’à 5 000 pains par jour et d’héberger simultanément 500 personnes. Pour assurer une telle intendance, la Dômerie gérait une multitude de granges et métairies alimentant cette maison, suivant la charte de la fondation. Avec Roncevaux dans les Pyrénées, Aubrac est un des rares exemples d’hospitalités de ce genre, « le Saint Bernard de la France » Chateaubriand. Malheureusement, les nombreuses destructions ont laissé peu de vestiges. On pourra cependant admirer le style de l’église de Notre Dame des Pauvres, de la Tour des Anglais ou de la maison des gardes forestiers. Outre les vestiges de la Domerie, on peut visiter. . .
PLUS BEAUX VILLAGES DE FRANCE : L'AVEYRON N°1 NATIONAL
Beaux villages
Le label des « Plus beaux villages de France » a été crée en 1982 par Charles Ceyrac, maire corrézien de Collonges-la-rouge, et regroupe aujourd’hui 149 villages en France – dont 10 en Aveyron – au terme d’une sélection stricte. Pour se voir décerner l’appellation, un village candidat doit en effet souscrire à plusieurs engagements : - Compter moins de 2000 habitants - Posséder 2 monuments classés - Disposer d’un patrimoine et d’un environnement de grande qualité. L'Aveyron, premier de sa classe, compte 10 villages labellisés : Belcastel , Conques , Estaing , St Côme d'olt , Ste Eulalie d'olt , Najac , Sauveterre , Brousse-le-Château , Peyre et La Couvertoirade . L'Aveyron, territoire préservé et chargé d'histoire saura vous séduire...
CRESPIN ET LE PONT DE CIROU DANS LA VALLEE DU VIAUR
Beaux villages
La commune de Crespin a une superficie de 1835 hectares et compte environ 300 habitants, cette population fait plus que doubler en été du fait des résidences secondaires. Bien que située sur le Canton de la Salvetat Peyrales les flux d’échanges se font essentiellement vers Naucelle situé à 5 km. La Vallée du Viaur marque fortement la morphologie et aussi la culture de la commune, de même que sa proximité avec l’axe RN88 est un atout incontestable. La commune est traversée de part en part sur 15 km par la RD58 sur laquelle sont situés 3 villages principaux : Crespin, Lespinassole au centre de la Commune et le Pont de Cirou au bord du viaur et du département du TARN. Une quinzaine de petits hameaux composent également la Commune. La Commune comprend deux paroisses avec deux églises. Le prieuré de Crespin dépendait de l’abbaye de la Chaise Dieu et il est fort probable que les religieux de cet ordre en soient les fondateurs au 15ème siècle. Lespinassole était le prieuré de Notre Dame, église qui fut construite en 1416.
Histoire
La commune de Crespin écrit son histoire sur les traces de son citoyen le plus célèbre, l'écrivain occitan Jean Boudou (1920-1975). L'auteur qui repose au cimetière du village, laisse derrière lui une oeuvre considérable qui fit dire à Georges Kremnitz un universitaire allemand : « Boudou est l'un des écrivains majeurs du monde moderne. S'il avait écrit dans une langue dominante, il serait aujourd'hui connu de partout ». Auteur de contes ayant pour cadre la vallée du Viaur natale, Jean Boudou écrivit aussi des romans et des poèmes. Afin de vulgariser son oeuvre, les éditions du Rouergue ont entrepris de traduire en français l'intégralité de ses écrits.
Légende
Selon la légende, la source du roc de Lespinassole ne coule que vers minuit la nuit de la saint-Jean.
Sites naturels
Panorama sur la vallée du Viaur à partir du Bouissou Site du pont de Cirou au bord du Viaur.
Spécialités
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SALLES LA SOURCE
Beaux villages
Le village de Salles la Source porte bien son nom. En effet, il est bâti au milieu de multiples sources qui se recoupent pour former des cascades en plein centre de la ville. L'une d'entre elles fait plus de 20 mètres ! Autrefois, la force de l’eau était utilisée pour activer moulins et filatures. Aujourd’hui la rivière souterraine est exploitée … par EDF. Cette ancienne possession des comtes de Rodez s’étend sur trois niveaux le long d’une falaise calcaire. Dans la partie basse du village, le quartier du Bourg, se trouve l'église romane Saint Paul du 12ème siècle. Cette église est le seul édifice en bon état rappelant l'époque romane, avec son magnifique clocher octogonal. En mémoire de son passé, la cité abrite dans la partie haute du village et ce dans une ancienne filature de plus de 2000m2 le Musée des Arts et Métiers traditionnels du Rouergue.
