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Actualités en Aveyron
LIVINHAC-LE-HAUT, ENTRE ROUERGUE ET QUERCY
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Livinhac le haut est un village de l'Aveyron, situé à 5 kilomètres de Decazeville , au nord ouest du département, dans la région Midi Pyrénées, entre Rouergue et Quercy.
Origine du nom Livinhac le haut :
C'est à partir d'un nom gallo-romain Lévinius que se serait formé le nom Livinhac à travers les âges. La « villa » (ou le domaine) s'appelait alors Levianiacum. Le suffixe « ac » est l'héritage gaulois « accos », latiné en 'acum. En 949, notre village portait le nom Léviniago dans le cartulaire de Conques. L'orthographe de notre village, s'est écrit aussi Lévignac (avant la Révolution). La désignation le « haut » fut ajoutée pour différencier notre village avec Livinhac le bas, en aval de Capdenac , lui aussi sur le Lot. Lieux et Monuments Le Bournac est aussi d'origine gallo-romain (Burnacum : du gaulois Burnus), à voir aussi le lieu dit Chaunac. Le lieu dit Marcenac tient son nom des seigneurs, venus du nord de l'Aveyron. Ces terres s'appelaient avant 1328 : Sahuguière. Histoire locale Les trois principaux seigneurs sont le Prévôt de Conques , le Seigneur de Monmurat et le seigneur de Marcenac. Quelques seigneurs comme ceux de Boisse, de Bouillac, de Molynerie possédaient quelques biens sur notre commune. Avant 1780, notre village s'étendait au delà du Lot sur la rive gauche ; les lieux dits, le Mas de Parras, Revignette, La vitarelle, Cahuac, St Roch, Bousquiés, le Roustit faisaient partie des 23 hameaux qui étaient séparés par le Lot de notre paroisse. C'est après un triste accident survenu en traversant le Lot , sur un bac et sur la requête des habitants que fut érigé une nouvelle paroisse à St Roch, ainsi Livinhac se séparât de ses hameaux rives gauches. Les limites de notre commune s'arrêtait alors en longeant le Lot : en amont, au Roc de Gerle et en aval au Four Haut. Quelques années plus tard, les hameaux comme Le Four Bas, Montjaux, Penchot, Laroque Bouillac, Lissartel furent rattachés. . .
LE PAYS DE SALLES-CURAN, ENTITE PAYSAGERE DU LEVEZOU
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Salles-Curan est une commune touristique et rurale de 1.100 habitants, chef-lieu de canton, située au centre du département de l’Aveyron , entre Rodez et Millau. Elle s’étend sur un territoire de 9.390 hectares et appartient à l’entité paysagère du Lévézou , haut plateau cristallin vallonné dont l’altitude varie entre 800 et 1.000 mètres et qui culmine au Puech del Pal à 1155 mètres. C’est une région d’économie essentiellement agricole, d’élevage ovin et bovin. La commune est constituée de nombreux villages et hameaux , dont les plus importants sont Bouloc, Les Canabières et une partie de St Martin des Faux. Le canton de Salles-Curan est constitué des communes d’Alrance (417 hab.), Curan (302 hab.), Salles-Curan et Villefranche de Panat (762 hab.). Salles-Curan se trouve à proximité du lac de Pareloup , 5ème lac de France de par sa superficie qui est de 1.260 hectares et plus grand lac de Midi-Pyrénées. La proximité du lac de Pareloup , et de 107 km de berges, fait de Salles-Curan une station touristique pour les amoureux de sport nautique et de nature. Ce lac fait partie d'un aménagement hydraulique, créé par EDF, de 5 lacs qui alimentent une importante centrale hydro-électrique située sur le Tarn, au Truel.
A de multiples égards le lac de Pareloup s’avère un paradis pour :
La pêche pratiquée depuis les berges ou en embarcation.
Le nautisme à voile où le vaste plateau découvert assure aux voiliers et véliplanchistes une pérennité de vents.
Le mononautisme, favorisé par la grande dimension du plan d’eau.
La forêt est également présente sur le territoire avec, en particulier, les massifs de La Grave (50 ha) et du Bastit (161 ha), composés essentiellement de feuillus et de résineux. Lieu chargé d’histoire lié aux évêques de Rodez , Salles-Curan possède un riche patrimoine, dont trois monuments remarquables : le château des évêques, l’église collégiale du XVème. . .