SAINT CIRQ LAPOPIE UN SITE MAJEUR DE LA VALLEE DU LOT
Beaux villages
Située à 30 km à l'est de Cahors au cœur du Parc naturel régional des Causses du Quercy, Saint-Cirq Lapopie classé parmi les plus beaux villages de France est aussi une halte sur les chemins de St Jacques de Compostelle. Surplombant le Lot de près de 100 m de haut, Le village fut partagé au Moyen âge entre quatre dynasties féodales, les Lapopie, les Gourdon, les Cardaillac et les Castelnau. De ce fait, plusieurs châteaux et maisons fortes constituaient le fort de Lapopie et dominaient le village. Les rues de St Cirq Lapopie ont conservé de nombreuses maisons anciennes dont les façades en pierre ou en pans de bois datent pour la plupart du XIIIè au XVIè siècles. Etroites, elles sont caractérisées par leur toit de tuiles plates, à fortes pentes ... Histoire Il est vraisemblable que l'occupation de cet escarpement rocheux surplombant la rive gauche du Lot, face à un cirque de falaises, a tenté les hommes dès l'époque gallo-romaine. La terre de Saint-Cirq appartenait à la famille de Cardaillac. En 1229, Bertrand de Cardaillac rendit hommage à Raymond comte de Toulouse pour cette terre. Un de ses descendant, nommé lui aussi Bertrand, reçut en 1395 le château et la terre de Saint-Cirq. Il fut la source des barons de Cardaillac-Saint-Cirq. Plus tard, trois familles se partagèrent la seigneurie. Cette triple seigneurie ne fut pas sans poser quelques problèmes lors de la croisade contre les Albigeois : • Les Cardaillac se rallièrent au comte de Toulouse, • Tandis que les La Popie et les Gourdon s'allièrent à Simon de Montfort. • En 1251, un des seigneurs, Bernard de Castelnau, fut condamné par l'inquisition à la prison perpétuelle pour avoir favorisé les hérétiques. Pendant la guerre de Cent Ans, Hugues IV de Cardaillac fut dans le camp français, il fut un grand technicien de l'artillerie. En 1471, Louis XI fit démanteler le château de Raymond de Cardaillac qui avait pris parti contre lui en faveur du duc de Berry dans. . .
LIVINHAC-LE-HAUT, ENTRE ROUERGUE ET QUERCY
Beaux villages
Livinhac le haut est un village de l'Aveyron, situé à 5 kilomètres de Decazeville , au nord ouest du département, dans la région Midi Pyrénées, entre Rouergue et Quercy.
Origine du nom Livinhac le haut :
C'est à partir d'un nom gallo-romain Lévinius que se serait formé le nom Livinhac à travers les âges. La « villa » (ou le domaine) s'appelait alors Levianiacum. Le suffixe « ac » est l'héritage gaulois « accos », latiné en 'acum. En 949, notre village portait le nom Léviniago dans le cartulaire de Conques. L'orthographe de notre village, s'est écrit aussi Lévignac (avant la Révolution). La désignation le « haut » fut ajoutée pour différencier notre village avec Livinhac le bas, en aval de Capdenac , lui aussi sur le Lot. Lieux et Monuments Le Bournac est aussi d'origine gallo-romain (Burnacum : du gaulois Burnus), à voir aussi le lieu dit Chaunac. Le lieu dit Marcenac tient son nom des seigneurs, venus du nord de l'Aveyron. Ces terres s'appelaient avant 1328 : Sahuguière. Histoire locale Les trois principaux seigneurs sont le Prévôt de Conques , le Seigneur de Monmurat et le seigneur de Marcenac. Quelques seigneurs comme ceux de Boisse, de Bouillac, de Molynerie possédaient quelques biens sur notre commune. Avant 1780, notre village s'étendait au delà du Lot sur la rive gauche ; les lieux dits, le Mas de Parras, Revignette, La vitarelle, Cahuac, St Roch, Bousquiés, le Roustit faisaient partie des 23 hameaux qui étaient séparés par le Lot de notre paroisse. C'est après un triste accident survenu en traversant le Lot , sur un bac et sur la requête des habitants que fut érigé une nouvelle paroisse à St Roch, ainsi Livinhac se séparât de ses hameaux rives gauches. Les limites de notre commune s'arrêtait alors en longeant le Lot : en amont, au Roc de Gerle et en aval au Four Haut. Quelques années plus tard, les hameaux comme Le Four Bas, Montjaux, Penchot, Laroque Bouillac, Lissartel furent rattachés. . .
PEYRELEAU A LA CONFLUENCE DES VALLEES DU TARN ET DE LA JONTE
Beaux villages
Petit village situé aux confins du Rouergue et du Gévaudan, Peyreleau, anciennement Petralevi, est construit autour d’un éperon rocheux, lui-même surmonté d’une tour (à l’emplacement de l’antique château aujourd’hui disparu), à la confluence des vallées du Tarn et de la Jonte , séparant la Lozère de l’Aveyron, dans un des lieux les plus touristiques des gorges et des causses. Entouré par les communes de Le Rozier, Saint-André-de-Vézines et Mostuéjouls, Peyreleau est situé à 15 km au Nord-Est de Millau la plus grande ville des environs. Situé à 440 mètres d'altitude, La rivière le tarn , la rivière la jonte , le Ruisseau des Arzioles sont les principaux cours d'eau qui traversent la commune de Peyreleau. Peyreleau est une commune du parc naturel régional des Grands Causses. C’est au terme d’un arrêté de Monsieur le Ministre Secrétaire d’état de l’éducation Nationale, inventaire des sites, en date à Paris du 14 février 1944, que la tour et l’ensemble du vieux village de Peyreleau ont été inscrits sur l’inventaire des sites dont la conservation présente un intérêt général. La chapelle octogonale et une partie des balustres et des arcades de la cour d’honneur du château du Triadou sont protégées au titre des monuments historiques (inscrits ISMH par décret du 12 mai 1944).
LIEUX ET MONUMENTS
Le château de Triadou
Cette demeure fut construite à partir de 1470 et habitée dès juillet 1479 par Pierre II d'Albignac, seigneur de Triadou, et son épouse Flore de Capluc, fille de Guillaume de Capluc et sœur de Louis de Capluc par qui le jeune couple reçut en dotation la moitié des terres dont Peyreleau faisait partie. Le terrain choisi pour la construction du château était la propriété des moines du Rozier, de l'abbaye d'Aniane. Avant de s'installer à Peyreleau, c'est au château de Mostuéjouls que siégeaient les seigneurs d'Albignac. Malgré l'importance des travaux engagés, le Triadou restera. . .
ESTAING : HISTOIRE D'UNE FAMILLE
Beaux villages
Village médiéval classé et protégé par les Monuments Historiques (château du XV°, pont gothique du XVI° classé au patrimoine mondial de l'UNESCO, église du XV°, chapelle du XII°), Estaing fait partie des 149 « plus beaux villages de France », et constitue également une des grandes étapes sur le chemin central du pèlerinage de Saint Jacques de Compostelle. Estaing est aussi le point d'origine d'une des grandes familles de l'Histoire de France, qui a donné des représentants illustres à l'Etat, à l'Armée et à l'Eglise pendant près de 10 siècles, avant de disparaître à la Révolution.