PEYRUSSE LE ROC, VILLAGE MEDIEVAL DE L'AVEYRON
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L'ampleur et la splendeur de ce Site Médiéval donneront aux visiteurs des sensations inoubliables : la sévérité des murailles contraste avec la beauté et la luxuriante végétation. Le site vous révélera un univers inchangé depuis le XVIIIème siècle. Le château se dresse sur un piton rocheux et surplombe la rivière de l'Audierne qui coule dans la vallée encaissée. Il ne reste seulement aujourd'hui que ces deux tours qui semblent toujours fouiller impérieusement l'horizon. Du haut du Roc, il vous sera aisé de comprendre la disposition d'un habitat qui comptait 700 maisons au XIIIème siècle. Toujours du même lieu, vous pourrez apprécier l'étendue des 10 hectares de Pétrucia avec ses monuments moyenâgeux accessibles grâce au chemin balisé qui vous conduira vers les différentes bâtisses. Lorsque vous atteindrez le fond de la vallée, il vous suffira de longer la rivière de l'Audieme qui s'écoule entre les rochers dans un environnement pittoresque recelant des curiosités séculaires tel que le remarquable pont du Paraire. Vous admirerez le caractère monumental qui évoque la hardiesse des bâtisseurs dont les œuvres se délitent. Ce lieu mythique parvenu jusqu'à nous fut une cité prospère, chef-lieu d'un bailliage important au XIIIème siècle qui étendait sa juridiction sur une centaine de paroisses en Rouergue. Elle fut, pendant cette période, gouvernée par le procureur du Roi et ses quatre consuls. En 1719, Peyrusse perdit son titre de chef-lieu de Bailliage Royal. Malgré des siècles d'abandon, Pétrucia conserve ses principaux monuments en place. La végétation l'a protégée des destructions habituelles. Son Roc tutélaire signalera jusqu'à la fin des temps, les lumières et les ombres de la ville qui ne veut pas mourir. HISTOIRE : Contrairement à une légende locale qu'on retrouve dans d'autres villages de France, Jules César n'a jamais parlé de Peyrusse. Pépin le Bref, après la diète de Bourges, chercha à se rendre maître de la personne. . .
VIALA-DU-PAS-DE-JAUX, VILLAGE TEMPLIER DU LARZAC
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A quelques lieues de la commanderie en remontant sur le plateau, en direction de Roquefort , sur la vaste lande du Larzac se découpe dans le ciel la fière Tour du Viala. C'est en effet de très loin, en venant de Sainte-Eulalie , que l'on aperçoit au-dessus de l'horizon, l'imposante tour grenier des chevaliers hospitaliers du Viala du Pas de Jaux. Le site du Viala du Pas de Jaux fut acquis par donation à l'ordre religieux des Templiers dès 1150. ("Jaux" vient du latin "jovis" : Jupiter). Il s'agissait d'un domaine agricole important, au milieu duquel se trouvait un ensemble d'habitations et de défenses rattaché à la Commanderie de Sainte-Eulalie-de-Cernon. La tour carrée, de 27 m de hauteur, la plus grande tour grenier construite sur le Larzac (vers 1430), a été la première fortification élevée pour emmagasiner les redevances en nature, en particulier les grains. Elle avait pour vocation de protéger les habitants du Viala, qui, parce pas assez nombreux, n'ont pu construire de remparts, et se trouvant trop éloignés de Sainte-Eulalie ont construit avec l'accord du commandeur, ce puissant refuge. Tous pouvaient y trouver place en cas de besoin, et mettre à l'abri leurs biens les plus précieux et leurs animaux dans un enclos. Elle servit aussi à abriter la population du Viala pendant la guerre de Cent ans. Une couronne continue de mâchicoulis donne à cette "vigie" une physionomie guerrière. Il est possible d'accéder au sommet de cette tour, en cours de restauration, pour jouir d'un vaste panorama : à proximité terres cultivables et au lointain terres de parcours. L’église est construite vers 1315. Vers 1430, les habitants du village obtiennent le droit d'ériger une tour-grenier pour se protéger des pillards, Sainte-Eulalie-de-Cernon étant trop éloignée. Tour hospitalière du XVe siècle est la plus haute et la plus importante tour-grenier du Larzac , 27 mètres de haut, couronnée d'un mâchicoulis. Un logis des chevaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem. . .
CASSAGNES COMTAUX - GOUTRENS
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Le village de Cassagnes-Comtaux offre une vue imprenable sur la vallée de Clairvaux et sur une partie du vignoble AOC de Marcillac. Sur la commune de Goutrens, à proximité du village de Cassagnes-Comtaux, se trouve le site archéologique du dolmen de la Serre qui a été inscrit en tant que monument historique en 1994.
Histoire & Patrimoine de Goutrens
L'ancien chef-lieu de la commune était Cassagnes-Comtaux. A la suite d'une longue dispute entre ce village et celui de Goutrens, la commune fut appelée Cassagnes-Goutrens, puis le 17 avril 1917 Goutrens (nom de type germanique : goth (peuple) et en occitan : Gotrens). Le prieuré de Saint-Amans dépendait du chapitre de la cathédrale de Rodez. Il fut d'abord annexe de celui de Cassagnes-Comtaux, puis la situation fut inversée. L'église a été construite vers 1890. La flèche de son clocher supporte une splendide et non moins originale croix occitane. A l'extérieur du bras droit du transept, du côté de la sacristie, une pierre taillée en forme d'écusson, posée renversée, provient dit-on, de l'ancienne église où elle formait la clé de voûte d'un arceau. Elle porte une inscription, de lecture assez difficile qui pourrait être le nom du massonnier (maçon) ayant construit le premier édifice vers le XVème siècle. Le cimetière renfermait autrefois le tombeau des Mancip, seigneurs de Flars (à Cassagnes-Comtaux) et de Bournazel (XVème siècle). Il y avait un oratoire.
En 1867, un trésor monétaire gaulois a été trouvé près de Goutrens.
Un agriculteur de La Sancie qui piochait sa vigne déterre quelques bizarres piécettes en argent : alléché par sa trouvaille, il poursuit sa recherche et rassemble un véritable trésor de plus de 20 000 de ces monnaies auxquelles viennent s'ajouter 4 kg du même métal en petits lingots de 50 à 100 g. Ces monnaies du type « à la croix » et du « sanglier », épaisses et de forme irrégulière, pèsent uniformément 2,20 g et sont d'un métal très épuré. Sur leur. . .
ESPALION EN VALLEE DU LOT AVEYRON
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Espalion est une grande ville pour la région. Elle est située sur la voie romaine agrippa. La via agrippa était une voie romaine qui traversait l'Aubrac et reliait Lyon à Bordeaux. Espalion est également une étape sur le chemin de Saint-Jacques de Compostelle.
Le pont vieux
Monument le plus célèbre de la ville, fut classé monument historique en 1888, et au patrimoine mondial par l'Unesco en 1998. On situe sa construction vers le XIème siècle. Le seigneur du château de Calmont d’olt chargé de l’entretien du pont percevait sur cet édifice un droit de péage. Ce pont fut maintes fois remanié. C’est le lieu de passage des troupeaux de la transhumance. au XIXème siècle, ce monument devenu trop étroit pour la circulation et trop fragile, la ville entreprit de se doter d’un nouvel édifice : le pont neuf réalisé en 1840.
Le vieux palais
Edifice de style renaissance datant de 1572, il fut classé monument historique en 1912. Campé sur le roc magnus au confluent du lot et du ruisseau du médéric, sur l’emplacement d’une des tours protégeant la porte St-Joseph. Il fut tout d’abord la demeure des anciens gouverneurs de la ville, puis mairie, Palais de justice ou tribunal en l’an VIII. Admirer la tour en poivrière, la loggia sur le lot et les fenêtres à meneaux.
L'église de Perse
C’est un joyau d’art roman, bâtie en grès rose datant des XIème et XIIème siècles. Elle a été longtemps église paroissiale, puis la ville s’est déplacée vers l’ouest vers le pont. Ce prieuré fut abandonné dès 1472 (date de la construction de l’eglise St-Jean-Baptiste au cœur de la ville). Les rapprochements entre l’abbatiale de Conques et l’église de Perse font dirent aux historiens que la construction de la chapelle de Perse est postérieure à celle de Conques et que les maîtres d’œuvres se sont inspirés de l’abbatiale. . .