Un des plus beaux villages de l'Aveyron
Cité médiévale des plus pittoresques située dans le nord de l'Aveyron, Estaing se positionne à l'entrée des gorges du lot, au pied des monts d'aubrac , et offre un paysage de terrasses. Le bourg d'Estaing, est juché au détour d'un chemin, sur un éperon rocheux. En son centre, la masse imposante du château et son fier donjon carré, rappelle l'importance qu'a tenu cette bourgade au fil des siècles. Si l'on commence à voir apparaître le nom d'Estaing dans de vieux parchemins vers 890, ce n'est qu'après l'an mil que l'histoire retiendra le nom de ce village. Grâce notamment à tous les seigneurs qui porteront haut et loin le nom de la cité. Les d'Estaing participèrent en effet aux destinées du royaume et de l'eglise, jusqu'en 1789. Chevalier, cardinal, évêque, vice-amiral : autant de figures de cette illustre famille qui ont posé leurs empreintes sur leur époque et sur l'Histoire. L'église Saint-Fleuret construite sur les vestiges d'un prieuré roman du XI° siècle, date du XV°. Dédiée à Saint-Fleuret , patron de la ville, ancien évêque de Clermont, mort à Estaing en 620. L'église renferme ses reliques. Découvrez le pont gothique d'Estaing avec la statue de François d'Estaing, évêque de Rodez , qui fit construire le pont de 1501 à 1529. Sur le pont, un symbole aveyronnais majeur,. . .
SENERGUES, DERNIERE ETAPE POUR LE PELERIN DE ST-JACQUES DE COMPOSTELLE
Beaux villages
Situé sur un plateau granitique, Sénergues constitue la dernière étape pour le pèlerin de St-Jacques de Compostelle avant de descendre vers Conques . Cette commune est, de nos jours, le résultat de la fusion, en 1791, de trois paroisses : celle de Sénergues, celle de Notre Dame d'Aynès-Montarnal-Lagarde et celle de Saint Sulpice-Pomiès. La commune offre un cadre des plus agréables : la forêt départementale de la Borie apparaît comme un paradis pous les randonneurs et la vallée du lot réserve au voyageur la découverte de nombreux sites pittoresques. Sénergues possède cinq églises et chapelles ouvertes au public, neuf cloches (dont celle de Montarnal jugée comme la plus ancienne du Rouergue, voire du sud-ouest), quatre châteaux ou logis castraux (on remarquera que le château de Sénergues appartient depuis toujours à la même famille), la trace de dix-huit moulins.
Voir aussi notre article : La Ferme des Autruches à Sénergues
COUPIAC, LA VIE QUOTIDIENNE AU MOYEN AGE... DANS LE SUD AVEYRON
Beaux villages
Coupiac se trouve dans le sud Aveyron à 50 kilomètres d'Albi et à 65 kms de Millau , de Rodez et à quelques minutes de la vallée du Tarn. Ce petit bourg (population environ 350 habitants) est le chef-lieu de la Communauté de Communes des Sept Vallons, région de production du lait de brebis pour la fabrication du Roquefort dont les caves se trouvent à une cinquantaine de kilomêtres. Les points forts de ce petit coin de la France profonde est sa verdure, sa tranquillité, ses activités touristiques et... Le Château ! Ce village médiéval est dominé par son puissant Château inscrit des XIVe, XVe et XVIe siècles. A ne pas manquer non plus dans ce site dominant la vallée du Mousse, l'église Notre Dame de l'Assomption avec son tympan roman du XIe siècle. La chapelle Notre Dame du St Voile du XIXe siècle avec sa relique du voile de la vierge, le musée rural du bois et le lavoir du Telon, sont aussi des richesses architecturales rurales à découvrir. L'histoire de Coupiac se confond avec celle de son Château (14è siècle), ancienne possession des Comtes d'Armagnac. Gothique flamboyant dans son ensemble, le Château, imposant par ses dimensions, s'élève sur un roc au centre du village. Vous pourrez le découvrir au cours d'une visite guidée, assister aux animations et visiter les expositions du moment. Hébergeant le Syndicat d'Initiatives des 7 Vallons, le Château est le point de départ de la découverte de la commune. guidé par les hôtesses, vous pourrez visiter l'église, connaître l'histoire du tympan, découvrir la chapelle du Saint Voile et sa légende (ancienne chapelle du château décorée par les fresques Néobyzantines de Nicolas Greschny). En flânant au travers des ruelles du bourg, sur la place du centre, en longeant la façade de la maison Marty, le lavoir du Telon vous émerveillera. Plus loin, le Musée de la Marionnette vous émerveilera par son incroyable collection. A quelques 300 mètres en direction de Montclar, vous visiterez le musée. . .
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