SAINT PARTHEM: VILLAGE AU BORD DU LOT
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Saint Parthem (455 habitants, altitude 204m) Le village s'étire dans une gorge étroite et pittoresque. C'est une région de cultures maraîchères, tabac, vigne. De belles maisons anciennes en font le charme ainsi que l'église à nef et bas-côtés romans, au chœur gothique, au portail renaissance de 1561 et au clocher du début XVIème. A découvrir :
La Maison de la Rivière Olt :
parcours-exposition consacré à la rivière Lot
Port d'Agrès :
Ancien port sur le Lot mentionné dès le XIIIième à l'époque des gabarres. Il fut un lieu de passage par bac. Il faut noter, au Vialenc en particulier, des maisons aux balcons de bois. L'église renferme des tableaux du XVIIIième. C'est le dernier village avant d'entrer dans les gorges du Lot, vallée resserrée aux pentes abruptes, couvertes de chênes et de châtaigniers où seules serpentent la route et la rivière.
Château de Gironde :
château (privé) et chapelle offrant un point de vue sur la vallée du Lot. Sa chapelle renferme une nef en bois du XIV° siècle et une série de grandes toiles représentant les scènes de la vie de la campagne rouergate. L'histoire du château de Gironde est presque aussi ancienne que les origines de cette famille de guerriers dont les premières traces remontent au IX e siècle. La première mention d'un seigneur de Gironde se trouve, elle, dans un cartulaire de Conques aux environs de l'an 1080. Depuis ces temps reculés, beaucoup d'eau a coulé dans la rivière et, malgré plusieurs incendies, la vénérable bâtisse, qui appartient aujourd'hui à l'écrivain Jean-Paul Desprat, continue à poser son regard protecteur sur la vallée et le village de Port-d'Agrès. Mais l'histoire du château de Gironde, c'est aussi celle des Panassié. Ruinées par la Révolution, les deux dernières comtesses de la famille Gironde vendent le domaine en 1907 à Louis Panassié. Cet ingénieur des mines decazevillois, né en 1860, était parti à l'âge de 25 ans en Ukraine et en Géorgie. Il y. . .
NAUCELLE, VILLAGE AU COEUR DU SEGALA
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Situé au cœur du Ségala, Naucelle est un bourg commerçant est classé Station verte de Vacances. La région du Naucellois regroupe une dizaine de communes rurales au "Pays des 100 vallées". la belle place à arcades de ce bourg pittoresque ainsi que les maisons à pans de bois montrent que ce village est considéré parmi les villages de caractère de l'Aveyron. Nova Cella (son ancienne nomination) fut créée par des moines cisterciens de l'abbaye de Bonnecombe qui rayonnèrent sur le Bas Ségala au XIIe siècle. En 1427, 32 notables, avec l'accord de l'abbé de Bonnecombe, Hugues de Castelpers, construisirent des remparts. Dans la bourgade, la rue du Four a conservé ses anciennes demeures. Des fortifications, il ne reste que la porte des Anglais du XVe siècle.
Histoire
Naucelle fut créée par les moines de l'abbaye cistercienne de Bonnecombe (Aveyron). Il s'installèrent dès le XIIième siècle à Bonnefon dont la grange rayonna sur le Bas Ségala pendant 6 siècles. L'essor de Naucelle fut longtemps freiné par la proximité de la Bastide Royale de Sauveterre de Rouergue qui concentrait tous les pouvoirs. Cette situation perdura jusqu'à l'arrivée de la voie de chemin de fer qui laissa Sauveterre de coté, pour établir une gare à 2 kilomètres du centre de Naucelle au lieu dit la baraque de Merlin aujourd'hui Naucelle-Gare. Autour du bourg on peut encore admirer quelques vestiges des fortifications détruites au XVIIIième siècle avec la porte des anglais (XVième siècle) et les deux tours flanquant l'église saint-Martin. Celle-ci fut construite en 1254 par les religieux de Bonnecombe et fut remaniée au cours du XVième siècle. L'édifice renferme un mobilier intéressant : crucifixion et statues anciennes en bois polychrome, tabernacle d'un retable du 17ième siècle, et un grand orgue fabriqué dans l'atelier de Jean DALDOSSO, à Gimont dans le Gers. C'est un orgue italien de seize jeux et 945 tuyaux (1999). L'aspect médiéval du village. . .
AUBRAC, LE PARADIS DES MARCHEURS
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Aubrac, à 1350 m d’altitude, tire son nom de «Alto Braco», qui veut dire «lieu élevé». Malgré cette position que l’on pourrait croire peu favorable, son histoire est riche en rebondissements. A l’aube du XIIème siècle, le plateau de l’Aubrac était livré à une exploitation pastorale plus ou moins incontrôlée. La conséquence en était un appauvrissement général, se traduisant par la présence de landes relativement désertes. La légende dit que l’on y trouvait surtout des voleurs et bandits. Ceux-ci détroussaient les pèlerins venant du Puy-en-Velay et qui utilisaient l’ancienne voie romaine appelée Via Agrippa, menant Lyon à Bordeaux et Toulouse, en passant par Javols, en terre de Peyre, et Rodez , pour se rendre au sanctuaire de Saint-Jacques de Compostelle en Espagne. Ce pèlerinage avait pris un essor dès le Xème siècle. Les difficultés liées au climat et à l’insécurité de la traversée du plateau, conduisirent un dénommé Adalard d’origine flamande à fonder vers 1120, au voisinage le plus élevé, un monastère hôpital destiné à accueillir, servir et soigner toutes sortes de gens passant par là. Un puissant asile se développa rapidement. Les multiples aléas de l’histoire le déferont et le reconstruiront. La révolution française démantèlera cet ensemble colossal. L’ampleur de l’hospitalité permettait de distribuer jusqu’à 5 000 pains par jour et d’héberger simultanément 500 personnes. Pour assurer une telle intendance, la Dômerie gérait une multitude de granges et métairies alimentant cette maison, suivant la charte de la fondation. Avec Roncevaux dans les Pyrénées, Aubrac est un des rares exemples d’hospitalités de ce genre, « le Saint Bernard de la France » Chateaubriand. Malheureusement, les nombreuses destructions ont laissé peu de vestiges. On pourra cependant admirer le style de l’église de Notre Dame des Pauvres, de la Tour des Anglais ou de la maison des gardes forestiers. Outre les vestiges de la Domerie, on peut visiter. . .
SAINT AFFRIQUE, LA VILLE AUX SEPT COLLINES
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Saint-Affrique est sur le tracé de la route D 999 (anciennement RN 99), à 80 km à l'est d' Albi, à 35 km à l'ouest de Millau et à 15 km de Roquefort-sur-Soulzon . La ville est traversée par la Sorgues, qui, avec ses affluents, a découpé 7 « montagnes » : des Anglais, de la Quille, de la Fous, de la Serre, des Cazes, de Nougayrolle et du Rocher de Caylus. Cinq ponts permettent la circulation, par ordre d'ancienneté : le pont Vieux, le pont Neuf, le pont du Centenaire (ou des Frères), le pont Ferroviaire et le pont de la Résistance. Saint-Affrique est le centre administratif, politique et commercial d'un territoire essentiellement rural aux contours flous appelé le Saint-Affricain.
À la frontière de zones géologiques très différentes :
* au nord-est les Grands Causses plateaux calcaires * au sud-est, le Rougier de Camarès schistes et argiles rouges * au sud-ouest les dernières retombées des monts de Lacaune * au nord-est les contreforts du Lévézou le Saint-Affricain présente des paysages, une flore, une faune et un patrimoine très diversifiés en bordure du Parc naturel régional des Grands Causses. Le climat, avec des contrastes importants entre la rudesse des altitudes et la douceur relative du fond des vallées est plutôt de type méditerranéen. Bien que dépendant administrativement de la région de Toulouse, les échanges et les relations se font surtout avec Montpellier, beaucoup plus proche.
ECONOMIE
Depuis le Moyen Âge la ville, au centre d'une zone essentiellement agricole, est un important centre commercial du sud Aveyron dont les marchés et foires actuels sont la survivance. Avec son statut d'ex-sous-préfecture c'est également un centre administratif et d'enseignement important. Tout au long du XIXe siècle, l'industrie du textile a dominé l'activité industrielle. Au XXe siècle, l'industrie agroalimentaire avec en particulier le roquefort, puis le tourisme ont remplacé l'industrie. . .
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Hôtel du Lion d'Or - 12140 Entraygues-sur-Truyère
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- Fax : 05 65 44 55 43
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